Le wali de Annaba, Mohamed El Ghazi, lors de la dernière rencontre avec les membres de l'APW (assemblée populaire de wilaya) mis sérieusement en garde cadres de l'exécutif et élus sur les risques d'un retour en force de l'exode rural ou extra-urbains sauvage, qui compliquerait davantage la gestion de la wilaya d'Annaba. Cette appréhension est devenue en fait une véritable menace concrétisée par les flux sporadiques issus des agglomérations avoisinantes. Souffrant de problèmes récurrents de déficit en eau potable, d'énergie électrique, d'absence de transport en commun, nombre d'habitants de Hadjar Iddiss, de Chabia, Treat… sont tentés par l'aventure de s'installer dans les quasi-bidonvilles qui ceinturent encore les grosses cylindrées industrielles, que sont notamment le complexe d'Arcelor Mittal et celui des angrais phosphatés d'Asmidal, considérées comme des El Dorado capables de générer emploi, argent et affaires en tous genre "chaque jour de nouvelles baraques ou autre habitat de fortune voit le jour dans la périphérie du complexe sidérurgique d'El Hadjar. Certains ont trouvé le moyen de s'installer dans les crassier de l'usine, du moins à sa limite bravant tous les dangers de la pollution et des risques de lignes de haute tension, en quête d'une hypothétique embauche" affirme un élu FLN à la mairie de Sidi Amar. D'ailleurs des rapports émanant de l'APC ont été adressés aux autorités de wilaya et aux services de sécurité soutient-il pourtant l'Etat n'a pas lésiné sur les moyens, pour fixer ces populations dans les agglomérations qui ont été dotées de toutes les commodités pour un cadre de vie social décent. "Des écoles, des lycées, des hôpitaux de proximité, comme celui qui vient d'être inauguré à El Hadjar, pour servir toutes les zones limitrophe, des réseaux d'eau potable. D'énergie électrique… ont été installés. Certes il y a des dysfonctionnement fréquents à déplacer, mais les efforts consentis par les pouvoirs publics ont grandement améliorer les conditions de vie et créer de l'emploi local" déplore notre interlocuteur qui redoute un retour massif à la bidonvilisation des grands centres urbains de la wilaya. Il faut dire que les autorités sont instruites pour annihiler toutes les tentatives d'un come back qui pèse malgré tout comme l'épée de Damocles sur toutes la ville. "Nous ne tolérons aucune construction illicite dans la wilaya. La loi est claire et ferme la dessus. Nous avons déjà réagi dans certaines localités pour éradiquer les constructions anarchiques" a réitéré le wali aux élus. R. M. Le wali de Annaba, Mohamed El Ghazi, lors de la dernière rencontre avec les membres de l'APW (assemblée populaire de wilaya) mis sérieusement en garde cadres de l'exécutif et élus sur les risques d'un retour en force de l'exode rural ou extra-urbains sauvage, qui compliquerait davantage la gestion de la wilaya d'Annaba. Cette appréhension est devenue en fait une véritable menace concrétisée par les flux sporadiques issus des agglomérations avoisinantes. Souffrant de problèmes récurrents de déficit en eau potable, d'énergie électrique, d'absence de transport en commun, nombre d'habitants de Hadjar Iddiss, de Chabia, Treat… sont tentés par l'aventure de s'installer dans les quasi-bidonvilles qui ceinturent encore les grosses cylindrées industrielles, que sont notamment le complexe d'Arcelor Mittal et celui des angrais phosphatés d'Asmidal, considérées comme des El Dorado capables de générer emploi, argent et affaires en tous genre "chaque jour de nouvelles baraques ou autre habitat de fortune voit le jour dans la périphérie du complexe sidérurgique d'El Hadjar. Certains ont trouvé le moyen de s'installer dans les crassier de l'usine, du moins à sa limite bravant tous les dangers de la pollution et des risques de lignes de haute tension, en quête d'une hypothétique embauche" affirme un élu FLN à la mairie de Sidi Amar. D'ailleurs des rapports émanant de l'APC ont été adressés aux autorités de wilaya et aux services de sécurité soutient-il pourtant l'Etat n'a pas lésiné sur les moyens, pour fixer ces populations dans les agglomérations qui ont été dotées de toutes les commodités pour un cadre de vie social décent. "Des écoles, des lycées, des hôpitaux de proximité, comme celui qui vient d'être inauguré à El Hadjar, pour servir toutes les zones limitrophe, des réseaux d'eau potable. D'énergie électrique… ont été installés. Certes il y a des dysfonctionnement fréquents à déplacer, mais les efforts consentis par les pouvoirs publics ont grandement améliorer les conditions de vie et créer de l'emploi local" déplore notre interlocuteur qui redoute un retour massif à la bidonvilisation des grands centres urbains de la wilaya. Il faut dire que les autorités sont instruites pour annihiler toutes les tentatives d'un come back qui pèse malgré tout comme l'épée de Damocles sur toutes la ville. "Nous ne tolérons aucune construction illicite dans la wilaya. La loi est claire et ferme la dessus. Nous avons déjà réagi dans certaines localités pour éradiquer les constructions anarchiques" a réitéré le wali aux élus. R. M.