L'animation culturelle a connu durant le mois sacré de Ramadhan de cette année une impulsion nouvelle du moins à Alger au regard du nombre appréciable d'activités qui s'y sont déroulées. Si la musique et la chanson de variété se sont taillés la part du lion, il n'en demeure pas moins qu'il y en eu à peu près pour tous les goûts. La musique chaâbie a avoisiné le gnaoui, l'andalou, le kabyle, la musique symphonique, les madihs religieux, malouf, haouzi, et même du jazz et du rock ! Ainsi chaque année le Ramadhan confirme sa vocation de mois culturel par excellence. Pratiquement tous les organismes chargés de l'animation culturelle ont fait le plein. Plusieurs pôles d'attraction ont été mis en avant, on peut citer le TNA (théâtre national algérien) Mahieddine-Bachtarzi, le théâtre de verdure Lâadi-Flici sous l'égide de l'Etablissement Arts et Culture, le palais de la culture Moufdi-Zakaria, la salle Ibn Zaydoun sous l'égide de l'Oref (Office Riadh el Feth), et les deux salles Atlas et El Mouggar sous l'égide de l'ONCI (Office national de la culture et de l'information). On peut retenir d'ores et déjà quelques événements-phares : la tenue des « Layali ramadhan » (soirées du ramadhan) au théâtre de verdure Laâdi-Flici, du Festival national de la chanson chaâbi sur 7 jours au TNA et le concert-événement du chanteur kabyle Aït Menguellet à la salle Atlas. Le Festival de la chanson chaâbie a par exemple cette année élargi son espace de représentation au théâtre de plein air Fadéla-Dziria de l'Institut national supérieur de musique. Il y eut aussi 8 jours pleins de théâtre du Sud qui ont été animées au niveau du TNA Mahieddine-Bachtarzi par dix troupes venues du sud du pays. La salle Atlas de Bab El-Oued a aussi abrité des soirées dédiées aux chants religieux « madih ». En outre le TNA Mahieddine- Bachtarzi s'est transformé des journées durant en temple du chaâbi en accueillant en sus du festival du même nom et des journées théâtrales du Sud un panel d'artistes appartenant au même genre musical, ainsi y a défilé la quasi-totalité des stars de la chanson populaire, citons entre autres Nadia Benyoucef, Abdelkader Chaou, Didine Karoum, Noureddine Dziri, etc. Le TNA Mahieddine-Bachtarzi était entré carrément en compétition avec le théâtre de verdure Laâdi-Flici, qui lui a tenu à présenter des concerts de musique un peu plus diversifiés. A ce niveau là, nombre de stars de la musique chaâbie se sont produits aux côtés de vedettes du rock, du jazz et de la musique kabyle. Le palais de la culture Moufdi-Zakaria s'est de son côté ouvert à des artistes ou à des groupes musicaux venus des quatre coins du pays. Dans la foulée on y a programmé une exposition-vente d'artisanat d'art et objets de décoration qui s'est étalée sur tout le mois ainsi qu'une pièce de théâtre : « Café du Bonheur » de Ziani Cherif Ayad. Là aussi le chant religieux a côtoyé le flamenco avec le groupe Triana d'Alger, le folklore avec la troupe de « Essaada » (Bou Saâda) et « Nissa Essaf» ( Beni Senous de Tlemcen), et la chanson de variété avec Cheb Anouar, Nardjes et Salim Helil et nous en oublions. L'animation culturelle a connu durant le mois sacré de Ramadhan de cette année une impulsion nouvelle du moins à Alger au regard du nombre appréciable d'activités qui s'y sont déroulées. Si la musique et la chanson de variété se sont taillés la part du lion, il n'en demeure pas moins qu'il y en eu à peu près pour tous les goûts. La musique chaâbie a avoisiné le gnaoui, l'andalou, le kabyle, la musique symphonique, les madihs religieux, malouf, haouzi, et même du jazz et du rock ! Ainsi chaque année le Ramadhan confirme sa vocation de mois culturel par excellence. Pratiquement tous les organismes chargés de l'animation culturelle ont fait le plein. Plusieurs pôles d'attraction ont été mis en avant, on peut citer le TNA (théâtre national algérien) Mahieddine-Bachtarzi, le théâtre de verdure Lâadi-Flici sous l'égide de l'Etablissement Arts et Culture, le palais de la culture Moufdi-Zakaria, la salle Ibn Zaydoun sous l'égide de l'Oref (Office Riadh el Feth), et les deux salles Atlas et El Mouggar sous l'égide de l'ONCI (Office national de la culture et de l'information). On peut retenir d'ores et déjà quelques événements-phares : la tenue des « Layali ramadhan » (soirées du ramadhan) au théâtre de verdure Laâdi-Flici, du Festival national de la chanson chaâbi sur 7 jours au TNA et le concert-événement du chanteur kabyle Aït Menguellet à la salle Atlas. Le Festival de la chanson chaâbie a par exemple cette année élargi son espace de représentation au théâtre de plein air Fadéla-Dziria de l'Institut national supérieur de musique. Il y eut aussi 8 jours pleins de théâtre du Sud qui ont été animées au niveau du TNA Mahieddine-Bachtarzi par dix troupes venues du sud du pays. La salle Atlas de Bab El-Oued a aussi abrité des soirées dédiées aux chants religieux « madih ». En outre le TNA Mahieddine- Bachtarzi s'est transformé des journées durant en temple du chaâbi en accueillant en sus du festival du même nom et des journées théâtrales du Sud un panel d'artistes appartenant au même genre musical, ainsi y a défilé la quasi-totalité des stars de la chanson populaire, citons entre autres Nadia Benyoucef, Abdelkader Chaou, Didine Karoum, Noureddine Dziri, etc. Le TNA Mahieddine-Bachtarzi était entré carrément en compétition avec le théâtre de verdure Laâdi-Flici, qui lui a tenu à présenter des concerts de musique un peu plus diversifiés. A ce niveau là, nombre de stars de la musique chaâbie se sont produits aux côtés de vedettes du rock, du jazz et de la musique kabyle. Le palais de la culture Moufdi-Zakaria s'est de son côté ouvert à des artistes ou à des groupes musicaux venus des quatre coins du pays. Dans la foulée on y a programmé une exposition-vente d'artisanat d'art et objets de décoration qui s'est étalée sur tout le mois ainsi qu'une pièce de théâtre : « Café du Bonheur » de Ziani Cherif Ayad. Là aussi le chant religieux a côtoyé le flamenco avec le groupe Triana d'Alger, le folklore avec la troupe de « Essaada » (Bou Saâda) et « Nissa Essaf» ( Beni Senous de Tlemcen), et la chanson de variété avec Cheb Anouar, Nardjes et Salim Helil et nous en oublions.