Le parc zoologique - La Concorde Civile - de Ben Aknoun le premier jour de l'Aïd, a reçu, dès les premières heures de la matinée, une foule colorée et joyeuse où les parents ont des yeux bien plus brillants que ceux de leurs enfants qu'ils sont tout fiers d'exhiber. Le parc zoologique - La Concorde Civile - de Ben Aknoun le premier jour de l'Aïd, a reçu, dès les premières heures de la matinée, une foule colorée et joyeuse où les parents ont des yeux bien plus brillants que ceux de leurs enfants qu'ils sont tout fiers d'exhiber. L'Aïd el-fitr qui célèbre l'arrêt du jeûne après 29 ou 30 jours d'abstinence du lever au coucher du soleil, a de tous temps également été un peu la fête des enfants. En effet rien n'est trop beau pour eux en cette occasion, et cela est un véritable bonheur de les voir, ce jour-là propres comme des sous neufs exhiber dans les rues de la capitale leurs vêtements tout neufs et les fanfreluches pour les fillettes. L'enfant, depuis l'avénement des chaînes de télevision étraangères, jouit d'un nouveaau statut au sein de la famille et du coup peut même imposer certains de ses désirs à ses parents. Ainsi les familles algéroises, qui auparavant consacraient le jour de l'Aïd à recevoir leurs proches ou à effectuer eux-mêmes des visites, préfèrent de plus en plus consacrer cette journée entièrement à leurs chères têtes brunes. Avec ces nouvelles habitudes le parc zoologique - La Concorde-Civile- de Ben Aknoun accueille, dès les premières heures de la matinée une foule colorée et joyeuse où les parents ont des yeux bien plus brillants que ceux de leurs enfants qu'ils sont tout fiers d'exhiber. Les guichets du parc sont pris d'assaut, dès les premières heures de la matinée, par cette masse humaine compacte sur fond de pépiements joyeux et les couleurs chatoyantes des robes des petites filles. « Mes enfants ne peuvent envisager de fêter cet Aïd sans se rendre au parc d'attractions », nous dira un père de famille abordé au niveau des guichets du parc zoologiqueentourée de sa joyeuse marmaille. Pour faire plaisir à leurs enfants, certains parents non véhiculés se voient dans l'obligation de rompre avec quelques anciennes coutumes. « Par le passé nous rendions visite à nos disparus en nous rendons aux cimetières. Mais pour répondre à l'attente des enfants on ne peut plus le faire », nous avoue une mère abordée avec ses enfants au Village africain. Il y a aussi ceux qui n'ont pas de proches à Alger et de ce fait consacrent l'intégralité de leur journée à leurs enfants et pour faire leur bonheur quoi de mieux que de leur offrir une journée dans cet endroit dédié à l'enfance… « Le matin de l'Aïd je prends mes enfants chez le photographe du quartier puis on vient directement à ce lieu de loisir », nous dit un militaire récemment muté vers la capitale. « La destination du deuxième jour est incontestablement Annaba -le bled- » nous dit-il. Dans une société où l'enfant prend une place de plus en plus importante, il est certain que les traditions héritées sont appelées à disparaître petit à petit. La cellule familiale, qui auparavant regroupait tous les membres directs - collatéraux, descendaants et ascendants - se réduit comme peau de chagrin pour se réduire à sa plus simple expression, c'est à dire le couple et leurs enfants avec, peut-être, une exception pour les grands-parents. L'Aïd el-fitr qui célèbre l'arrêt du jeûne après 29 ou 30 jours d'abstinence du lever au coucher du soleil, a de tous temps également été un peu la fête des enfants. En effet rien n'est trop beau pour eux en cette occasion, et cela est un véritable bonheur de les voir, ce jour-là propres comme des sous neufs exhiber dans les rues de la capitale leurs vêtements tout neufs et les fanfreluches pour les fillettes. L'enfant, depuis l'avénement des chaînes de télevision étraangères, jouit d'un nouveaau statut au sein de la famille et du coup peut même imposer certains de ses désirs à ses parents. Ainsi les familles algéroises, qui auparavant consacraient le jour de l'Aïd à recevoir leurs proches ou à effectuer eux-mêmes des visites, préfèrent de plus en plus consacrer cette journée entièrement à leurs chères têtes brunes. Avec ces nouvelles habitudes le parc zoologique - La Concorde-Civile- de Ben Aknoun accueille, dès les premières heures de la matinée une foule colorée et joyeuse où les parents ont des yeux bien plus brillants que ceux de leurs enfants qu'ils sont tout fiers d'exhiber. Les guichets du parc sont pris d'assaut, dès les premières heures de la matinée, par cette masse humaine compacte sur fond de pépiements joyeux et les couleurs chatoyantes des robes des petites filles. « Mes enfants ne peuvent envisager de fêter cet Aïd sans se rendre au parc d'attractions », nous dira un père de famille abordé au niveau des guichets du parc zoologiqueentourée de sa joyeuse marmaille. Pour faire plaisir à leurs enfants, certains parents non véhiculés se voient dans l'obligation de rompre avec quelques anciennes coutumes. « Par le passé nous rendions visite à nos disparus en nous rendons aux cimetières. Mais pour répondre à l'attente des enfants on ne peut plus le faire », nous avoue une mère abordée avec ses enfants au Village africain. Il y a aussi ceux qui n'ont pas de proches à Alger et de ce fait consacrent l'intégralité de leur journée à leurs enfants et pour faire leur bonheur quoi de mieux que de leur offrir une journée dans cet endroit dédié à l'enfance… « Le matin de l'Aïd je prends mes enfants chez le photographe du quartier puis on vient directement à ce lieu de loisir », nous dit un militaire récemment muté vers la capitale. « La destination du deuxième jour est incontestablement Annaba -le bled- » nous dit-il. Dans une société où l'enfant prend une place de plus en plus importante, il est certain que les traditions héritées sont appelées à disparaître petit à petit. La cellule familiale, qui auparavant regroupait tous les membres directs - collatéraux, descendaants et ascendants - se réduit comme peau de chagrin pour se réduire à sa plus simple expression, c'est à dire le couple et leurs enfants avec, peut-être, une exception pour les grands-parents.