L'essentiel du travail des 3 500 participants sera, notamment articulé autour de groupes de réflexion dans les ateliers afin de décortiquer les enjeux et les axes tracés par le président du Congrès mondial de l'énergie. L'essentiel du travail des 3 500 participants sera, notamment articulé autour de groupes de réflexion dans les ateliers afin de décortiquer les enjeux et les axes tracés par le président du Congrès mondial de l'énergie. Les principales actions à mener par les participants au Congrès mondial de l'énergie, qui se tient du 12 au 16 septembre courant à Montréal, pour permettre aux populations des pays en voie de développement (PVD) d'accéder à l'énergie et aux ressources énergétiques, notamment l'énergie électrique, ont trait à la sécurité de l'approvisionnement en énergie (gaz et électricité), l'étude de l'impact des conséquences de la surconsommation de l'énergie sur l'environnement et enfin, la réduction des inégalités et des disproportions concernant l'accès à l'énergie dans les pays en développement dont 1,5 milliard d'habitants de la planète n'ont pas accès à l'électricité. En effet, ce congrès qui a lieu tous les trois ans, est le premier grand rassemblement international multi-énergies après le Cop 15 et le G8/G20, et vise surtout , selon, Pierre Gadonneix, président du Conseil mondial de l'énergie à assurer et suivre un défi de taille, à savoir, «la régulation à garantir par la contribution des représentants des gouvernements, scientifiques, chercheurs et représentants de la société civile, et ce afin de trouver, durant quatre jours, les bons outils de politiques énergétiques renouvelées. Celles-ci devront permettre de tenir ensemble trois fronts, à savoir le développement économique, la protection de l'environnement et du climat et la cohésion sociale». Alors que des manifestations d'écologistes et d'organisations de protection de l'environnement se déroulent aux alentours du Palais des Congrès de Montréal, les 3 500 délégués et participants aux travaux de la 21e édition du CME vont s'efforcer de promouvoir l'approvisionnement permanent et l'utilisation durable de l'énergie pour le plus grand bénéfice de tous les habitants de la planète. Les différents congressistes auront, notamment, la tâche d'ordonnancer la sécurité de l'offre et de la demande d'énergie en mettant l'accès sur le moyens d'accès à l'énergie pour l'ensemble des pays ayant des convoitises et des ambitions de croissance économique et de développement humain. Néanmoins, les pays en développement veulent privilégier la croissance sans, toutefois, être contraints de payer des taxes ou des surcoûts relatifs à la réduction de leurs émissions de gaz carbonique (Co2). L'essentiel du travail des 3 500 participants sera, notamment articulé autour de groupes de réflexion dans les ateliers afin de décortiquer les enjeux et les axes tracés par le président du Congrès mondial de l'énergie, dont l'important dans ce rendez-vous planétaire, vise à garantir la sécurité et la pérennité de l'approvisionnement en énergie pour tous les pays du globe et l'accessibilité à l'énergie pour tous les pays les plus pauvres, démunis et ayant des difficultés d'alimentation en énergie. En somme, il s'agit de concocter un nouvel ordre énergétique mondial fondé sur les besoins primordiaux des populations pauvres et déshéritées. Les congressistes débattront également de l'impact, parfois désastreux et négatif, de la surconsommation énergétique sur l'environnement et le milieu naturel en limitant l'émanation des gaz toxiques (et la pollution) à effet de serre. Ils discuteront aussi des politiques nécessaires pour assurer le développement durable du secteur de l'énergie en mettant l'accent sur l'option des énergies renouvelables et inépuisables, accessibles pour toutes les populations. Plus d'un cinquième, soit 1,5 milliard de personnes, du total des 6,7 milliards d'habitants que compte aujourd'hui la planète Terre, plus n'ont toujours pas accès à l'énergie électrique. La Banque mondiale préconise des investissements pour réduire, d'ici 2030, le nombre de foyers dépourvus d'électricité sachant que des dépenses de l'ordre de 165 milliards de dollars devront être consenties pour offrir l'électricité aux pays en voie de développement d'ici 20 années. Les principales actions à mener par les participants au Congrès mondial de l'énergie, qui se tient du 12 au 16 septembre courant à Montréal, pour permettre aux populations des pays en voie de développement (PVD) d'accéder à l'énergie et aux ressources énergétiques, notamment l'énergie électrique, ont trait à la sécurité de l'approvisionnement en énergie (gaz et électricité), l'étude de l'impact des conséquences de la surconsommation de l'énergie sur l'environnement et enfin, la réduction des inégalités et des disproportions concernant l'accès à l'énergie dans les pays en développement dont 1,5 milliard d'habitants de la planète n'ont pas accès à l'électricité. En effet, ce congrès qui a lieu tous les trois ans, est le premier grand rassemblement international multi-énergies après le Cop 15 et le G8/G20, et vise surtout , selon, Pierre Gadonneix, président du Conseil mondial de l'énergie à assurer et suivre un défi de taille, à savoir, «la régulation à garantir par la contribution des représentants des gouvernements, scientifiques, chercheurs et représentants de la société civile, et ce afin de trouver, durant quatre jours, les bons outils de politiques énergétiques renouvelées. Celles-ci devront permettre de tenir ensemble trois fronts, à savoir le développement économique, la protection de l'environnement et du climat et la cohésion sociale». Alors que des manifestations d'écologistes et d'organisations de protection de l'environnement se déroulent aux alentours du Palais des Congrès de Montréal, les 3 500 délégués et participants aux travaux de la 21e édition du CME vont s'efforcer de promouvoir l'approvisionnement permanent et l'utilisation durable de l'énergie pour le plus grand bénéfice de tous les habitants de la planète. Les différents congressistes auront, notamment, la tâche d'ordonnancer la sécurité de l'offre et de la demande d'énergie en mettant l'accès sur le moyens d'accès à l'énergie pour l'ensemble des pays ayant des convoitises et des ambitions de croissance économique et de développement humain. Néanmoins, les pays en développement veulent privilégier la croissance sans, toutefois, être contraints de payer des taxes ou des surcoûts relatifs à la réduction de leurs émissions de gaz carbonique (Co2). L'essentiel du travail des 3 500 participants sera, notamment articulé autour de groupes de réflexion dans les ateliers afin de décortiquer les enjeux et les axes tracés par le président du Congrès mondial de l'énergie, dont l'important dans ce rendez-vous planétaire, vise à garantir la sécurité et la pérennité de l'approvisionnement en énergie pour tous les pays du globe et l'accessibilité à l'énergie pour tous les pays les plus pauvres, démunis et ayant des difficultés d'alimentation en énergie. En somme, il s'agit de concocter un nouvel ordre énergétique mondial fondé sur les besoins primordiaux des populations pauvres et déshéritées. Les congressistes débattront également de l'impact, parfois désastreux et négatif, de la surconsommation énergétique sur l'environnement et le milieu naturel en limitant l'émanation des gaz toxiques (et la pollution) à effet de serre. Ils discuteront aussi des politiques nécessaires pour assurer le développement durable du secteur de l'énergie en mettant l'accent sur l'option des énergies renouvelables et inépuisables, accessibles pour toutes les populations. Plus d'un cinquième, soit 1,5 milliard de personnes, du total des 6,7 milliards d'habitants que compte aujourd'hui la planète Terre, plus n'ont toujours pas accès à l'énergie électrique. La Banque mondiale préconise des investissements pour réduire, d'ici 2030, le nombre de foyers dépourvus d'électricité sachant que des dépenses de l'ordre de 165 milliards de dollars devront être consenties pour offrir l'électricité aux pays en voie de développement d'ici 20 années.