La découverte macabre des corps en état de décomposition avancée, d'un couple d'immigrés, dans l'un des appartement de l'immeuble jouxtant le CAM (Centre méditerranéen des affaires) près du marché El Hattab, a jeté émoi et consternation chez la population annabie, ulcérée par la montée de la violence et du crime dans la 4e ville du pays. Selon les premières éléments de l'enquête, ce sont les voisins qui ont, suite aux odeurs insistantes de putréfaction, alerté la police qui aussitôt, après autorisation du procureur, a défoncé en présence des éléments de la Protection civile et du médecin légiste la porte de l'appartement à l'intérieur duquel gisaient, dans une mare de sang coagulé, les deux cadavres. Le couple, un homme âgé, selon leurs passeports respectifs, de 60 ans pour le mari et 54 ans pour son épouse, vivaient en France où ils s'apprêtaient le jour même de leur mort à se rendre, avant de trouver rendez-vous avec la mort. Selon des sources proches de l'enquête, la mort des deux victimes remonte à près d'une vingtaine de jours. Ce crime de sang crapuleux a accentué le climat de peur qui régne sur la ville de Sidi Brahim qui vit depuis des mois un regain de violence inquiétant. R. M. La découverte macabre des corps en état de décomposition avancée, d'un couple d'immigrés, dans l'un des appartement de l'immeuble jouxtant le CAM (Centre méditerranéen des affaires) près du marché El Hattab, a jeté émoi et consternation chez la population annabie, ulcérée par la montée de la violence et du crime dans la 4e ville du pays. Selon les premières éléments de l'enquête, ce sont les voisins qui ont, suite aux odeurs insistantes de putréfaction, alerté la police qui aussitôt, après autorisation du procureur, a défoncé en présence des éléments de la Protection civile et du médecin légiste la porte de l'appartement à l'intérieur duquel gisaient, dans une mare de sang coagulé, les deux cadavres. Le couple, un homme âgé, selon leurs passeports respectifs, de 60 ans pour le mari et 54 ans pour son épouse, vivaient en France où ils s'apprêtaient le jour même de leur mort à se rendre, avant de trouver rendez-vous avec la mort. Selon des sources proches de l'enquête, la mort des deux victimes remonte à près d'une vingtaine de jours. Ce crime de sang crapuleux a accentué le climat de peur qui régne sur la ville de Sidi Brahim qui vit depuis des mois un regain de violence inquiétant. R. M.