Les causes de la prise de poids, dès le début de la vie, sont multiples et variées. Mais elles arrivent toutes au même résultat : le remplissage des cellules adipeuses, donc les kilos superflus. Les causes de la prise de poids, dès le début de la vie, sont multiples et variées. Mais elles arrivent toutes au même résultat : le remplissage des cellules adipeuses, donc les kilos superflus. Arrêt du tabac Le tabac est une drogue dès que l'on ne peut plus s'en passer. Arrêter de fumer est une bonne démarche pour préserver sa santé. Mais elle se sanctionne souvent par une prise de poids. La nicotine est un excitant du système nerveux mais elle exerce aussi un effet anorexigène : une cigarette fumée juste avant un repas coupe ou limite l'appétit. Dès que la nicotine disparaît de l'organisme, la faim est plus forte, donc on mange plus. De plus, fumer consomme de l'énergie, environ une vingtaine de calories par cigarette. Cette dépense énergétique est supprimée. Pour conserver un équilibre entre les entrées alimentaires et les sorties énergétiques, il faudrait manger moins pour compenser cette baisse de dépenses. Or, l'appétit est augmenté du fait de l'absence de l'anorexigène tabac. Enfin, on éprouve souvent un grand besoin de suçoter des produits sucrés pour compenser le manque, pour remplacer aussi le geste routinier de porter la cigarette à sa bouche. Dépense énergétique diminuée, appétit renforcé et grignotages gras/sucrés, c'est ce qui rend la prise de poids quasiment inévitable, sauf si l'on a vraiment une volonté de fer pour résister aux grignotages et pour augmenter en même temps sa dépense calorique en faisant beaucoup de sport. Les causes de la prise de poids dès le début de la vie sont multiples et variées. Mais elles arrivent toutes au même résultat : le remplissage des cellules adipeuses, donc les kilos superflus. Arrêt du sport Plus on pratique un sport, plus on dépense d'énergie, c'est évident. Les besoins énergétiques étant importants, on mange en conséquence pour les satisfaire. Ce qui est tout à fait normal. On prend l'habitude d'une alimentation copieuse et riche où la discipline ne règne pas puisque l'on ne grossit pas. Très souvent, lorsque la pratique du sport s'arrête brutalement, pour une raison ou une autre, blessure ou changement de rythme de vie, on garde la même alimentation, tout simplement parce qu'on en a l'habitude. La dépense énergétique étant diminuée mais l'apport calorique demeurant le même, la prise de poids est inévitable. Mais si l'on pense alors à moins manger, si l'on s'astreint à diminuer son quota de calories, on ne grossit pas. Sérotonine et grignotages La sérotonine est un neuromédiateur qui agit, entre autres, sur l'appétit, la satiété, l'humeur, le sommeil et le stress. Elle est sécrétée dans le cerveau à partir d'un précurseur qui est un acide aminé, le tryptophane. Celui-ci doit être en concentration importante dans les neurones et il ne peut l'être que si l'alimentation est riche en glucides. On peut manquer de sérotonine pour différentes raisons. Les repas n'apportent pas assez de glucides, quand on se prive systématiquement de pain Médicaments Les anti-dépresseurs, les tranquillisants favorisent la prise de poids car ils ralentissent le métabolisme de base. C'est une bonne raison pour ne pas absorber ces médicaments si on en a pas vraiment besoin. La cortisone sur longue période a aussi le même effet. Elle augmente l'appétit et freine l'élimination du sodium (sel). Il peut alors être nécessaire de faire un régime adapté. Dépression - une alternative aux molécules chimiques : le millepertuis et ses milles vertus. Source Santé de A à Z Arrêt du tabac Le tabac est une drogue dès que l'on ne peut plus s'en passer. Arrêter de fumer est une bonne démarche pour préserver sa santé. Mais elle se sanctionne souvent par une prise de poids. La nicotine est un excitant du système nerveux mais elle exerce aussi un effet anorexigène : une cigarette fumée juste avant un repas coupe ou limite l'appétit. Dès que la nicotine disparaît de l'organisme, la faim est plus forte, donc on mange plus. De plus, fumer consomme de l'énergie, environ une vingtaine de calories par cigarette. Cette dépense énergétique est supprimée. Pour conserver un équilibre entre les entrées alimentaires et les sorties énergétiques, il faudrait manger moins pour compenser cette baisse de dépenses. Or, l'appétit est augmenté du fait de l'absence de l'anorexigène tabac. Enfin, on éprouve souvent un grand besoin de suçoter des produits sucrés pour compenser le manque, pour remplacer aussi le geste routinier de porter la cigarette à sa bouche. Dépense énergétique diminuée, appétit renforcé et grignotages gras/sucrés, c'est ce qui rend la prise de poids quasiment inévitable, sauf si l'on a vraiment une volonté de fer pour résister aux grignotages et pour augmenter en même temps sa dépense calorique en faisant beaucoup de sport. Les causes de la prise de poids dès le début de la vie sont multiples et variées. Mais elles arrivent toutes au même résultat : le remplissage des cellules adipeuses, donc les kilos superflus. Arrêt du sport Plus on pratique un sport, plus on dépense d'énergie, c'est évident. Les besoins énergétiques étant importants, on mange en conséquence pour les satisfaire. Ce qui est tout à fait normal. On prend l'habitude d'une alimentation copieuse et riche où la discipline ne règne pas puisque l'on ne grossit pas. Très souvent, lorsque la pratique du sport s'arrête brutalement, pour une raison ou une autre, blessure ou changement de rythme de vie, on garde la même alimentation, tout simplement parce qu'on en a l'habitude. La dépense énergétique étant diminuée mais l'apport calorique demeurant le même, la prise de poids est inévitable. Mais si l'on pense alors à moins manger, si l'on s'astreint à diminuer son quota de calories, on ne grossit pas. Sérotonine et grignotages La sérotonine est un neuromédiateur qui agit, entre autres, sur l'appétit, la satiété, l'humeur, le sommeil et le stress. Elle est sécrétée dans le cerveau à partir d'un précurseur qui est un acide aminé, le tryptophane. Celui-ci doit être en concentration importante dans les neurones et il ne peut l'être que si l'alimentation est riche en glucides. On peut manquer de sérotonine pour différentes raisons. Les repas n'apportent pas assez de glucides, quand on se prive systématiquement de pain Médicaments Les anti-dépresseurs, les tranquillisants favorisent la prise de poids car ils ralentissent le métabolisme de base. C'est une bonne raison pour ne pas absorber ces médicaments si on en a pas vraiment besoin. La cortisone sur longue période a aussi le même effet. Elle augmente l'appétit et freine l'élimination du sodium (sel). Il peut alors être nécessaire de faire un régime adapté. Dépression - une alternative aux molécules chimiques : le millepertuis et ses milles vertus. Source Santé de A à Z