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Aït Menguellet invité de marque
4e édition du Festival «Issni N'Ourgh» du film amazigh d'Agadir
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 09 - 2010

Le chanteur kabyle Lounis Aït Menguellet sera l'invité de marque de la 4e édition du Festival «Issni N'Ourgh» du film amazigh d'Agadir (FINFA) qui se tiendra du 5 au 9 octobre prochain à la Chambre de Commerce, d'industrie et de services d'Agadir.
Le chanteur kabyle Lounis Aït Menguellet sera l'invité de marque de la 4e édition du Festival «Issni N'Ourgh» du film amazigh d'Agadir (FINFA) qui se tiendra du 5 au 9 octobre prochain à la Chambre de Commerce, d'industrie et de services d'Agadir.
Quatre autres personnalités artistiques algériennes seront également présentes à cette manifestation culturelle. Il s'agit du réalisateur Djamel Bendeddouche, du musicien-compositeur Safy Boutella, du réalisateur Mahmoud Zemmouri, qui seront membres du Jury du festival dans la catégorie long-métrage, et du réalisateur Ali Mouzaoui qui animera des ateliers sur le documentaire, le reportage et le découpage technique.
Le festival est organisé par l'Association Issni N'ourgh (Couronne d'Or), en partenariat avec l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), le Conseil municipal d'Agadir, le Centre cinématographique marocain (CCM) et la Commission du film d'Ouarzazate. Selon les organisateurs, le festival «Issni N'Ourgh» du film amazigh vise à «privilégier l'échange et le partage» en mettant «chaque année les projecteurs sur une région du monde pour remettre en valeur un peuple, une langue et des traditions amazighs ancestraux dispersés en Afrique du Nord». Pour la première fois, le cinéma kurde sera à l'honneur, un hommage appuyé lui sera rendu. Dans ce cadre, il sera procédé à la projection de «Boran», premier film du réalisateur turc Hüseyin Karabey, un long métrage qui relate la disparition dans les années 1990 de 5 mille activistes politiques en Turquie. Le festival qui prône l'ouverture sur l'autre abritera outre les projections de films marocains, celles de films venus de différents pays : Algérie, Niger, Mali, France, Suisse, Canada et de Turquie. Au total, 31 films sont au menu, dont 22 en avant-première avec la sélection en catégories : court-métrage, long-métrage, documentaire et vidéo.
La meilleure actrice, le meilleur acteur, le meilleur réalisateur, le meilleur film, scénario, et la meilleure vidéo seront consacrés dans chacune de ces catégories et l'une de ces œuvres recevra le Grand Prix «Issni n'Ourgh» du Festival international du film amazigh. Parmi la batterie des récompenses figure aussi le Prix national de la culture amazighe de l'Institut royal de la culture amazighe qui est doté de 50 mille dirhams. Ce prix, dont le jury sera présidé par le directeur du Centre des études artistiques, des Expressions littéraires, récompensera l'un des courts-métrages en lice. En sus du festival, l'association «Issni N'Ourgh» organise chaque année la caravane du film amazigh, laquelle est chargée de sillonner les villages du sud marocain afin de mettre à la portée de la population pour laquelle en fin de compte ces films sont destinés, les dernières œuvres qui, au regard de l'enclavement de ces régions, ont d'énormes difficultés à se procurer ces films. L'association «Issni N'Ourgh» a été fondée en septembre 2006 à Agadir, ses promoteurs ambitionnent «de promouvoir le film amazigh et l'ouvrir sur le monde pour permettre son évolution mais surtout son exportation vers d'autres régions et même d'autres pays». Ce festival, explique-t-on, «a tenté depuis sa création de rapprocher le produit cinématographique amazigh du grand public tout en créant un mouvement de compétition artistique entre les maisons de production et ce, afin de professionnaliser le secteur».
Quatre autres personnalités artistiques algériennes seront également présentes à cette manifestation culturelle. Il s'agit du réalisateur Djamel Bendeddouche, du musicien-compositeur Safy Boutella, du réalisateur Mahmoud Zemmouri, qui seront membres du Jury du festival dans la catégorie long-métrage, et du réalisateur Ali Mouzaoui qui animera des ateliers sur le documentaire, le reportage et le découpage technique.
Le festival est organisé par l'Association Issni N'ourgh (Couronne d'Or), en partenariat avec l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), le Conseil municipal d'Agadir, le Centre cinématographique marocain (CCM) et la Commission du film d'Ouarzazate. Selon les organisateurs, le festival «Issni N'Ourgh» du film amazigh vise à «privilégier l'échange et le partage» en mettant «chaque année les projecteurs sur une région du monde pour remettre en valeur un peuple, une langue et des traditions amazighs ancestraux dispersés en Afrique du Nord». Pour la première fois, le cinéma kurde sera à l'honneur, un hommage appuyé lui sera rendu. Dans ce cadre, il sera procédé à la projection de «Boran», premier film du réalisateur turc Hüseyin Karabey, un long métrage qui relate la disparition dans les années 1990 de 5 mille activistes politiques en Turquie. Le festival qui prône l'ouverture sur l'autre abritera outre les projections de films marocains, celles de films venus de différents pays : Algérie, Niger, Mali, France, Suisse, Canada et de Turquie. Au total, 31 films sont au menu, dont 22 en avant-première avec la sélection en catégories : court-métrage, long-métrage, documentaire et vidéo.
La meilleure actrice, le meilleur acteur, le meilleur réalisateur, le meilleur film, scénario, et la meilleure vidéo seront consacrés dans chacune de ces catégories et l'une de ces œuvres recevra le Grand Prix «Issni n'Ourgh» du Festival international du film amazigh. Parmi la batterie des récompenses figure aussi le Prix national de la culture amazighe de l'Institut royal de la culture amazighe qui est doté de 50 mille dirhams. Ce prix, dont le jury sera présidé par le directeur du Centre des études artistiques, des Expressions littéraires, récompensera l'un des courts-métrages en lice. En sus du festival, l'association «Issni N'Ourgh» organise chaque année la caravane du film amazigh, laquelle est chargée de sillonner les villages du sud marocain afin de mettre à la portée de la population pour laquelle en fin de compte ces films sont destinés, les dernières œuvres qui, au regard de l'enclavement de ces régions, ont d'énormes difficultés à se procurer ces films. L'association «Issni N'Ourgh» a été fondée en septembre 2006 à Agadir, ses promoteurs ambitionnent «de promouvoir le film amazigh et l'ouvrir sur le monde pour permettre son évolution mais surtout son exportation vers d'autres régions et même d'autres pays». Ce festival, explique-t-on, «a tenté depuis sa création de rapprocher le produit cinématographique amazigh du grand public tout en créant un mouvement de compétition artistique entre les maisons de production et ce, afin de professionnaliser le secteur».


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