Le ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Moussa Benhamadi a démenti hier l'exercice de pressions sur les propriétaires de la compagnie Orascom Télécoms Algérie (OTA) pour les amener à vendre la licence de télephonie de téléphonie mobile Djezzy à l'Etat algérien. Le ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Moussa Benhamadi a démenti hier l'exercice de pressions sur les propriétaires de la compagnie Orascom Télécoms Algérie (OTA) pour les amener à vendre la licence de télephonie de téléphonie mobile Djezzy à l'Etat algérien. Dans une déclaration à la presse, en marge de la séance plénière du conseil de la Nation, M. Benhamadi a indiqué qu' « il n'y a aucune pression exercée par l'Algérie sur OTA » avant d'ajouter: « Nous avons le droit de veiller à l'application du droit algérien (droit de préemption). Ce même droit qui a permis à OTA de créer une société en Algérie ». Selon lui, OTA est dans l'obligation de respecter la réglementation algérienne étant donné qu'il s'agit d'une entreprise de droit algérien. Le droit algérien a préservé les investissements de la société depuis son établissement en 2003 en Algérie et lui a assuré un marché de 15 millions d'abonnés qui lui a permis de réaliser des profits considérables, a-t-il souligné. Concernant l'entame de négociations entre les deux parties, le ministre de la PTIC a déclaré que « jusqu'à présent, il n'y a pas de négociations avec les propriétaires de Djezzy pour son rachat, car aucune estimation n'a été faite». L'Algérie qui a confié à un expert l'évaluation de Djezzy avec l'espoir d'en finir avant la fin de l'année espère en obtenir la cession pour un prix autour de trois milliards de dollars. Orascom en demande au moins sept, rappelons-le. Lors d'une visite effectuée avant-hier à Tizi-Ouzou, M. Benhamadi a évoqué l'option d'un arbitrage international afin d'évaluer Djezzy. Il s'agit d'une première dans l'histoire de l'Algérie qu'un ministre de la république évoque cette hypothèse pour régler un conflit. Il est à noter que le groupe Orascom estime que le droit de préemption que réclame le gouvernement algérien sur Djezzy n'est qu'une « punition ». M. Benhamadi n'a pas manqué de rappeler que l'Etat algérien est déterminé à reprendre cette filiale du groupe égyptien, arguant que 99 % de ses employés sont des Algériens. Dans une déclaration à la presse, en marge de la séance plénière du conseil de la Nation, M. Benhamadi a indiqué qu' « il n'y a aucune pression exercée par l'Algérie sur OTA » avant d'ajouter: « Nous avons le droit de veiller à l'application du droit algérien (droit de préemption). Ce même droit qui a permis à OTA de créer une société en Algérie ». Selon lui, OTA est dans l'obligation de respecter la réglementation algérienne étant donné qu'il s'agit d'une entreprise de droit algérien. Le droit algérien a préservé les investissements de la société depuis son établissement en 2003 en Algérie et lui a assuré un marché de 15 millions d'abonnés qui lui a permis de réaliser des profits considérables, a-t-il souligné. Concernant l'entame de négociations entre les deux parties, le ministre de la PTIC a déclaré que « jusqu'à présent, il n'y a pas de négociations avec les propriétaires de Djezzy pour son rachat, car aucune estimation n'a été faite». L'Algérie qui a confié à un expert l'évaluation de Djezzy avec l'espoir d'en finir avant la fin de l'année espère en obtenir la cession pour un prix autour de trois milliards de dollars. Orascom en demande au moins sept, rappelons-le. Lors d'une visite effectuée avant-hier à Tizi-Ouzou, M. Benhamadi a évoqué l'option d'un arbitrage international afin d'évaluer Djezzy. Il s'agit d'une première dans l'histoire de l'Algérie qu'un ministre de la république évoque cette hypothèse pour régler un conflit. Il est à noter que le groupe Orascom estime que le droit de préemption que réclame le gouvernement algérien sur Djezzy n'est qu'une « punition ». M. Benhamadi n'a pas manqué de rappeler que l'Etat algérien est déterminé à reprendre cette filiale du groupe égyptien, arguant que 99 % de ses employés sont des Algériens.