Le général de corps d'armée, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaïd Salah a invité les pays membres à respecter leurs engagements dans le cadre de la lutte antiterroriste, la criminalité organisée et les phénomènes connexes, afin d'éradiquer les éléments d'Aqmi qui sèment la terreur dans le Sahel, en multipliant les prises d'otages et les attaques armées. Le général de corps d'armée, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaïd Salah a invité les pays membres à respecter leurs engagements dans le cadre de la lutte antiterroriste, la criminalité organisée et les phénomènes connexes, afin d'éradiquer les éléments d'Aqmi qui sèment la terreur dans le Sahel, en multipliant les prises d'otages et les attaques armées. Les chefs d'état-major d'Algérie, de Mauritanie, du Niger et du Mali sont décidés à passer à l'acte. Cette ferme résolution sur l'initiative de l'Algérie vise à éradiquer les réseaux terroristes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans la sous-région du Sahel. C'est en substance ce qui ressort de la réunion extraordinaire du conseil des chefs d'état-major des pays membres du Comité d'état-major opérationnel conjoint, à l'issue de ses travaux dimanche dernier à Tamanrasset. L'Algérie a cédé la présidence tournante du Comité au Mali, non sans rappeler à l'ordre les pays membres. En effet, le général de corps d'armée, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaïd Salah a invité les pays membres à respecter leurs engagements dans le cadre de la lutte antiterroriste, la criminalité organisée et les phénomènes connexes, afin d'éradiquer les éléments d'Aqmi qui sèment la terreur dans le Sahel, en multipliant les prises d'otages et les attaques armées. Ainsi, les pays membres dudit comité ont convenu d'accorder leurs violons au profit d'une action « concertée et autonome » dans la sous-région, notamment en cette période cruciale, où les sept otages demeurent détenus par les terroristes, et la France s'apprête à négocier et, probablement, verser des rançons, pour obtenir la libération de ses cinq ressortissants. L'appel du chef d'état-major algérien de passer à l'action n'est pas fortuit en ce sens que les éléments d'Aqmi se sont fortifiés ces derniers mois, en témoigne le sanglant affrontement infligé à l'armée mauritanienne récemment. Aussi obéit-il à la nécessité, pour les pays du Sahel, de prendre en charge leurs propres problèmes et repousser de la sorte toute ingérence étrangère dans la sous-région. D'ailleurs, le général de corps d'armée, Gaïd Salah a insisté, lors de son intervention à l'entame des travaux du Comité sur la nécessité de « lever les incompréhensions », allusion faite directement à certaines défaillances affichées par certains pays de la région. Rappelons dans ce sens que le Mali avait libéré au début de l'année en cours, quatre terroristes notoires de la nébuleuse Al-Qaïda, en contrepartie de la libération du seul otage français, Pierre Camatte en l'occurrence. Tout récemment encore, la Mauritanie a mené une opération militaire conjointe avec les forces armées françaises, ce qui risque d'envenimer la situation et embraser la sous-région. En réaction directe à cette opération, Aqmi a kidnappé les ingénieurs français d'Areva au Nord du Niger en guise de représailles, après qu'elle ait subi des pertes importantes. En somme, l'initiative des quatre pays du Sahel, chapeautés par l'Algérie, se veut aussi bien une action pour fédérer les forces armées de la région qu'un rempart contre l'ingérence étrangère. Les chefs d'état-major d'Algérie, de Mauritanie, du Niger et du Mali sont décidés à passer à l'acte. Cette ferme résolution sur l'initiative de l'Algérie vise à éradiquer les réseaux terroristes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans la sous-région du Sahel. C'est en substance ce qui ressort de la réunion extraordinaire du conseil des chefs d'état-major des pays membres du Comité d'état-major opérationnel conjoint, à l'issue de ses travaux dimanche dernier à Tamanrasset. L'Algérie a cédé la présidence tournante du Comité au Mali, non sans rappeler à l'ordre les pays membres. En effet, le général de corps d'armée, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaïd Salah a invité les pays membres à respecter leurs engagements dans le cadre de la lutte antiterroriste, la criminalité organisée et les phénomènes connexes, afin d'éradiquer les éléments d'Aqmi qui sèment la terreur dans le Sahel, en multipliant les prises d'otages et les attaques armées. Ainsi, les pays membres dudit comité ont convenu d'accorder leurs violons au profit d'une action « concertée et autonome » dans la sous-région, notamment en cette période cruciale, où les sept otages demeurent détenus par les terroristes, et la France s'apprête à négocier et, probablement, verser des rançons, pour obtenir la libération de ses cinq ressortissants. L'appel du chef d'état-major algérien de passer à l'action n'est pas fortuit en ce sens que les éléments d'Aqmi se sont fortifiés ces derniers mois, en témoigne le sanglant affrontement infligé à l'armée mauritanienne récemment. Aussi obéit-il à la nécessité, pour les pays du Sahel, de prendre en charge leurs propres problèmes et repousser de la sorte toute ingérence étrangère dans la sous-région. D'ailleurs, le général de corps d'armée, Gaïd Salah a insisté, lors de son intervention à l'entame des travaux du Comité sur la nécessité de « lever les incompréhensions », allusion faite directement à certaines défaillances affichées par certains pays de la région. Rappelons dans ce sens que le Mali avait libéré au début de l'année en cours, quatre terroristes notoires de la nébuleuse Al-Qaïda, en contrepartie de la libération du seul otage français, Pierre Camatte en l'occurrence. Tout récemment encore, la Mauritanie a mené une opération militaire conjointe avec les forces armées françaises, ce qui risque d'envenimer la situation et embraser la sous-région. En réaction directe à cette opération, Aqmi a kidnappé les ingénieurs français d'Areva au Nord du Niger en guise de représailles, après qu'elle ait subi des pertes importantes. En somme, l'initiative des quatre pays du Sahel, chapeautés par l'Algérie, se veut aussi bien une action pour fédérer les forces armées de la région qu'un rempart contre l'ingérence étrangère.