Le nombre d'équipements médicaux demeurant inexploités au niveau des établissements hospitaliers du pays dépasse les 10 mille, a affirmé dimanche dernier à Alger, Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière. Le ministre a donné des instructions, lors d'une réunion avec les directeurs des établissements hospitaliers de la wilaya d'Alger visant à mettre en exergue les principaux investissements de son secteur dans la région prévus par le plan quinquennal, des instructions à l'effet de « ne conclure aucun marché portant sur l'acquisition d'équipements médicaux sans qu'il en soit informé». La décision de Ould Abbès intervient suite au recensement de 10 mille équipements médicaux inexploités par les établissements hospitaliers du pays, ce qui, selon lui, représente « 13,33% du total des équipements disponibles dans les établissement hospitaliers ». D'autant plus que cela engendre une perte colossale estimée à des millions en devises étrangères. Une cellule de suivi de tous les marchés conclus a été mis en place au niveau du ministère afin, précise-t-on, de protéger les directeurs des établissements hospitaliers des accusations de dilapidation de deniers publics et de mettre un terme au gaspillage et à la défection des biens de l'Etat. Le nombre d'équipements médicaux demeurant inexploités au niveau des établissements hospitaliers du pays dépasse les 10 mille, a affirmé dimanche dernier à Alger, Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière. Le ministre a donné des instructions, lors d'une réunion avec les directeurs des établissements hospitaliers de la wilaya d'Alger visant à mettre en exergue les principaux investissements de son secteur dans la région prévus par le plan quinquennal, des instructions à l'effet de « ne conclure aucun marché portant sur l'acquisition d'équipements médicaux sans qu'il en soit informé». La décision de Ould Abbès intervient suite au recensement de 10 mille équipements médicaux inexploités par les établissements hospitaliers du pays, ce qui, selon lui, représente « 13,33% du total des équipements disponibles dans les établissement hospitaliers ». D'autant plus que cela engendre une perte colossale estimée à des millions en devises étrangères. Une cellule de suivi de tous les marchés conclus a été mis en place au niveau du ministère afin, précise-t-on, de protéger les directeurs des établissements hospitaliers des accusations de dilapidation de deniers publics et de mettre un terme au gaspillage et à la défection des biens de l'Etat.