La politique agricole et les réformes initiées dans le secteur de l'agriculture sont jugées satisfaisants alors que la saison des labours-semailles s'ouvre, dès demain à Sétif, sous l'égide du ministre de l'Agriculture et du Développement rural. Le plus important dans le programme quinquennal agricole 2010-2014 a trait à la mécanisation des activités de l'agriculture en introduisant des moyens et des technologies mieux adaptées à la spécificité du sol algérien pour un meilleur rendement à l'hectare. Aussi, la stratégie agricole repose essentiellement sur le Programme de renforcement des capacités humaines et d'assistance technique (PRCHAT) dont les pouvoirs publics ont consacré une enveloppe financière de l'ordre de 24 milliards de dinars. Rachid Benaïssa insiste sur l'accroissement de la production et l'amélioration du taux de productivité pour augmenter les rendements des céréales (blé et orge) et de la pomme de terre. L'essentiel pour le ministre consiste surtout à assurer la sécurité alimentaire et réduire la facture d'importation de produits agricoles qui dépasse deux milliards de dollars par an.Les autorités travaillent actuellement sur la base de filières pour optimiser les productions dans les différents secteurs de l'agriculture, telle que les filières lait, céréales et autres produits agroalimentaires. Par ailleurs, il est question de restructurer les entreprises œuvrant dans le domaine de l'agriculture en les régulant davantage dans les fonctions essentielles de production, notamment les produits stratégiques de large consommation. La coopération avec les entrepreneurs privés est également souhaitée pour réussir le plan de renouveau agricole. Ainsi, plusieurs entreprises, issues des SGP, sont actuellement spécialisées dans en génie rural, la valorisation des produits du terroir, la production des semences et plants, mais aussi dans la chaîne du froid et la gestion des complexes d'abattage. Les agriculteurs, spécialisés dans les cultures maraichères et le développement des cultures dans les serres, pourront améliorer leurs rendements en tirant une plus value de la spécialisation de leurs filières. Alors que les pouvoirs publics encouragent les céréaliculteurs à produire plus, ces derniers auront la possibilité de recevoir un appui financier évalué à 50 % pour ceux qui prouvent leur adhésion au dispositif d'irrigation d'appoint qui permet d'obtenir des rendements estimés à plus de 75 quintaux à l'hectare, contre 12 quintaux seulement en raison de la technique d'irrigation basée uniquement sur les pluies jugés, cependant, insuffisantes sachant que la pluviométrie est faible dans certaines régions en Algérie, notamment dans les Hauts-Plateaux. La politique agricole et les réformes initiées dans le secteur de l'agriculture sont jugées satisfaisants alors que la saison des labours-semailles s'ouvre, dès demain à Sétif, sous l'égide du ministre de l'Agriculture et du Développement rural. Le plus important dans le programme quinquennal agricole 2010-2014 a trait à la mécanisation des activités de l'agriculture en introduisant des moyens et des technologies mieux adaptées à la spécificité du sol algérien pour un meilleur rendement à l'hectare. Aussi, la stratégie agricole repose essentiellement sur le Programme de renforcement des capacités humaines et d'assistance technique (PRCHAT) dont les pouvoirs publics ont consacré une enveloppe financière de l'ordre de 24 milliards de dinars. Rachid Benaïssa insiste sur l'accroissement de la production et l'amélioration du taux de productivité pour augmenter les rendements des céréales (blé et orge) et de la pomme de terre. L'essentiel pour le ministre consiste surtout à assurer la sécurité alimentaire et réduire la facture d'importation de produits agricoles qui dépasse deux milliards de dollars par an.Les autorités travaillent actuellement sur la base de filières pour optimiser les productions dans les différents secteurs de l'agriculture, telle que les filières lait, céréales et autres produits agroalimentaires. Par ailleurs, il est question de restructurer les entreprises œuvrant dans le domaine de l'agriculture en les régulant davantage dans les fonctions essentielles de production, notamment les produits stratégiques de large consommation. La coopération avec les entrepreneurs privés est également souhaitée pour réussir le plan de renouveau agricole. Ainsi, plusieurs entreprises, issues des SGP, sont actuellement spécialisées dans en génie rural, la valorisation des produits du terroir, la production des semences et plants, mais aussi dans la chaîne du froid et la gestion des complexes d'abattage. Les agriculteurs, spécialisés dans les cultures maraichères et le développement des cultures dans les serres, pourront améliorer leurs rendements en tirant une plus value de la spécialisation de leurs filières. Alors que les pouvoirs publics encouragent les céréaliculteurs à produire plus, ces derniers auront la possibilité de recevoir un appui financier évalué à 50 % pour ceux qui prouvent leur adhésion au dispositif d'irrigation d'appoint qui permet d'obtenir des rendements estimés à plus de 75 quintaux à l'hectare, contre 12 quintaux seulement en raison de la technique d'irrigation basée uniquement sur les pluies jugés, cependant, insuffisantes sachant que la pluviométrie est faible dans certaines régions en Algérie, notamment dans les Hauts-Plateaux.