Les travaux de deux cours régionaux sur la radioprotection en médecine se sont ouverts, hier à Alger, avec la participation de spécialistes algériens et internationaux de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et des experts de quatorze pays africains. Il s'agit du cours régional de la radioprotection du patient en radiologie diagnostique et interventionnelle, organisé par le Centre de recherches nucléaires d'Alger (CRNA) et le CHU de Bab El Oued, et du cours sur la réglementation des sources de rayonnements ionisants, organisé par le Commissariat à l'énergie atomique (COMENA), en collaboration avec l'AIEA. Cette manifestation scientifique, qui s'inscrit, dans le cadre de la coopération technique avec l'AIEA, porte sur le "renforcement de la réglementation en matière de radioprotection" ainsi que sur le "développement de l'infrastructure de sûreté radiologique". L'objectif de ces cours, auxquels des experts de l'AIEA apporteront «une contribution significative», est d'assister les Etats membres de l'AIEA à "mettre en place ou à améliorer l'infrastructure de sûreté radiologique dans les différents secteurs utilisateurs des sources de rayonnements dans un cadre réglementaire approprié conformément aux règles universelles". Pour le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, "si des progrès incontestables ont été rendus possibles en médecine grâce à l'usage des rayonnements ionisants, apportant un bénéfice sanitaire à la fois collectif et individuel, il n'en reste pas moins que les effets délétères connus de ces rayonnement exigent une maîtrise et un encadrement rigoureux des pratiques". De son côté, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a relevé dans une allocution, lue en son nom par le secrétaire général du ministère, que "l'utilisation des rayonnements à des fins médicales constitue la première source d'exposition pour l'homme". Dans le même cadre, le commissaire du Comena, Mohamed Derdour, a souligné que le secteur nucléaire en Algérie participe activement à l'amélioration de la prise en charge médicale par les procédés utilisant les rayonnements ionisants en mettant à contribution ses structures spécialisées et son expertise en matière de physique médicale et de radioprotection. R. N. Les travaux de deux cours régionaux sur la radioprotection en médecine se sont ouverts, hier à Alger, avec la participation de spécialistes algériens et internationaux de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et des experts de quatorze pays africains. Il s'agit du cours régional de la radioprotection du patient en radiologie diagnostique et interventionnelle, organisé par le Centre de recherches nucléaires d'Alger (CRNA) et le CHU de Bab El Oued, et du cours sur la réglementation des sources de rayonnements ionisants, organisé par le Commissariat à l'énergie atomique (COMENA), en collaboration avec l'AIEA. Cette manifestation scientifique, qui s'inscrit, dans le cadre de la coopération technique avec l'AIEA, porte sur le "renforcement de la réglementation en matière de radioprotection" ainsi que sur le "développement de l'infrastructure de sûreté radiologique". L'objectif de ces cours, auxquels des experts de l'AIEA apporteront «une contribution significative», est d'assister les Etats membres de l'AIEA à "mettre en place ou à améliorer l'infrastructure de sûreté radiologique dans les différents secteurs utilisateurs des sources de rayonnements dans un cadre réglementaire approprié conformément aux règles universelles". Pour le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, "si des progrès incontestables ont été rendus possibles en médecine grâce à l'usage des rayonnements ionisants, apportant un bénéfice sanitaire à la fois collectif et individuel, il n'en reste pas moins que les effets délétères connus de ces rayonnement exigent une maîtrise et un encadrement rigoureux des pratiques". De son côté, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a relevé dans une allocution, lue en son nom par le secrétaire général du ministère, que "l'utilisation des rayonnements à des fins médicales constitue la première source d'exposition pour l'homme". Dans le même cadre, le commissaire du Comena, Mohamed Derdour, a souligné que le secteur nucléaire en Algérie participe activement à l'amélioration de la prise en charge médicale par les procédés utilisant les rayonnements ionisants en mettant à contribution ses structures spécialisées et son expertise en matière de physique médicale et de radioprotection. R. N.