La rentrée universitaire 2010-2011 s'est effectuée dans de bonnes conditions pour ses premiers jours, selon les étudiants rencontrés au niveau de l'université d'Alger. Cette année, plusieurs dispositifs nouveaux ont été annoncés par la tutelle. Ils ont pour objectif de permettre le déroulement d'une scolarité en bonne et due forme. La rentrée universitaire 2010-2011 s'est effectuée dans de bonnes conditions pour ses premiers jours, selon les étudiants rencontrés au niveau de l'université d'Alger. Cette année, plusieurs dispositifs nouveaux ont été annoncés par la tutelle. Ils ont pour objectif de permettre le déroulement d'une scolarité en bonne et due forme. Quelque 1million 230 mille étudiants, dont 237.543 nouveaux bacheliers, ont été appelés, hier, à rejoindre les bancs des établissements universitaires. Ceux rencontrés sont divisés. Certains affichent de l'optimisme quant à une année sans grande perturbation, à l'instar des nouveaux bacheliers, tandis que d'autres, les plus anciens, pourrait on dire, appréhendent quelque peu par crainte les grèves et interruptions dans le cursus universitaire. « Nous sommes au début, on verra après », s'est exprimé un étudiant. Un autre qui semble un peu pessimiste s'est contenté de dire « j'espère que nous ne serons pas obligés de faire face à de nouvelles grèves, des enseignants principalement, comme chaque année ». Parmi les décisions accueillies par la communauté universitaire, il y a lieu de citer, le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), qui s'est, récemment, félicité de l'adoption du décret portant sur le statut du doctorant et celui fixant les conditions d'exercice des activités de recherche par l'enseignant-chercheur, par le Conseil des ministres. « Ces deux grandes décisions représentent un acquis majeur pour l'université algérienne et une "motivation essentielle pour l'enseignant-chercheur », a estimé le CNES. Côté étudiants, il y a la création des nouveaux pôles d'excellence, à l'image des cinq nouvelles écoles spécialisées, destinées à former l'élite qui prendra en charge l'avenir des institutions de l'Etat, tel qu'annoncé par le ministère de tutelle. Ces écoles constituent également une bouffée d'oxygène, considérant que la qualité de l'enseignement supérieur au sein des universités laisse à désirer. D'autant que le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est assigné un objectif, celui d'assurer un saut qualitatif de la formation universitaire à même de hisser l'université au rang des universités mondiales, estime encore le Cnes. Quelque 1million 230 mille étudiants, dont 237.543 nouveaux bacheliers, ont été appelés, hier, à rejoindre les bancs des établissements universitaires. Ceux rencontrés sont divisés. Certains affichent de l'optimisme quant à une année sans grande perturbation, à l'instar des nouveaux bacheliers, tandis que d'autres, les plus anciens, pourrait on dire, appréhendent quelque peu par crainte les grèves et interruptions dans le cursus universitaire. « Nous sommes au début, on verra après », s'est exprimé un étudiant. Un autre qui semble un peu pessimiste s'est contenté de dire « j'espère que nous ne serons pas obligés de faire face à de nouvelles grèves, des enseignants principalement, comme chaque année ». Parmi les décisions accueillies par la communauté universitaire, il y a lieu de citer, le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), qui s'est, récemment, félicité de l'adoption du décret portant sur le statut du doctorant et celui fixant les conditions d'exercice des activités de recherche par l'enseignant-chercheur, par le Conseil des ministres. « Ces deux grandes décisions représentent un acquis majeur pour l'université algérienne et une "motivation essentielle pour l'enseignant-chercheur », a estimé le CNES. Côté étudiants, il y a la création des nouveaux pôles d'excellence, à l'image des cinq nouvelles écoles spécialisées, destinées à former l'élite qui prendra en charge l'avenir des institutions de l'Etat, tel qu'annoncé par le ministère de tutelle. Ces écoles constituent également une bouffée d'oxygène, considérant que la qualité de l'enseignement supérieur au sein des universités laisse à désirer. D'autant que le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est assigné un objectif, celui d'assurer un saut qualitatif de la formation universitaire à même de hisser l'université au rang des universités mondiales, estime encore le Cnes.