Le président russe Dmitri Medvedev est attendu aujourd'hui à Alger au titre d'une visite officielle sur l'invitation du Chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika. Le président russe Dmitri Medvedev est attendu aujourd'hui à Alger au titre d'une visite officielle sur l'invitation du Chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika. Cette visite, la première du président russe depuis son intronisation en remplacement de Vladimir Poutine en 2008 que le président Bouteflika avait rencontré à Moscou en 2008 peu avant qu'il ne quitte le Kremlin, revêt un caractère des plus particuliers au vu de sa grande importance. Aussi, de lourds dossiers en commun entre Alger et Moscou seront discutés à l'occasion de cette visite, à leur tête la problématique du rachat d'Orascom Telecom Algérie (OTA), dont le géant russe Vimpelcom est un sérieux prétendant. Notant à ce titre que les négociations pour son rachat entier par l'Algérie ont été entamées et le processus se poursuivra jusqu'à son aboutissement. Le ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de promotion des investissements, Mohamed Benméradi vient en effet de réitérer la chose à la veille de la visite de Dmitri Medvedev. Ce dernier sera accompagné par une délégation d'hommes d'affaires et de chefs d'entreprises dans le but de tisser des partenariats économiques dans divers secteurs, pour le compte du prochain quinquennat 2010-2014, pour lequel l'Algérie a mobilisé 286 milliards de dollars. Les russes qui étaient quasiment absents lors des dernières années en Algérie, tenteront de rectifier le tir et bénéficier de projets dans le marché local, les chantiers étant nombreux et juteux. Il s'agit également d'un éventuel accord gazier entre Sonatrach et le géant gazier russe Gazprom. C'est toute l'Europe qui frémit à cette idée de partenariat, les deux firmes étant les principales pourvoyeuses en gaz de ce continent.Par ailleurs, précisément dans le domaine militaire, l'Algérie est un client historique de la Russie. Donc, il sera certainement question de contracter des marchés d'armement et autre coopération dans la formation militaire et l'échange de renseignements. Alger et Moscou veulent effacer l'épisode des avions-chasseurs « Mig » qui avait créé une certaine tension entre les deux capitales en 2007. Ces avions livrés à l'Algérie se sont avérés « défectueux » d'où la colère de l'Algérie, étant un client de marque de ce pays. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika s'était déplacé à Moscou, en 2008 précisément, où il avait rencontré le président d'alors, Vladimir Poutine. Et depuis, rien. Donc, la visite de Dmitri Medvedev à Alger survient dans un contexte de renouveau et de réhabilitation des relations algéro-russes, historiquement très solides. Plusieurs contrats et accords seront signés entre les deux parties, en témoigne la forte délégation qui accompagnera le président russe. Cette visite, la première du président russe depuis son intronisation en remplacement de Vladimir Poutine en 2008 que le président Bouteflika avait rencontré à Moscou en 2008 peu avant qu'il ne quitte le Kremlin, revêt un caractère des plus particuliers au vu de sa grande importance. Aussi, de lourds dossiers en commun entre Alger et Moscou seront discutés à l'occasion de cette visite, à leur tête la problématique du rachat d'Orascom Telecom Algérie (OTA), dont le géant russe Vimpelcom est un sérieux prétendant. Notant à ce titre que les négociations pour son rachat entier par l'Algérie ont été entamées et le processus se poursuivra jusqu'à son aboutissement. Le ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de promotion des investissements, Mohamed Benméradi vient en effet de réitérer la chose à la veille de la visite de Dmitri Medvedev. Ce dernier sera accompagné par une délégation d'hommes d'affaires et de chefs d'entreprises dans le but de tisser des partenariats économiques dans divers secteurs, pour le compte du prochain quinquennat 2010-2014, pour lequel l'Algérie a mobilisé 286 milliards de dollars. Les russes qui étaient quasiment absents lors des dernières années en Algérie, tenteront de rectifier le tir et bénéficier de projets dans le marché local, les chantiers étant nombreux et juteux. Il s'agit également d'un éventuel accord gazier entre Sonatrach et le géant gazier russe Gazprom. C'est toute l'Europe qui frémit à cette idée de partenariat, les deux firmes étant les principales pourvoyeuses en gaz de ce continent.Par ailleurs, précisément dans le domaine militaire, l'Algérie est un client historique de la Russie. Donc, il sera certainement question de contracter des marchés d'armement et autre coopération dans la formation militaire et l'échange de renseignements. Alger et Moscou veulent effacer l'épisode des avions-chasseurs « Mig » qui avait créé une certaine tension entre les deux capitales en 2007. Ces avions livrés à l'Algérie se sont avérés « défectueux » d'où la colère de l'Algérie, étant un client de marque de ce pays. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika s'était déplacé à Moscou, en 2008 précisément, où il avait rencontré le président d'alors, Vladimir Poutine. Et depuis, rien. Donc, la visite de Dmitri Medvedev à Alger survient dans un contexte de renouveau et de réhabilitation des relations algéro-russes, historiquement très solides. Plusieurs contrats et accords seront signés entre les deux parties, en témoigne la forte délégation qui accompagnera le président russe.