L'intervention du chef de daïra et du P/APC de Bouinan auprès des responsables de l'entreprise turque Hayat pour débloquer la situation a débouché en partie sur un modus vivendi. L'intervention du chef de daïra et du P/APC de Bouinan auprès des responsables de l'entreprise turque Hayat pour débloquer la situation a débouché en partie sur un modus vivendi. Ayant été fermée dans la matinée de dimanche dernier par des jeunes de la commune de Bouinan qui reprochaient à l'Entreprise turque de détergents son manque de partialité dans le traitement des dossiers de recrutement, la Route nationale 29, reliant Blida à Larba, a été rouverte à la circulation. L'intervention du chef de daïra et du P/APC de Bouinan auprès des responsables de l'entreprise turque Hayat a débouché, en partie, sur un modus vivendi. Selon les informations recueillies sur place, un programme de recrutement de 30 ouvriers a été décidé par l'entreprise et une demande a été déposée auprès de l'agence locale de l'emploi. Au regard de cette offre, des résidents de Bouinan qui avaient déposé la semaine dernière leurs dossiers étaient certains d'être recrutés comme le leur ont promis certains responsables. Une liste comportant 30 noms, tous originaires de Bouinan, a été arrêtée et tous les demandeurs ont été invités à rejoindre l'usine en fin de semaine. Mais à leur grande surprise, une autre liste ne comportant qu'une dizaine de noms sur les trente a été établie, ce qui a suscité le courroux des jeunes qui ont décidé de bloquer la route. Pour le P/APC de Bouinan, M. Zahra, il s'agit là d'un manquement à la convention signée en 2004 entre l'Entreprise et l'APC pour le recrutement du personnel résidant à Bouinan en priorité, et s'il y a un manque de main-d'œuvre, l'entreprise peut recruter des localités avoisinantes. Mais il semblerait que des personnes mal intentionnées aient sciemment procédé au changement de la liste et l'agence locale de l'emploi serait impliquée, ce qui a conduit le P/APC à souligner qu'il demandera l'ouverture d'une enquête pour mettre à nu ce qui s'est réellement passé concernant ces recrutements. De toutes les manières, les choses seront plus claires lorsque le chef du personnel reviendra de Turquie, puisque étant le seul en mesure de prendre les décisions. Ayant été fermée dans la matinée de dimanche dernier par des jeunes de la commune de Bouinan qui reprochaient à l'Entreprise turque de détergents son manque de partialité dans le traitement des dossiers de recrutement, la Route nationale 29, reliant Blida à Larba, a été rouverte à la circulation. L'intervention du chef de daïra et du P/APC de Bouinan auprès des responsables de l'entreprise turque Hayat a débouché, en partie, sur un modus vivendi. Selon les informations recueillies sur place, un programme de recrutement de 30 ouvriers a été décidé par l'entreprise et une demande a été déposée auprès de l'agence locale de l'emploi. Au regard de cette offre, des résidents de Bouinan qui avaient déposé la semaine dernière leurs dossiers étaient certains d'être recrutés comme le leur ont promis certains responsables. Une liste comportant 30 noms, tous originaires de Bouinan, a été arrêtée et tous les demandeurs ont été invités à rejoindre l'usine en fin de semaine. Mais à leur grande surprise, une autre liste ne comportant qu'une dizaine de noms sur les trente a été établie, ce qui a suscité le courroux des jeunes qui ont décidé de bloquer la route. Pour le P/APC de Bouinan, M. Zahra, il s'agit là d'un manquement à la convention signée en 2004 entre l'Entreprise et l'APC pour le recrutement du personnel résidant à Bouinan en priorité, et s'il y a un manque de main-d'œuvre, l'entreprise peut recruter des localités avoisinantes. Mais il semblerait que des personnes mal intentionnées aient sciemment procédé au changement de la liste et l'agence locale de l'emploi serait impliquée, ce qui a conduit le P/APC à souligner qu'il demandera l'ouverture d'une enquête pour mettre à nu ce qui s'est réellement passé concernant ces recrutements. De toutes les manières, les choses seront plus claires lorsque le chef du personnel reviendra de Turquie, puisque étant le seul en mesure de prendre les décisions.