Selon un communiqué du bureau de l'ancien général, les "trente-trois mandats d'arrêt ont été émis à l'encontre de juges, officiers, hommes politiques, journalistes et d'autres personnalités libanaises, arabes et étrangères". L'agence de presse libanaise ANI cite les noms de l'ex-chef de la commission d'enquête de l'ONU, l'Allemand Detlev Mehlis, de son adjoint Gerhard Lehman, du procureur général libanais Saïd Mirza, du chef des forces de sécurité intérieures libanaises Achraf Rifi, de l'ex-ministre de la justice libanais Charles Rizk, du conseiller de Saad Hariri, Hani Hammoud, ainsi que de l'ancien vice-président syrien, Abdel Halim Khaddam, devenu opposant en exil. Selon plusieurs observateurs, les mandats d'arrêt n'ont aucun poids légal au Liban puisque le crime a été commis en territoire libanais et que la plupart des accusés sont de nationalité libanaise. Le Hezbollah, un allié de Damas et qui soutient M. Sayyed, a dit s'attendre à ce que le tribunal spécial pour le Liban l'accuse "injustement" d'implication dans le meurtre. Il réclame que les personnes impliquées dans l'affaire des "faux témoins" soient traduites en justice. La Syrie, contrainte après l'assassinat de Hariri de retirer ses troupes du Liban après trente ans de tutelle, avait été montrée du doigt par le camp de Saad Hariri dans ce meurtre. Mais Saad Hariri, dont les relations se sont améliorées avec la Syrie depuis qu'il est devenu premier ministre, fin 2009, a affirmé en septembre avoir commis une "erreur" en accusant Damas. Selon un communiqué du bureau de l'ancien général, les "trente-trois mandats d'arrêt ont été émis à l'encontre de juges, officiers, hommes politiques, journalistes et d'autres personnalités libanaises, arabes et étrangères". L'agence de presse libanaise ANI cite les noms de l'ex-chef de la commission d'enquête de l'ONU, l'Allemand Detlev Mehlis, de son adjoint Gerhard Lehman, du procureur général libanais Saïd Mirza, du chef des forces de sécurité intérieures libanaises Achraf Rifi, de l'ex-ministre de la justice libanais Charles Rizk, du conseiller de Saad Hariri, Hani Hammoud, ainsi que de l'ancien vice-président syrien, Abdel Halim Khaddam, devenu opposant en exil. Selon plusieurs observateurs, les mandats d'arrêt n'ont aucun poids légal au Liban puisque le crime a été commis en territoire libanais et que la plupart des accusés sont de nationalité libanaise. Le Hezbollah, un allié de Damas et qui soutient M. Sayyed, a dit s'attendre à ce que le tribunal spécial pour le Liban l'accuse "injustement" d'implication dans le meurtre. Il réclame que les personnes impliquées dans l'affaire des "faux témoins" soient traduites en justice. La Syrie, contrainte après l'assassinat de Hariri de retirer ses troupes du Liban après trente ans de tutelle, avait été montrée du doigt par le camp de Saad Hariri dans ce meurtre. Mais Saad Hariri, dont les relations se sont améliorées avec la Syrie depuis qu'il est devenu premier ministre, fin 2009, a affirmé en septembre avoir commis une "erreur" en accusant Damas.