Les hommes d'affaires et chefs d'entreprise russes présents aux travaux du forum algéro-russe n'ont pas caché leurs ambitions d'investir plusieurs créneaux de l'économie algérienne. Ils envisagent en effet d'explorer les opportunités d'investissement sur le marché local pour pouvoir d'y installer le plus rapidement. Une chose est cependant sure ; ils s'accordent tous à dire que le marché algérien offre un choix divers et des opportunités immenses. Ainsi, le ministre russe de l'Energie, Serguey Shmatko, a souligné l'attachement des deux pays à hisser les relations économiques et commerciales au niveau des relations politiques. Il a exprimé, à l'occasion, l'intérêt des sociétés russes pour le marché algérien, affirmant que celles-ci sont en mesure d'« apporter une contribution significative pour l'industrie algérienne ». Il a fait savoir dans le même sens que les autorités russes ont décidé d'ouvrir un bureau d'investissement à Alger et à Moscou pour accompagner les sociétés russes qui souhaitent investir en Algérie. Intervenant à son tour, le président du Conseil d'affaires algéro-russe, Ettayeb Ezzeraimi a estimé que les discussions que les hommes d'affaires russes ont eu avec leurs homologues algériens permettront d'approfondir le travail entamé par le comité d'affaires en vue de densifier les échanges entre les deux pays dans une perspective de partenariat et d'investissement « fructueux et mutuellement bénéfique ». Il a indiqué qu'une soixantaine d'entreprises russes sont présentes à Alger et que près d'une centaine d'entreprises algériennes participent à ce forum, énumérant, dans ce contexte, toute une palette de secteurs dans lesquels russes et algériens pourraient promouvoir leur coopération. Il a cité notamment les domaines de la métallurgie, du transport, de l'agroalimentaire, les services et les énergies renouvelables. Les hommes d'affaires et chefs d'entreprise russes présents aux travaux du forum algéro-russe n'ont pas caché leurs ambitions d'investir plusieurs créneaux de l'économie algérienne. Ils envisagent en effet d'explorer les opportunités d'investissement sur le marché local pour pouvoir d'y installer le plus rapidement. Une chose est cependant sure ; ils s'accordent tous à dire que le marché algérien offre un choix divers et des opportunités immenses. Ainsi, le ministre russe de l'Energie, Serguey Shmatko, a souligné l'attachement des deux pays à hisser les relations économiques et commerciales au niveau des relations politiques. Il a exprimé, à l'occasion, l'intérêt des sociétés russes pour le marché algérien, affirmant que celles-ci sont en mesure d'« apporter une contribution significative pour l'industrie algérienne ». Il a fait savoir dans le même sens que les autorités russes ont décidé d'ouvrir un bureau d'investissement à Alger et à Moscou pour accompagner les sociétés russes qui souhaitent investir en Algérie. Intervenant à son tour, le président du Conseil d'affaires algéro-russe, Ettayeb Ezzeraimi a estimé que les discussions que les hommes d'affaires russes ont eu avec leurs homologues algériens permettront d'approfondir le travail entamé par le comité d'affaires en vue de densifier les échanges entre les deux pays dans une perspective de partenariat et d'investissement « fructueux et mutuellement bénéfique ». Il a indiqué qu'une soixantaine d'entreprises russes sont présentes à Alger et que près d'une centaine d'entreprises algériennes participent à ce forum, énumérant, dans ce contexte, toute une palette de secteurs dans lesquels russes et algériens pourraient promouvoir leur coopération. Il a cité notamment les domaines de la métallurgie, du transport, de l'agroalimentaire, les services et les énergies renouvelables.