La 2e édition du festival international du théâtre d'Alger (FITA) s'ouvrira du 14 au 25 octobre prochains au Théâtre national (TNA) Mahieddine Bachtarzi à Alger, au Palais de la culture et à Azur-Plage. La 2e édition du festival international du théâtre d'Alger (FITA) s'ouvrira du 14 au 25 octobre prochains au Théâtre national (TNA) Mahieddine Bachtarzi à Alger, au Palais de la culture et à Azur-Plage. Plusieurs pays prennent part à cette manifestation dont la France, la Tunisie, le Maroc, l'Allemagne, la Jordanie, l'Argentine, la Belgique, le Congo-Brazaville, le Niger, Oman, l'Italie, la Russie, le Togo, le Mali et le Bénin. Tous les genres du 4e art seront en principe présents, cela va du théâtre festif au théâtre populaire en passant par le théâtre engagé. Le théâtre palestinien qui participe avec deux formations sera à l'honneur de cette manifestation. Azur-Plage abritera des journées d'étude (du 18 au 21 octobre) portant sur la thématique de «la narratologie et les arts du spectacle vivant». Il s'agira de faire une relecture du chant épique et de la poésie narrative à la lumière d'un travail comparatif entre l'œuvre d'Homère et la tradition algérienne. Ce qui donne cette conférence ayant pour titre «Homère, de l'imzad, du blues au slam». Les participants plancheront aussi sur la problématique du «Corps » et de l'« écriture » à travers une communication intitulée «Corps, mémoire et récits». Ils auront aussi à traiter du «Théâtre et histoire de vie : divertissement ou avertissement». Cinq ateliers devant traiter des thèmes de l'écriture dramatique, de l'actorat, de la mise en scène, de la critique de théâtre, et de l'expression corporelle, seront également organisés et encadrés par Saïd Ennadji, Ivan Romouv et Nadia Bousennoun. Aussi le théâtre de l'improvisation se ménagera une place dans ce festival. Ce type de théâtre, pense-t-on, est le plus à même d'attirer l'attention des jeunes sur le 4e art. À l'intention des gens de la presse, une rencontre-débat sur la place du théâtre dans la presse écrite ainsi que des après-midi poétiques et littéraires seront animés par le journaliste-écrivain Abderezak Boukebba. Les organisateurs ont consenti un effort afin de populariser le festival à travers l'investissement d'espaces publics tels que le parvis du TNA, l'esplanade du Port-Saïd, le Palais des Raïs, les Maisons de jeunesse de Staouéli et Bab Ezzouar et le Musée de la calligraphie. Des rencontres autour de l'art de la parole et du conte seront animées par des conteurs nationaux et étrangers. Aussi des ventes-dédicaces de livres sont programmées une heure avant chaque représentation. Cette fois-ci indique-t-on, les commissaires des autres festivals (marionnettes, amateurs, professionnel, comique, pour enfants etc) devront prendre part au FITA en tant qu' «interlocuteurs de nos partenaires étrangers ». Le pari des organisateurs est de faire du FITA une manifestation de référence internationale. Plusieurs pays prennent part à cette manifestation dont la France, la Tunisie, le Maroc, l'Allemagne, la Jordanie, l'Argentine, la Belgique, le Congo-Brazaville, le Niger, Oman, l'Italie, la Russie, le Togo, le Mali et le Bénin. Tous les genres du 4e art seront en principe présents, cela va du théâtre festif au théâtre populaire en passant par le théâtre engagé. Le théâtre palestinien qui participe avec deux formations sera à l'honneur de cette manifestation. Azur-Plage abritera des journées d'étude (du 18 au 21 octobre) portant sur la thématique de «la narratologie et les arts du spectacle vivant». Il s'agira de faire une relecture du chant épique et de la poésie narrative à la lumière d'un travail comparatif entre l'œuvre d'Homère et la tradition algérienne. Ce qui donne cette conférence ayant pour titre «Homère, de l'imzad, du blues au slam». Les participants plancheront aussi sur la problématique du «Corps » et de l'« écriture » à travers une communication intitulée «Corps, mémoire et récits». Ils auront aussi à traiter du «Théâtre et histoire de vie : divertissement ou avertissement». Cinq ateliers devant traiter des thèmes de l'écriture dramatique, de l'actorat, de la mise en scène, de la critique de théâtre, et de l'expression corporelle, seront également organisés et encadrés par Saïd Ennadji, Ivan Romouv et Nadia Bousennoun. Aussi le théâtre de l'improvisation se ménagera une place dans ce festival. Ce type de théâtre, pense-t-on, est le plus à même d'attirer l'attention des jeunes sur le 4e art. À l'intention des gens de la presse, une rencontre-débat sur la place du théâtre dans la presse écrite ainsi que des après-midi poétiques et littéraires seront animés par le journaliste-écrivain Abderezak Boukebba. Les organisateurs ont consenti un effort afin de populariser le festival à travers l'investissement d'espaces publics tels que le parvis du TNA, l'esplanade du Port-Saïd, le Palais des Raïs, les Maisons de jeunesse de Staouéli et Bab Ezzouar et le Musée de la calligraphie. Des rencontres autour de l'art de la parole et du conte seront animées par des conteurs nationaux et étrangers. Aussi des ventes-dédicaces de livres sont programmées une heure avant chaque représentation. Cette fois-ci indique-t-on, les commissaires des autres festivals (marionnettes, amateurs, professionnel, comique, pour enfants etc) devront prendre part au FITA en tant qu' «interlocuteurs de nos partenaires étrangers ». Le pari des organisateurs est de faire du FITA une manifestation de référence internationale.