La quatrième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies chargée de la décolonisation a adopté à l'unanimité, lundi à New York, une résolution qui réaffirme le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance, rejetant ainsi l'occupation illégale du Sahara occidental par le Maroc. La quatrième Commission dans son attendu, appuie le processus de négociation initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009) et 1920 (2010) du Conseil de sécurité, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. La victoire diplomatique du Front Polisario et du gouvernement Sahraoui est importante en ce sens que la 4ème Commission de l'AG des Nations Unies chargée de la décolonisation considère que toutes les formules possibles d'autodétermination des territoires sont valables dès lors qu'elles correspondent aux vœux librement exprimés des peuples concernés et qu'elles sont conformes aux principes clairement définis dans ses résolutions 1514 (XV) et 1541 (XV), en date des 14 et 15 décembre 1960 respectivement, et d'autres résolutions qu'elle a adoptées. Les principes du droit et de la légalité internationale se sont imposés d'une manière éclatante et ne souffre d'aucune équivoque. La victoire diplomatique du Front Polisario et du gouvernement de la République Arabe Sahraouie Démocratique vient couronner une série de succès obtenus dans les différents forums internationaux organisés pour réaffirmer la solidarité avec le peuple sahraoui en lutte contre l'expansionnisme marocain et la consécration du principe du libre choix du peuple sahraoui de disposer de lui-même. Le dernier en date s'est tenu le mois de septembre dernier à Alger. 300 conviés, dont des délégués de comités de soutien à la cause sahraouie d'Italie, d'Espagne, d'Autriche, d'Inde, de Mauritanie, de Hongrie, d'Autriche, d'Afrique du Sud, du Chili, du Mexique, de la Hongrie, de Suède, des USA, etc. de même que plus d'une centaine de journalistes étrangers, majoritairement des Espagnols ont participé à la Conférence internationale sous le thème du droit des peuples à la résistance : le cas sahraoui. La conférence qui était organisée notamment par le Comité national de solidarité avec le peuple sahraoui est, selon le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar « de nature à éclaircir la situation et à lever les équivoques concernant le dossier de décolonisation du Sahara occidental, notamment les campagnes de désinformation conduites par le Maroc et ses alliés ». A force détails sur les atrocités commises par la soldatesque de sa majesté, Mohamed V, les participants ont la condamné la répression exercée par les forces marocaines qui n'a pas concerné uniquement les Sahraouis qui militent pour le recouvrement de leur souveraineté, mais aussi des défenseurs étrangers de ce droit. Ils ont aussi condamné la gestion par la force du Maroc dans les territoires occupés, comme l'illustrent la présence de 160 000 soldats du royaume et l'édification du mur de la honte sur une longueur de plus de 2000 km. Suite à cette résolution, le ministre des Affaires étrangères de la République sahraouie, Mohamed Salem Ould Salek, s'est félicité de l'adoption de cette résolution, soulignant que durant une semaine, les membres des Nations Unies, individuellement ou collectivement, « ont multiplié les appels pour l'exercice du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui ainsi que pour l'organisation du référendum dans les plus brefs délais en vue de mettre fin à l'occupation illégale de notre pays par le Maroc ». Selon le responsable sahraoui, « plusieurs pays ont aussi tenu à dénoncer les violations systématiques des droits de l'homme par l'occupant marocain ainsi que le pillage des ressources naturelles du Sahara occidental ». Par ailleurs, lors de la dernière journée des débats au sein de la commission onusienne de décolonisation, plusieurs pays ont réitéré leur appel pressant pour parvenir à une « solution politique juste, durable et mutuellement acceptable » qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. Rappelons que le projet de résolution sera soumis à l'adoption de l'assemblée générale de l'ONU en décembre prochain. La quatrième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies chargée de la décolonisation a adopté à l'unanimité, lundi à New York, une résolution qui réaffirme le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance, rejetant ainsi l'occupation illégale du Sahara occidental par le Maroc. La quatrième Commission dans son attendu, appuie le processus de négociation initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009) et 1920 (2010) du Conseil de sécurité, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. La victoire diplomatique du Front Polisario et du gouvernement Sahraoui est importante en ce sens que la 4ème Commission de l'AG des Nations Unies chargée de la décolonisation considère que toutes les formules possibles d'autodétermination des territoires sont valables dès lors qu'elles correspondent aux vœux librement exprimés des peuples concernés et qu'elles sont conformes aux principes clairement définis dans ses résolutions 1514 (XV) et 1541 (XV), en date des 14 et 15 décembre 1960 respectivement, et d'autres résolutions qu'elle a adoptées. Les principes du droit et de la légalité internationale se sont imposés d'une manière éclatante et ne souffre d'aucune équivoque. La victoire diplomatique du Front Polisario et du gouvernement de la République Arabe Sahraouie Démocratique vient couronner une série de succès obtenus dans les différents forums internationaux organisés pour réaffirmer la solidarité avec le peuple sahraoui en lutte contre l'expansionnisme marocain et la consécration du principe du libre choix du peuple sahraoui de disposer de lui-même. Le dernier en date s'est tenu le mois de septembre dernier à Alger. 300 conviés, dont des délégués de comités de soutien à la cause sahraouie d'Italie, d'Espagne, d'Autriche, d'Inde, de Mauritanie, de Hongrie, d'Autriche, d'Afrique du Sud, du Chili, du Mexique, de la Hongrie, de Suède, des USA, etc. de même que plus d'une centaine de journalistes étrangers, majoritairement des Espagnols ont participé à la Conférence internationale sous le thème du droit des peuples à la résistance : le cas sahraoui. La conférence qui était organisée notamment par le Comité national de solidarité avec le peuple sahraoui est, selon le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar « de nature à éclaircir la situation et à lever les équivoques concernant le dossier de décolonisation du Sahara occidental, notamment les campagnes de désinformation conduites par le Maroc et ses alliés ». A force détails sur les atrocités commises par la soldatesque de sa majesté, Mohamed V, les participants ont la condamné la répression exercée par les forces marocaines qui n'a pas concerné uniquement les Sahraouis qui militent pour le recouvrement de leur souveraineté, mais aussi des défenseurs étrangers de ce droit. Ils ont aussi condamné la gestion par la force du Maroc dans les territoires occupés, comme l'illustrent la présence de 160 000 soldats du royaume et l'édification du mur de la honte sur une longueur de plus de 2000 km. Suite à cette résolution, le ministre des Affaires étrangères de la République sahraouie, Mohamed Salem Ould Salek, s'est félicité de l'adoption de cette résolution, soulignant que durant une semaine, les membres des Nations Unies, individuellement ou collectivement, « ont multiplié les appels pour l'exercice du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui ainsi que pour l'organisation du référendum dans les plus brefs délais en vue de mettre fin à l'occupation illégale de notre pays par le Maroc ». Selon le responsable sahraoui, « plusieurs pays ont aussi tenu à dénoncer les violations systématiques des droits de l'homme par l'occupant marocain ainsi que le pillage des ressources naturelles du Sahara occidental ». Par ailleurs, lors de la dernière journée des débats au sein de la commission onusienne de décolonisation, plusieurs pays ont réitéré leur appel pressant pour parvenir à une « solution politique juste, durable et mutuellement acceptable » qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. Rappelons que le projet de résolution sera soumis à l'adoption de l'assemblée générale de l'ONU en décembre prochain.