Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base, le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant, elle, conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas. Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base, le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant, elle, conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas. Le secrétaire général du FLN fait- il dans la diversion ? Il y a tout lieu de le croire car, s'agissant de la guerre des tranchées qui fait rage au sein du vieux parti il, a préféré faire dans la fuite en avant plutôt que d'admettre une vérité connue de tous. Contrairement à ses habitudes, Abdelaziz Belkhadem vient, en effet, de se distinguer en accusant la presse nationale de mauvaise foi. Les propos du patron du FLN, rapportés par l'image et le son par l'ENTV dans son journal de 20H de jeudi dernier, ne souffraient d'aucune équivoque. «Il ne faut pas croire tout ce qui se dit dans les colonnes de la presse nationale il y a beaucoup d'exagération» a-t-il indiqué devant les militants et les cadres du parti lors d'un meeting animé le même jour dans la wilaya de Mostaganem ajoutant que la «presse fait dans la déformation des faits». A l'évidence, cette sortie médiatique du secrétaire général du vieux parti cache mal la perte de son sang- froid devant la tournure prise par les événements à l'intérieur du parti. Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base , le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant , elle , conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas . Pis, ces luttes intestines ont carrément pris la tournure d'une véritable guerre des tranchées où tous les moyens, y compris ceux répulsifs,, sont utilisés par les différents protagonistes. Une situation que Belkhadem préfère qualifier de tout à fait normal dans la vie d'un parti politique. «Nous sommes heureux que des personnes veulent se maintenir au sein du FLN et ambitionnent même de briguer des postes de responsabilités, l'essentiel c'est que nos rangs ne soient pas vidés», préfère-t-il attester pour minimiser les faits. En effet, les informations rapportées à longueur de colonnes par la presse écrite nationale font souvent état de véritables batailles rangées opposant les multiples clans pour le leadership sur les kasmas. Ces scènes de bagarres générales, où les militants en viennent aux mains et utilisent même des bars de fer et des armes blanches, ont débordé du cadre des sièges des structures du parti pour être portées à la rue. D'ailleurs pas plus tard qu'avant-hier ; dans la soirée du mercredi au jeudi, Annaba a vécu le même scénario. Pis, dans cette bataille opposant les partisans du Mouhafedh, qui ont pris d'assaut le siège de la mouhafada, des coktails molotov, ont été utilisés et n'était ce l'intervention rapide des forces de l'ordre les événements auraient pris une tournure dangereuse. Pour de nombreux observateurs, jamais une opération de renouvellement des structures des kasmas, qui doit s'achever à la fin du mois en cours comme programmée par la direction politique du parti, n'a connu une telle tension. Il faut dire que des poids lourds du parti, écartés du bureau politique par le secrétaire général, n'ont pas digéré l'attitude de Belkhadem et sont passés carrément à l'opposition. Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ne cachent plus leur amertume à l'égard de Belkhadem. D'autres voix se sont élevées aussi pour dire leur ressentiment. C'est ainsi le cas du ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, qui s'est départi de sa réserve pour se prononcer ouvertement contre la manière de faire du secrétaire général. De plus on prête à de nombreux cadres, mécontents de la composante du bureau politique imposée par Belkhadem, dont les pouvoirs ont été renforcés lors du dernier congrès, l'intention de vouloir manifester ouvertement leur opposition au pouvoir du patron du FLN. Et c'est dans ce conteste que se déroule l'opération de renouvellement des structures des kasmas à travers laquelle les différents protagonistes veulent se positionner en perspective des élections législatives et locales de 2012. A. S.Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base, le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant, elle, conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas. Par Amine Salama Le secrétaire général du FLN fait- il dans la diversion ? Il y a tout lieu de le croire car, s'agissant de la guerre des tranchées qui fait rage au sein du vieux parti il, a préféré faire dans la fuite en avant plutôt que d'admettre une vérité connue de tous. Contrairement à ses habitudes, Abdelaziz Belkhadem vient, en effet, de se distinguer en accusant la presse nationale de mauvaise foi. Les propos du patron du FLN, rapportés par l'image et le son par l'ENTV dans son journal de 20H de jeudi dernier, ne souffraient d'aucune équivoque. «Il ne faut pas croire tout ce qui se dit dans les colonnes de la presse nationale il y a beaucoup d'exagération» a-t-il indiqué devant les militants et les cadres du parti lors d'un meeting animé le même jour dans la wilaya de Mostaganem ajoutant que la «presse fait dans la déformation des faits». A l'évidence, cette sortie médiatique du secrétaire général du vieux parti cache mal la perte de son sang- froid devant la tournure prise par les événements à l'intérieur du parti. Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base , le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant , elle , conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas . Pis, ces luttes intestines ont carrément pris la tournure d'une véritable guerre des tranchées où tous les moyens, y compris ceux répulsifs,, sont utilisés par les différents protagonistes. Une situation que Belkhadem préfère qualifier de tout à fait normal dans la vie d'un parti politique. «Nous sommes heureux que des personnes veulent se maintenir au sein du FLN et ambitionnent même de briguer des postes de responsabilités, l'essentiel c'est que nos rangs ne soient pas vidés», préfère-t-il attester pour minimiser les faits. En effet, les informations rapportées à longueur de colonnes par la presse écrite nationale font souvent état de véritables batailles rangées opposant les multiples clans pour le leadership sur les kasmas. Ces scènes de bagarres générales, où les militants en viennent aux mains et utilisent même des bars de fer et des armes blanches, ont débordé du cadre des sièges des structures du parti pour être portées à la rue. D'ailleurs pas plus tard qu'avant-hier ; dans la soirée du mercredi au jeudi, Annaba a vécu le même scénario. Pis, dans cette bataille opposant les partisans du Mouhafedh, qui ont pris d'assaut le siège de la mouhafada, des coktails molotov, ont été utilisés et n'était ce l'intervention rapide des forces de l'ordre les événements auraient pris une tournure dangereuse. Pour de nombreux observateurs, jamais une opération de renouvellement des structures des kasmas, qui doit s'achever à la fin du mois en cours comme programmée par la direction politique du parti, n'a connu une telle tension. Il faut dire que des poids lourds du parti, écartés du bureau politique par le secrétaire général, n'ont pas digéré l'attitude de Belkhadem et sont passés carrément à l'opposition. Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ne cachent plus leur amertume à l'égard de Belkhadem. D'autres voix se sont élevées aussi pour dire leur ressentiment. C'est ainsi le cas du ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, qui s'est départi de sa réserve pour se prononcer ouvertement contre la manière de faire du secrétaire général. De plus on prête à de nombreux cadres, mécontents de la composante du bureau politique imposée par Belkhadem, dont les pouvoirs ont été renforcés lors du dernier congrès, l'intention de vouloir manifester ouvertement leur opposition au pouvoir du patron du FLN. Et c'est dans ce conteste que se déroule l'opération de renouvellement des structures des kasmas à travers laquelle les différents protagonistes veulent se positionner en perspective des élections législatives et locales de 2012. Le secrétaire général du FLN fait- il dans la diversion ? Il y a tout lieu de le croire car, s'agissant de la guerre des tranchées qui fait rage au sein du vieux parti il, a préféré faire dans la fuite en avant plutôt que d'admettre une vérité connue de tous. Contrairement à ses habitudes, Abdelaziz Belkhadem vient, en effet, de se distinguer en accusant la presse nationale de mauvaise foi. Les propos du patron du FLN, rapportés par l'image et le son par l'ENTV dans son journal de 20H de jeudi dernier, ne souffraient d'aucune équivoque. «Il ne faut pas croire tout ce qui se dit dans les colonnes de la presse nationale il y a beaucoup d'exagération» a-t-il indiqué devant les militants et les cadres du parti lors d'un meeting animé le même jour dans la wilaya de Mostaganem ajoutant que la «presse fait dans la déformation des faits». A l'évidence, cette sortie médiatique du secrétaire général du vieux parti cache mal la perte de son sang- froid devant la tournure prise par les événements à l'intérieur du parti. Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base , le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant , elle , conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas . Pis, ces luttes intestines ont carrément pris la tournure d'une véritable guerre des tranchées où tous les moyens, y compris ceux répulsifs,, sont utilisés par les différents protagonistes. Une situation que Belkhadem préfère qualifier de tout à fait normal dans la vie d'un parti politique. «Nous sommes heureux que des personnes veulent se maintenir au sein du FLN et ambitionnent même de briguer des postes de responsabilités, l'essentiel c'est que nos rangs ne soient pas vidés», préfère-t-il attester pour minimiser les faits. En effet, les informations rapportées à longueur de colonnes par la presse écrite nationale font souvent état de véritables batailles rangées opposant les multiples clans pour le leadership sur les kasmas. Ces scènes de bagarres générales, où les militants en viennent aux mains et utilisent même des bars de fer et des armes blanches, ont débordé du cadre des sièges des structures du parti pour être portées à la rue. D'ailleurs pas plus tard qu'avant-hier ; dans la soirée du mercredi au jeudi, Annaba a vécu le même scénario. Pis, dans cette bataille opposant les partisans du Mouhafedh, qui ont pris d'assaut le siège de la mouhafada, des coktails molotov, ont été utilisés et n'était ce l'intervention rapide des forces de l'ordre les événements auraient pris une tournure dangereuse. Pour de nombreux observateurs, jamais une opération de renouvellement des structures des kasmas, qui doit s'achever à la fin du mois en cours comme programmée par la direction politique du parti, n'a connu une telle tension. Il faut dire que des poids lourds du parti, écartés du bureau politique par le secrétaire général, n'ont pas digéré l'attitude de Belkhadem et sont passés carrément à l'opposition. Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ne cachent plus leur amertume à l'égard de Belkhadem. D'autres voix se sont élevées aussi pour dire leur ressentiment. C'est ainsi le cas du ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, qui s'est départi de sa réserve pour se prononcer ouvertement contre la manière de faire du secrétaire général. De plus on prête à de nombreux cadres, mécontents de la composante du bureau politique imposée par Belkhadem, dont les pouvoirs ont été renforcés lors du dernier congrès, l'intention de vouloir manifester ouvertement leur opposition au pouvoir du patron du FLN. Et c'est dans ce conteste que se déroule l'opération de renouvellement des structures des kasmas à travers laquelle les différents protagonistes veulent se positionner en perspective des élections législatives et locales de 2012. A. S.Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base, le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant, elle, conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas. Par Amine Salama Le secrétaire général du FLN fait- il dans la diversion ? Il y a tout lieu de le croire car, s'agissant de la guerre des tranchées qui fait rage au sein du vieux parti il, a préféré faire dans la fuite en avant plutôt que d'admettre une vérité connue de tous. Contrairement à ses habitudes, Abdelaziz Belkhadem vient, en effet, de se distinguer en accusant la presse nationale de mauvaise foi. Les propos du patron du FLN, rapportés par l'image et le son par l'ENTV dans son journal de 20H de jeudi dernier, ne souffraient d'aucune équivoque. «Il ne faut pas croire tout ce qui se dit dans les colonnes de la presse nationale il y a beaucoup d'exagération» a-t-il indiqué devant les militants et les cadres du parti lors d'un meeting animé le même jour dans la wilaya de Mostaganem ajoutant que la «presse fait dans la déformation des faits». A l'évidence, cette sortie médiatique du secrétaire général du vieux parti cache mal la perte de son sang- froid devant la tournure prise par les événements à l'intérieur du parti. Engagé dans une vaste opération de renouvellement de ses structures locales de base , le FLN peine à achever cette première phase qui concerne les bureaux des kasmas en attendant la deuxième phase devant , elle , conduire au renouvellement des bureaux des mouhafadhas . Pis, ces luttes intestines ont carrément pris la tournure d'une véritable guerre des tranchées où tous les moyens, y compris ceux répulsifs,, sont utilisés par les différents protagonistes. Une situation que Belkhadem préfère qualifier de tout à fait normal dans la vie d'un parti politique. «Nous sommes heureux que des personnes veulent se maintenir au sein du FLN et ambitionnent même de briguer des postes de responsabilités, l'essentiel c'est que nos rangs ne soient pas vidés», préfère-t-il attester pour minimiser les faits. En effet, les informations rapportées à longueur de colonnes par la presse écrite nationale font souvent état de véritables batailles rangées opposant les multiples clans pour le leadership sur les kasmas. Ces scènes de bagarres générales, où les militants en viennent aux mains et utilisent même des bars de fer et des armes blanches, ont débordé du cadre des sièges des structures du parti pour être portées à la rue. D'ailleurs pas plus tard qu'avant-hier ; dans la soirée du mercredi au jeudi, Annaba a vécu le même scénario. Pis, dans cette bataille opposant les partisans du Mouhafedh, qui ont pris d'assaut le siège de la mouhafada, des coktails molotov, ont été utilisés et n'était ce l'intervention rapide des forces de l'ordre les événements auraient pris une tournure dangereuse. Pour de nombreux observateurs, jamais une opération de renouvellement des structures des kasmas, qui doit s'achever à la fin du mois en cours comme programmée par la direction politique du parti, n'a connu une telle tension. Il faut dire que des poids lourds du parti, écartés du bureau politique par le secrétaire général, n'ont pas digéré l'attitude de Belkhadem et sont passés carrément à l'opposition. Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ne cachent plus leur amertume à l'égard de Belkhadem. D'autres voix se sont élevées aussi pour dire leur ressentiment. C'est ainsi le cas du ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, qui s'est départi de sa réserve pour se prononcer ouvertement contre la manière de faire du secrétaire général. De plus on prête à de nombreux cadres, mécontents de la composante du bureau politique imposée par Belkhadem, dont les pouvoirs ont été renforcés lors du dernier congrès, l'intention de vouloir manifester ouvertement leur opposition au pouvoir du patron du FLN. Et c'est dans ce conteste que se déroule l'opération de renouvellement des structures des kasmas à travers laquelle les différents protagonistes veulent se positionner en perspective des élections législatives et locales de 2012.