Plusieurs tronçons ne sont toujours pas bitumés, notamment dans les parties où la réalisation de dallons était prévue. Ledit axe routier est menacé par les glissements de terrain, particulièrement dans sa partie reliant les Issers à Chaâbet El-Ameur, en raison du caractère géologique des terres. Plusieurs tronçons ne sont toujours pas bitumés, notamment dans les parties où la réalisation de dallons était prévue. Ledit axe routier est menacé par les glissements de terrain, particulièrement dans sa partie reliant les Issers à Chaâbet El-Ameur, en raison du caractère géologique des terres. La quasi-totalité du réseau routier dans la wilaya de Boumerdès est dans un état de dégradation avancée. Plusieurs axes routiers considérés importants sont impraticables et les usagers sont durement pénalisés par cette situation qui risque de perdurer encore à l'approche de l'hiver. Selon un rapport de la DPAT, Boumerdès compte 281 km de routes nationales (RN 05, 12, 24, 29, 61, 86, 71 et la 25), toutes revêtues. Mais en réalité, plusieurs routes nationales sont dégradées. A titre d'exemple, la RN 68, longue de 37 km, qui relie la localité de Cap Djenet à Tizi-Ouzou via les Issers, se trouve dans un état lamentable en raison de l'arrêt des travaux de modernisation depuis plusieurs mois. Plusieurs tronçons ne sont toujours pas bitumés, notamment dans les parties où la réalisation de dallons était prévue. Ledit axe routier est menacé par les glissements de terrain, particulièrement dans sa partie reliant les Issers à Chaâbet El-Ameur, en raison du caractère géologique des terres. Un affaissement de terrain s'est produit durant l'hiver 2009, et jusqu'au jour d'aujourd'hui, aucune autorité n'a daigné débloquer une enveloppe financière pour sa réfection. Les automobilistes, et particulièrement les transporteurs de voyageurs qui, journellement, utilisent ledit axe, sont pénalisés. Les dernières intempéries enregistrées ces derniers jours ont causé d'innombrables désagréments aux usagers sans autant provoquer de dégâts. Les chemins de wilaya sont pas, par ailleurs, épargnés par les dégradations au niveau de plusieurs endroits. Notons que la wilaya compte 349 km de chemins de wilaya. Par ailleurs, la wilaya enregistre un déficit en matière d'infrastructures routières communales. En effet, sur les 850, 770 km de chemins communaux, seuls 459, 400 km sont revêtus. C'est-à-dire la moitié du réseau communal n'est toujours pas revêtu. Tous les chemins reliant les localités sont dégradés et ce, malgré les dépenses colossales injectées dans le revêtement et la réfection des routes. Pratiquement toutes les communes de la wilaya sont enclavées. A Naciria, pour ne citer que cette commune, le réseau routier est totalement détérioré. Même le chef-lieu communal laisse à désirer. Les communes rurales et semi-rurales, telles Baghlia, Chaâbet El-Ameur, Afir, Timezrite et Keddara sont les plus touchées par cette détérioration. De ce fait, les villages sont de plus en plus isolés du reste du monde. Et l'unique victime dans tous cela reste, bien sûr, la population. Car de plus en plus de transporteurs boudent ces routes pleines de crevasses et de nids-de-poule. Par ailleurs, Boumerdès est traversée par deux importantes voies expresses, la RN 61 et la RN12, ainsi que par l'autoroute Est-Ouest sur un linéaire d'une trentaine de kilomètres. On apprendra que la DTP a programmé plusieurs opérations de liaison, comme la liaison RN 19-échangeur CW 36, dans la commune de Larbaâtche, le dédoublement de la RN 68, entre Cap Djenet et Bordj Ménaïel ; ce dernier fera liaison avec la 3e rocade autoroutière et le port commercial projeté du centre à Oued Issers. La quasi-totalité du réseau routier dans la wilaya de Boumerdès est dans un état de dégradation avancée. Plusieurs axes routiers considérés importants sont impraticables et les usagers sont durement pénalisés par cette situation qui risque de perdurer encore à l'approche de l'hiver. Selon un rapport de la DPAT, Boumerdès compte 281 km de routes nationales (RN 05, 12, 24, 29, 61, 86, 71 et la 25), toutes revêtues. Mais en réalité, plusieurs routes nationales sont dégradées. A titre d'exemple, la RN 68, longue de 37 km, qui relie la localité de Cap Djenet à Tizi-Ouzou via les Issers, se trouve dans un état lamentable en raison de l'arrêt des travaux de modernisation depuis plusieurs mois. Plusieurs tronçons ne sont toujours pas bitumés, notamment dans les parties où la réalisation de dallons était prévue. Ledit axe routier est menacé par les glissements de terrain, particulièrement dans sa partie reliant les Issers à Chaâbet El-Ameur, en raison du caractère géologique des terres. Un affaissement de terrain s'est produit durant l'hiver 2009, et jusqu'au jour d'aujourd'hui, aucune autorité n'a daigné débloquer une enveloppe financière pour sa réfection. Les automobilistes, et particulièrement les transporteurs de voyageurs qui, journellement, utilisent ledit axe, sont pénalisés. Les dernières intempéries enregistrées ces derniers jours ont causé d'innombrables désagréments aux usagers sans autant provoquer de dégâts. Les chemins de wilaya sont pas, par ailleurs, épargnés par les dégradations au niveau de plusieurs endroits. Notons que la wilaya compte 349 km de chemins de wilaya. Par ailleurs, la wilaya enregistre un déficit en matière d'infrastructures routières communales. En effet, sur les 850, 770 km de chemins communaux, seuls 459, 400 km sont revêtus. C'est-à-dire la moitié du réseau communal n'est toujours pas revêtu. Tous les chemins reliant les localités sont dégradés et ce, malgré les dépenses colossales injectées dans le revêtement et la réfection des routes. Pratiquement toutes les communes de la wilaya sont enclavées. A Naciria, pour ne citer que cette commune, le réseau routier est totalement détérioré. Même le chef-lieu communal laisse à désirer. Les communes rurales et semi-rurales, telles Baghlia, Chaâbet El-Ameur, Afir, Timezrite et Keddara sont les plus touchées par cette détérioration. De ce fait, les villages sont de plus en plus isolés du reste du monde. Et l'unique victime dans tous cela reste, bien sûr, la population. Car de plus en plus de transporteurs boudent ces routes pleines de crevasses et de nids-de-poule. Par ailleurs, Boumerdès est traversée par deux importantes voies expresses, la RN 61 et la RN12, ainsi que par l'autoroute Est-Ouest sur un linéaire d'une trentaine de kilomètres. On apprendra que la DTP a programmé plusieurs opérations de liaison, comme la liaison RN 19-échangeur CW 36, dans la commune de Larbaâtche, le dédoublement de la RN 68, entre Cap Djenet et Bordj Ménaïel ; ce dernier fera liaison avec la 3e rocade autoroutière et le port commercial projeté du centre à Oued Issers.