Le quartier La glacière connaît un flux de circulation à cause des travaux du tramway. Les automobilistes, les transports en commun, tels que ceux de Ain Taya, Dar el Beida et autres vers Alger, ainsi que les automobilistespassent plus d'une heure dans la circulation. Pourtant la distance n'est pas aussi importante. C'est tout juste le tronçon La Glacière - Parc du Caroubier. Pour les automobilistes, c'est totalement irrationnel de passer tout ce temps faire deux kilomètres pour se rendre à leur travail. Ils sont obligés de sortir très tôt pour être à l'heure. « A chaque fois que j'emprunte cette rue je le regrette immédiatement et amèrement. Je me trouve coincé au milieu de toutes ces voitures sans avancer et sans pouvoir faire demi tour», nous a déclaré un automobiliste. D'autres automobilistes résidents n'ont d'autres choix que de passer par là. C'est un cauchemar au quotidien. Djamel, un habitant du coin a exprimé son mécontentement : « si j'avais les moyens je me déménagerai les yeux fermés. Je pense à éviter cette circulation dès mon réveil et cela m'épuise moralement ». Les chauffeurs du transport en commun, eux aussi, désapprouvent cette situation qui les pénalise. Pour éviter toute cette circulation et pouvoir faire leurs trajets le plus normalement possible, ils sont forcés de trouver une solution et n'ont d'autres choix que d'emprunter l'autoroute pour faire leur navette. Les chauffeurs du transport en commun comme ses usagers privilégient cette solution. Les chauffeurs, apparemment, préfèrent prendre le risque d'être arrêtés par les motards que de perdre leur temps en passant par la ligne légale. Ils risquent, par ce comportement, le retrait de leur permis de conduire. Mais, selon eux, aucune autre solution n'est possible pour l'instant. L'un des chauffeurs dira « Si on n'opte pas pour cette solution, on ne pourra pas travailler. même si notre permis est en jeu Imaginez-vous rester toute une heure au minimum pour faire 500 mètres ! Ce n'est pas évident. Plusieurs de nos usagers ont demandé qu'on les dépose au beau milieu du chemin tellement qu'ils en ont ras-le-bol », a-t-il avoué. Et d'ajouter : « passer par l'autoroute nous arrange nous et les usagers aussi puisque cela leur permet d'arriver sans trop de retard ». En effet, les usagers de cette ligne sont satisfaits. Malika, qui travaille à Alger, encourage le comportement des chauffeurs du transport en commun. « Je dois penser à mon travail avant tout. Le bus qui emprunte la ligne légale ne m'arrange nullement », a-t-elle avoué. Le quartier La glacière connaît un flux de circulation à cause des travaux du tramway. Les automobilistes, les transports en commun, tels que ceux de Ain Taya, Dar el Beida et autres vers Alger, ainsi que les automobilistespassent plus d'une heure dans la circulation. Pourtant la distance n'est pas aussi importante. C'est tout juste le tronçon La Glacière - Parc du Caroubier. Pour les automobilistes, c'est totalement irrationnel de passer tout ce temps faire deux kilomètres pour se rendre à leur travail. Ils sont obligés de sortir très tôt pour être à l'heure. « A chaque fois que j'emprunte cette rue je le regrette immédiatement et amèrement. Je me trouve coincé au milieu de toutes ces voitures sans avancer et sans pouvoir faire demi tour», nous a déclaré un automobiliste. D'autres automobilistes résidents n'ont d'autres choix que de passer par là. C'est un cauchemar au quotidien. Djamel, un habitant du coin a exprimé son mécontentement : « si j'avais les moyens je me déménagerai les yeux fermés. Je pense à éviter cette circulation dès mon réveil et cela m'épuise moralement ». Les chauffeurs du transport en commun, eux aussi, désapprouvent cette situation qui les pénalise. Pour éviter toute cette circulation et pouvoir faire leurs trajets le plus normalement possible, ils sont forcés de trouver une solution et n'ont d'autres choix que d'emprunter l'autoroute pour faire leur navette. Les chauffeurs du transport en commun comme ses usagers privilégient cette solution. Les chauffeurs, apparemment, préfèrent prendre le risque d'être arrêtés par les motards que de perdre leur temps en passant par la ligne légale. Ils risquent, par ce comportement, le retrait de leur permis de conduire. Mais, selon eux, aucune autre solution n'est possible pour l'instant. L'un des chauffeurs dira « Si on n'opte pas pour cette solution, on ne pourra pas travailler. même si notre permis est en jeu Imaginez-vous rester toute une heure au minimum pour faire 500 mètres ! Ce n'est pas évident. Plusieurs de nos usagers ont demandé qu'on les dépose au beau milieu du chemin tellement qu'ils en ont ras-le-bol », a-t-il avoué. Et d'ajouter : « passer par l'autoroute nous arrange nous et les usagers aussi puisque cela leur permet d'arriver sans trop de retard ». En effet, les usagers de cette ligne sont satisfaits. Malika, qui travaille à Alger, encourage le comportement des chauffeurs du transport en commun. « Je dois penser à mon travail avant tout. Le bus qui emprunte la ligne légale ne m'arrange nullement », a-t-elle avoué.