A l'approche du rendez-vous de délivrance du passeport biométrique prévu pour le mois de novembre prochain, les services de l'état civil de la capitale sont à nouveau pris d'assaut. Les files d'attentes au sein des administrations sont pratiquement entrées dans les mœurs. A l'approche du rendez-vous de délivrance du passeport biométrique prévu pour le mois de novembre prochain, les services de l'état civil de la capitale sont à nouveau pris d'assaut. Les files d'attentes au sein des administrations sont pratiquement entrées dans les mœurs. Mauvais accueil, lenteurs dans la délivrance des documents, des guichets parfois vides, l'employé étant parti à la recherche d'imprimés vierges, d'un stylo ou parce que le chef de service n'est pas là pour les signatures et plusieurs autres prétextes fallacieux... le service public se porte toujours mal dans la capitale. Citoyens, fonctionnaires et responsables, demeurent toujours ces antagonistes qui se rejettent la balle oubliant que selon les situations ils passent tour à tour d'un côté ou de l'autre du guichet. A l'approche du rendez-vous de la délivrance du passeport biométrique prévu pour le mois de novembre prochain, les services de l'état civil de la capitale sont à nouveau pris d'assaut. Les files d'attentes au sein des administrations sont pratiquement entrées dans les mœurs. Les services de l'état civil des différentes communes de la capitale sont de plus en plus submergés ces jours-ci. Les citoyens y viennent en masse pour retirer les différents documents administratifs notamment le fameux extrait de naissance n°12S. Le rush concerne les guichets de retrait de l'extrait de naissance S12 dans les 57 communes algéroises. Malgré les efforts de certaines communes notamment celles situées au centre de la capitale, tel Sidi M'Hamed, Hydra ou encore Alger Centre qui vient tout juste de dêtre informatisées, les choses ne semblent pas bien avancées et les citoyens rêvent toujours d'une administration où efficacité et performances seraient les maîtres-mots. L'anarchie et la mauvaise organisation, régnant au sein de la plupart des administrations, notamment dans les services de l'état civil, reflètent on ne peut mieux la relation un peu «crispée» du citoyen avec l'administration. Il faut dire que cette situation remet sur la table le projet d'informatisation des services de l'état civil, La pratique archaïque de remplir des documents administratifs manuellement existe toujours dans nos communes. Cinq communes seulement sur les 57 sont dotés aujourd'hui du système informatique et ce malgré les recommandations de la wilaya d'Alger i qui portent sur la nécessité de passer à l'informatisation de l'état civil pour améliorer le service et éviter plusieurs problèmes dans la surcharge, les fautes répétitives. Malgré l'informatisation dans ces cinq communes, les problèmes sont légion les files d'attente aussi. Dans la localité de Sidi M'Hamed à qui est informatisée depuis plusieurs années maintenant, les citoyens se plaignent toujours de la lenteur de l'opération et la nécessité de se déplacer et demander l'extrait de naissance à l'avance. «alors que l'opération ne doit prendre que deux minutes puisque tout est sur ordinateur, l'agent doit simplement taper le nom, cependons nous sommes confrotés aux interminables files d'attente qui exaspèrent le citoyen pour un simple extrait de naissance qu'on pourrait normalement commander et recevoir par mail», nous dira un citoyen. Dans les autres communes, en dehors de l'extrait de naissance n°12 S, introduit récemment pour la carte et le passeport biométriques, délivré à partir d'un micro-ordinateur sur la base d'un fichier de données déjà préparé, tous les autres documents sont encore rédigés à la main. La transcription manuscrite est sujette à beaucoup d'erreurs de la part des agents mais là où le bât blesse c'est que quand il faut corriger les erreurs, le citoyen est dirigé vers un autre guichet car la correction ne se fait pas sur place. «C'est la quatrième fois que je reviens ici aujourd'hui pour corriger des erreurs commises, une fois dans l'écriture de mon nom avant de découvrir que le cachet de la commune n'existe pas et revenir donc l'après-midi pour le faire », nous a affirmé une jeune fille qui dit avoir eu tout le mal de trouver le bon guichet pour rectifier les erreurs elle a été trmbalée d'un guichet à un autre pour pouvoir arracher pourtant une si petite correction. Il faut noter que les communes qui n'ont jusqu'aujourd'hui pas procédé à l'informatisation de leurs services notamment celui de l'état civil, rendent dans leurs majorité ce problèmes au manque de moyens donc au budget accordé pour la modernisation des services mais d'autres aussi soulève le problème de la formation du personnel pour pouvoir tirer le plus de bénéfice de cette nouvelles technique qui devrait sûrement alléger les souffrances du citoyen. D'autre part, Il faut signaler que plusieurs facteurs participent eux aussi à la rupture de la relation entre le citoyen et l'administration, et l'absence de confiance entre eux et pour lesquels l'employé n'est pas nécessairement fautif. La cause principale résidant dans l'exiguïté des locaux, d'où l'impossibilité de pouvoir y organiser le travail et surtout le manque de moyens et de formation. Il faut dire que l'informatisation de l' état civil à Alger est apparemment pas pour demain et les algérois notamment ceux habitant les petites communes de la capitale ou plu précisément ceux qui habitent en dehors d'Alger devraient encore patienter pour pouvoir un jour commander leurs documents et les recevoir par mail, le voeu pieu de plusieurs responsables locaux à l'instar de celui de Sidi M'Hamed ou encore AlgerCentre. Mauvais accueil, lenteurs dans la délivrance des documents, des guichets parfois vides, l'employé étant parti à la recherche d'imprimés vierges, d'un stylo ou parce que le chef de service n'est pas là pour les signatures et plusieurs autres prétextes fallacieux... le service public se porte toujours mal dans la capitale. Citoyens, fonctionnaires et responsables, demeurent toujours ces antagonistes qui se rejettent la balle oubliant que selon les situations ils passent tour à tour d'un côté ou de l'autre du guichet. A l'approche du rendez-vous de la délivrance du passeport biométrique prévu pour le mois de novembre prochain, les services de l'état civil de la capitale sont à nouveau pris d'assaut. Les files d'attentes au sein des administrations sont pratiquement entrées dans les mœurs. Les services de l'état civil des différentes communes de la capitale sont de plus en plus submergés ces jours-ci. Les citoyens y viennent en masse pour retirer les différents documents administratifs notamment le fameux extrait de naissance n°12S. Le rush concerne les guichets de retrait de l'extrait de naissance S12 dans les 57 communes algéroises. Malgré les efforts de certaines communes notamment celles situées au centre de la capitale, tel Sidi M'Hamed, Hydra ou encore Alger Centre qui vient tout juste de dêtre informatisées, les choses ne semblent pas bien avancées et les citoyens rêvent toujours d'une administration où efficacité et performances seraient les maîtres-mots. L'anarchie et la mauvaise organisation, régnant au sein de la plupart des administrations, notamment dans les services de l'état civil, reflètent on ne peut mieux la relation un peu «crispée» du citoyen avec l'administration. Il faut dire que cette situation remet sur la table le projet d'informatisation des services de l'état civil, La pratique archaïque de remplir des documents administratifs manuellement existe toujours dans nos communes. Cinq communes seulement sur les 57 sont dotés aujourd'hui du système informatique et ce malgré les recommandations de la wilaya d'Alger i qui portent sur la nécessité de passer à l'informatisation de l'état civil pour améliorer le service et éviter plusieurs problèmes dans la surcharge, les fautes répétitives. Malgré l'informatisation dans ces cinq communes, les problèmes sont légion les files d'attente aussi. Dans la localité de Sidi M'Hamed à qui est informatisée depuis plusieurs années maintenant, les citoyens se plaignent toujours de la lenteur de l'opération et la nécessité de se déplacer et demander l'extrait de naissance à l'avance. «alors que l'opération ne doit prendre que deux minutes puisque tout est sur ordinateur, l'agent doit simplement taper le nom, cependons nous sommes confrotés aux interminables files d'attente qui exaspèrent le citoyen pour un simple extrait de naissance qu'on pourrait normalement commander et recevoir par mail», nous dira un citoyen. Dans les autres communes, en dehors de l'extrait de naissance n°12 S, introduit récemment pour la carte et le passeport biométriques, délivré à partir d'un micro-ordinateur sur la base d'un fichier de données déjà préparé, tous les autres documents sont encore rédigés à la main. La transcription manuscrite est sujette à beaucoup d'erreurs de la part des agents mais là où le bât blesse c'est que quand il faut corriger les erreurs, le citoyen est dirigé vers un autre guichet car la correction ne se fait pas sur place. «C'est la quatrième fois que je reviens ici aujourd'hui pour corriger des erreurs commises, une fois dans l'écriture de mon nom avant de découvrir que le cachet de la commune n'existe pas et revenir donc l'après-midi pour le faire », nous a affirmé une jeune fille qui dit avoir eu tout le mal de trouver le bon guichet pour rectifier les erreurs elle a été trmbalée d'un guichet à un autre pour pouvoir arracher pourtant une si petite correction. Il faut noter que les communes qui n'ont jusqu'aujourd'hui pas procédé à l'informatisation de leurs services notamment celui de l'état civil, rendent dans leurs majorité ce problèmes au manque de moyens donc au budget accordé pour la modernisation des services mais d'autres aussi soulève le problème de la formation du personnel pour pouvoir tirer le plus de bénéfice de cette nouvelles technique qui devrait sûrement alléger les souffrances du citoyen. D'autre part, Il faut signaler que plusieurs facteurs participent eux aussi à la rupture de la relation entre le citoyen et l'administration, et l'absence de confiance entre eux et pour lesquels l'employé n'est pas nécessairement fautif. La cause principale résidant dans l'exiguïté des locaux, d'où l'impossibilité de pouvoir y organiser le travail et surtout le manque de moyens et de formation. Il faut dire que l'informatisation de l' état civil à Alger est apparemment pas pour demain et les algérois notamment ceux habitant les petites communes de la capitale ou plu précisément ceux qui habitent en dehors d'Alger devraient encore patienter pour pouvoir un jour commander leurs documents et les recevoir par mail, le voeu pieu de plusieurs responsables locaux à l'instar de celui de Sidi M'Hamed ou encore AlgerCentre.