Le gouverneur de la Banque d'Algérie présentera, aujourd'hui devant les députés de l'Assemblée populaire nationale, l'exposé annuel sur le développement économique et monétaire du pays. Mohamed Laksaci répondra à cette occasion aux différentes questions des parlementaires sur la politique monétaire nationale. Donc, les députés de la Chambre basse auront à débattre de la politique financière et monétaire entreprise par le pays, ainsi que des grandes orientations économiques et financières. Le bilan du gouverneur de la Banque d'Algérie est très attendu, d'autant que les recettes de la fiscalité pétrolière ont sensiblement chuté ces deux dernières années suite à la dégringolade des prix du pétrole après des records historiques. Le rapport de Mohamed Laksaci intervient en effet à la veille de la présentation de la Déclaration générale du gouvernement conjointe avec le bilan des dix-huit derniers mois qui seront présentés par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Les députés auront du pain sur la planche, puisqu'il s'agit de débattre des grandes questions nationales et qui engagent directement l'avenir du pays sur les plans économique et politique notamment. La présentation du rapport du gouverneur de la Banque d'Algérie est très importante, dans la mesure où les indicateurs macroéconomiques seront passés en revue. Le taux des réserves de change, de l'inflation, la situation du Fonds de régulation des recettes et les différentes dépenses publiques seront fixés à la faveur du passage de Mohamed Laksaci à l'APN. Lors de son dernier rapport sur l'évolution économique et monétaire communiqué en juillet dernier, la Banque d'Algérie avait estimé que l'année 2008 a été marquée par des performances financières historiques, en raison des recettes pétrolières record. Elle avait alors préconisé de continuer à gérer au mieux cette période de crise économique internationale, tout en poursuivant la mise en place des conditions nécessaires à même de diversifier l'économie nationale. Qu'en sera-t-il aujourd'hui où la donne a changé et les rentrées pétrolières ont chuté de près de 40% par rapport à l'année précédente ? Quels seraient les mécanismes financiers que préconisera le gouverneur de la Banque d'Algérie pour se prémunir des impacts de la crise financière internationale qui touchera les pays en développement, selon les experts ? C'est autant de questionnements et d'autres auxquels seront appelés à débattre les parlementaires et sur lesquels ils ne manqueront pas d'interpeller le responsable de la première institution financière du pays. Le gouverneur de la Banque d'Algérie présentera, aujourd'hui devant les députés de l'Assemblée populaire nationale, l'exposé annuel sur le développement économique et monétaire du pays. Mohamed Laksaci répondra à cette occasion aux différentes questions des parlementaires sur la politique monétaire nationale. Donc, les députés de la Chambre basse auront à débattre de la politique financière et monétaire entreprise par le pays, ainsi que des grandes orientations économiques et financières. Le bilan du gouverneur de la Banque d'Algérie est très attendu, d'autant que les recettes de la fiscalité pétrolière ont sensiblement chuté ces deux dernières années suite à la dégringolade des prix du pétrole après des records historiques. Le rapport de Mohamed Laksaci intervient en effet à la veille de la présentation de la Déclaration générale du gouvernement conjointe avec le bilan des dix-huit derniers mois qui seront présentés par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Les députés auront du pain sur la planche, puisqu'il s'agit de débattre des grandes questions nationales et qui engagent directement l'avenir du pays sur les plans économique et politique notamment. La présentation du rapport du gouverneur de la Banque d'Algérie est très importante, dans la mesure où les indicateurs macroéconomiques seront passés en revue. Le taux des réserves de change, de l'inflation, la situation du Fonds de régulation des recettes et les différentes dépenses publiques seront fixés à la faveur du passage de Mohamed Laksaci à l'APN. Lors de son dernier rapport sur l'évolution économique et monétaire communiqué en juillet dernier, la Banque d'Algérie avait estimé que l'année 2008 a été marquée par des performances financières historiques, en raison des recettes pétrolières record. Elle avait alors préconisé de continuer à gérer au mieux cette période de crise économique internationale, tout en poursuivant la mise en place des conditions nécessaires à même de diversifier l'économie nationale. Qu'en sera-t-il aujourd'hui où la donne a changé et les rentrées pétrolières ont chuté de près de 40% par rapport à l'année précédente ? Quels seraient les mécanismes financiers que préconisera le gouverneur de la Banque d'Algérie pour se prémunir des impacts de la crise financière internationale qui touchera les pays en développement, selon les experts ? C'est autant de questionnements et d'autres auxquels seront appelés à débattre les parlementaires et sur lesquels ils ne manqueront pas d'interpeller le responsable de la première institution financière du pays.