Des enfants heureux et épanouis sont la garantie d'une génération future plus stable. C'est ce qu'on entend chaque jour de la bouche de spécialistes et même de hauts responsables de notre pays qui ne cessent d'évoquer le problème du développement du secteur des loisirs dans notre pays. Un secteur pourtant très négligé par ces mêmes responsables qui déplorent une situation dans laquelle ils participent largement. Les négligences des pouvoirs publics sont vraiment regrettables et prouvent encore une fois des lacunes impardonnables. Ceux-ci sous-estiment l'importance des loisirs dans la vie des jeunes générations. Pourquoi le secteur des loisirs n'est pas dans les programmes de développement ? Ce sont des questions que je lis très souvent dans les titres de la presse nationale, mais malheureusement, ce sont des titres et des sujets sans suite. Le petit enfant algérien, dont les parents n'ont pas les moyens de l'emmener à la plage, restera dans son quartier, dehors toute la journée à tuer le temps. On pourrait dire heureusement qu'il y a la plage en Algérie. Alors je veux dire que le jeune Algérien aujourd'hui ne se contente plus de la générosité de la nature qui nous a gâtés de belles plages dans notre pays. Le jeune Algérien a besoin de savoir, de connaissances et d'expression. Il veut juste exprimer ses idées et montrer son savoir-faire. J'ai lu dans un quotidien que l'enfant comme l'adulte à besoin d'exploiter son temps vide. Ce temps de délassement et de distraction permet à l'enfant d'avoir un certain équilibre en réalisant ses ambitions les plus personnelles. Il favorise son épanouissement et le libère de toutes les contraintes et les règles imposées par le monde des adultes. Gaieté, rayonnement et épanouissement, tels sont les effets de ce temps si précieux aux yeux aussi bien des petits que des adultes. Cet espace de liberté augmente leur confiance en eux et ils sont ainsi mieux armés pour affronter les affres de la vie… Et je me suis dit pourquoi parler au lieu d'agir ? Les activités culturelles ou sportives sont, de l'avis de tous les spécialistes de la petite enfance, très importantes. Elles développent chez l'enfant un sentiment de solidarité tout en améliorant ses capacités mentales et physiques. Comment peut-on savoir que l'occupation et les loisirs peuvent donner l'équilibre et augmenter la productivité chez l'enfant et l'adulte, sans qu'on fasse quelques chose à cette société algérienne encore très jeune et qui a beaucoup de potentiel à exploiter ? je veux oublier à un moment qu'il existent des pouvoirs publics et je veux m'adresser à ces milliers d'associations subventionnées qui existent et leur dire : pourquoi perdons-nous le temps à demander de l'argent pour soit-disant vulgariser les moyens à ces jeunes alors que peu de moyens pourrait faire d'un enfant et même d'un adulte passionné ou talentueux une véritable source de production. je m'adresse aussi aux parents pour inciter leurs enfants à adhérer dans des associations pour encadrer leurs capacités et faire sortir leur savoir-faire et donc s'épanouir et vivre heureux tout en produisant. Des enfants heureux et épanouis sont la garantie d'une génération future plus stable. C'est ce qu'on entend chaque jour de la bouche de spécialistes et même de hauts responsables de notre pays qui ne cessent d'évoquer le problème du développement du secteur des loisirs dans notre pays. Un secteur pourtant très négligé par ces mêmes responsables qui déplorent une situation dans laquelle ils participent largement. Les négligences des pouvoirs publics sont vraiment regrettables et prouvent encore une fois des lacunes impardonnables. Ceux-ci sous-estiment l'importance des loisirs dans la vie des jeunes générations. Pourquoi le secteur des loisirs n'est pas dans les programmes de développement ? Ce sont des questions que je lis très souvent dans les titres de la presse nationale, mais malheureusement, ce sont des titres et des sujets sans suite. Le petit enfant algérien, dont les parents n'ont pas les moyens de l'emmener à la plage, restera dans son quartier, dehors toute la journée à tuer le temps. On pourrait dire heureusement qu'il y a la plage en Algérie. Alors je veux dire que le jeune Algérien aujourd'hui ne se contente plus de la générosité de la nature qui nous a gâtés de belles plages dans notre pays. Le jeune Algérien a besoin de savoir, de connaissances et d'expression. Il veut juste exprimer ses idées et montrer son savoir-faire. J'ai lu dans un quotidien que l'enfant comme l'adulte à besoin d'exploiter son temps vide. Ce temps de délassement et de distraction permet à l'enfant d'avoir un certain équilibre en réalisant ses ambitions les plus personnelles. Il favorise son épanouissement et le libère de toutes les contraintes et les règles imposées par le monde des adultes. Gaieté, rayonnement et épanouissement, tels sont les effets de ce temps si précieux aux yeux aussi bien des petits que des adultes. Cet espace de liberté augmente leur confiance en eux et ils sont ainsi mieux armés pour affronter les affres de la vie… Et je me suis dit pourquoi parler au lieu d'agir ? Les activités culturelles ou sportives sont, de l'avis de tous les spécialistes de la petite enfance, très importantes. Elles développent chez l'enfant un sentiment de solidarité tout en améliorant ses capacités mentales et physiques. Comment peut-on savoir que l'occupation et les loisirs peuvent donner l'équilibre et augmenter la productivité chez l'enfant et l'adulte, sans qu'on fasse quelques chose à cette société algérienne encore très jeune et qui a beaucoup de potentiel à exploiter ? je veux oublier à un moment qu'il existent des pouvoirs publics et je veux m'adresser à ces milliers d'associations subventionnées qui existent et leur dire : pourquoi perdons-nous le temps à demander de l'argent pour soit-disant vulgariser les moyens à ces jeunes alors que peu de moyens pourrait faire d'un enfant et même d'un adulte passionné ou talentueux une véritable source de production. je m'adresse aussi aux parents pour inciter leurs enfants à adhérer dans des associations pour encadrer leurs capacités et faire sortir leur savoir-faire et donc s'épanouir et vivre heureux tout en produisant.