le terrorisme a nettement régressé en Algérie, et ce, grâce aux politiques de concorde civile et de réconciliation nationale initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mais aussi aux efforts militaires sur le terrain des forces de sécurité qui ont pu éliminer de grands chefs terroristes et fragmenter les organisations affiliées à l'image du GIA et du GSPC. le terrorisme a nettement régressé en Algérie, et ce, grâce aux politiques de concorde civile et de réconciliation nationale initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mais aussi aux efforts militaires sur le terrain des forces de sécurité qui ont pu éliminer de grands chefs terroristes et fragmenter les organisations affiliées à l'image du GIA et du GSPC. L'expert en sécurité marocain spécialisé dans les groupes islamistes armés, Mohamed Dharif dément l'existence de liens entre les services de sécurité algériens et les prises d'otages qui se multiplient dans la région du Sahel, tel que colporté par certaines voix dans le royaume. Dans un entretien paru sur les colonnes du confrère Echourouk El Yaoumi, quotidien national, le spécialiste marocain trouve « absurde » que l'Algérie soit à l'origine de ces rapts pour les utiliser comme « moyen de pression sur plusieurs pays à l'image de la France et l'Espagne afin de les faire fléchir sur leur position vis-à-vis du conflit sur la Sahara Occidental ». « Des pays comme la France et l'Espagne sont très bien informés sur les prises d'otages, et sont suffisamment outillés pour détecter les véritables ravisseurs », soutient Mohamed Dharif, pour dire que « l'Algérie qui a souffert des affres du terrorisme ne peut en aucun cas commanditer de tels actes ». Il en est de même concernant les allégations marocaines quant à une éventuelle accointance entre le Front Polisario et Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Pour l'expert marocain, l'objectivité du discours voudrait qu'il n'existe aucun lien organique entre les deux organisations. « AQMI pourrait recruter des éléments sahraouis, tout comme des Marocains ou des Algériens, mais cela reste des personnes isolées qui n'ont rien à voir avec le Front Polisario », renchérit-il. Et de poursuivre que les auteurs de telles allégations « illogiques, pas scientifiques » sont des personnes inexpérimentées dans les questions sécuritaires. Par ailleurs, Mohamed Dharif a estimé que le terrorisme a nettement régressé en Algérie, et ce, grâce aux politiques de concorde civile et de réconciliation nationale initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mais aussi aux efforts militaires sur le terrain des forces de sécurité qui ont pu éliminer de grands chefs terroristes et fragmenter les organisations affiliées à l'image du GIA et du GSPC. Selon l'expert marocain en questions sécuritaires, les autorités algériennes ont adopté des mesures d'accompagnement pour gérer la crise en invitant à titre d'exemple les courants islamiques modérés à intégrer la sphère politique, dans le respect des règles du jeu politique et de la Constitution. Enfin, il a préconisé d'accentuer la coopération sécuritaire entre les pays du Maghreb afin de contrecarrer la menace terroriste et combattre tous les phénomènes connexes, le trafic d'armes et de drogue, la contrebande et la traite des humains. M. C. L'expert en sécurité marocain spécialisé dans les groupes islamistes armés, Mohamed Dharif dément l'existence de liens entre les services de sécurité algériens et les prises d'otages qui se multiplient dans la région du Sahel, tel que colporté par certaines voix dans le royaume. Dans un entretien paru sur les colonnes du confrère Echourouk El Yaoumi, quotidien national, le spécialiste marocain trouve « absurde » que l'Algérie soit à l'origine de ces rapts pour les utiliser comme « moyen de pression sur plusieurs pays à l'image de la France et l'Espagne afin de les faire fléchir sur leur position vis-à-vis du conflit sur la Sahara Occidental ». « Des pays comme la France et l'Espagne sont très bien informés sur les prises d'otages, et sont suffisamment outillés pour détecter les véritables ravisseurs », soutient Mohamed Dharif, pour dire que « l'Algérie qui a souffert des affres du terrorisme ne peut en aucun cas commanditer de tels actes ». Il en est de même concernant les allégations marocaines quant à une éventuelle accointance entre le Front Polisario et Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Pour l'expert marocain, l'objectivité du discours voudrait qu'il n'existe aucun lien organique entre les deux organisations. « AQMI pourrait recruter des éléments sahraouis, tout comme des Marocains ou des Algériens, mais cela reste des personnes isolées qui n'ont rien à voir avec le Front Polisario », renchérit-il. Et de poursuivre que les auteurs de telles allégations « illogiques, pas scientifiques » sont des personnes inexpérimentées dans les questions sécuritaires. Par ailleurs, Mohamed Dharif a estimé que le terrorisme a nettement régressé en Algérie, et ce, grâce aux politiques de concorde civile et de réconciliation nationale initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mais aussi aux efforts militaires sur le terrain des forces de sécurité qui ont pu éliminer de grands chefs terroristes et fragmenter les organisations affiliées à l'image du GIA et du GSPC. Selon l'expert marocain en questions sécuritaires, les autorités algériennes ont adopté des mesures d'accompagnement pour gérer la crise en invitant à titre d'exemple les courants islamiques modérés à intégrer la sphère politique, dans le respect des règles du jeu politique et de la Constitution. Enfin, il a préconisé d'accentuer la coopération sécuritaire entre les pays du Maghreb afin de contrecarrer la menace terroriste et combattre tous les phénomènes connexes, le trafic d'armes et de drogue, la contrebande et la traite des humains. M. C.