HP vient de présenter de nouvelles solutions intégrées qui permettent de simplifier l'exploitation et accélérer la consolidation des ressources du SI. Désormais, les clients peuvent industrialiser la production de leurs services applicatifs critiques. Les DSI doivent assurer une haute disponibilité de leurs applications critiques, tout en simplifiant l'administration de leur infrastructure technologique et en réduisant leurs coûts, précise un communiqué de HP. En fait, la baie de disques HP StorageWorks P9500 et les nouveautés de la gamme HP-UX pour systèmes Integrity améliorent la production de services applicatifs en fournissant une architecture intégrée ouverte, parfaitement adaptée aux traitements les plus lourds. Avec une nouvelle conception orientée utilisateur et une architecture basée sur des standards, la baie P9500 augmente la quantité de données administrable par une personne et double l'efficacité énergétique tout en réduisant de moitié l'empreinte au sol du système dans le data-center. Ladite solution permet également aux clients d'utiliser et de partager efficacement les ressources de stockage tout en respectant les engagements de niveau de service pour la fourniture des services applicatifs, note la même source. Une interface utilisateur améliorée avec les évolutions de la console Web d'administration distante, HP Remote Web Console, peut simplifier aussi le déploiement d'une infrastructure de stockage et réduire les temps d'administration de 40 à 60 %. "De nombreuses entreprises cherchent à améliorer leurs niveaux de disponibilité, à automatiser la reprise d'activité en cas de sinistre, ou encore à réduire les indisponibilités programmées", constate Donna Scott, Vice-Président, Distinguished Analyst, Gartner. "Et puisque les incidents se produisent, le but est de limiter leur portée afin de fournir des niveaux de services élevés pour les applications liées aux processus métiers critiques", a-t-elle ajouté. Elle cible les professionnels HP lance sa tablette Slate 500 Hewlett-Packard a présenté son premier modèle de tablette, un appareil destiné à une clientèle professionnelle vendu 799 dollars (574 euros). La tablette Slate 500 de HP, qui fonctionne avec le système d'exploitation Windows 7 de Microsoft et est équipée d'un processeur Atom d'Intel, s'apparente plus à un ordinateur que celles déjà lancées par ses concurrents, qui se rapprochent davantage des smartphones et sont comme eux dotés de puces ARM, moins gourmandes en énergie. La première tablette lancée par le groupe informatique américain est équipée d'un écran tactile multipoint et d'un stylet numérique, possède d'une capacité de stockage de 64 gigaoctets, pèse 700 grammes et dispose d'une autonomie de cinq heures. Elle est également dotée de deux caméras, permettant la visioconférence, ainsi que d'un port USB. A la différence de l'iPad d'Apple, de la Galaxy Tab de Samsung Electronics et de la Streak de Dell, appareils équipés d'une connexion 3G, la Slate 500 ne dispose que d'une connexion Wi-Fi. Pour Carol Hess-Nickels, directrice du marketing pour les ordinateurs portables de HP, cet appareil possède les fonctionnalités d'un ordinateur "mais il se trouve qu'il se présente sous la forme d'une tablette". La Slate 500, dont le prix dépasse celui des autres tablettes sur le marché, est d'ores et déjà disponible en ligne et HP compte la promouvoir auprès des entreprises grâce à ses représentants. Hewlett-Packard prévoit par ailleurs de lancer une autre tablette l'an prochain, plus orientée vers le grand public. Ce modèle sera lui équipé du système d'exploitation webOS de Palm, que le premier fabricant mondial d'ordinateurs a racheté en avril pour 1,2 milliards de dollars. Selon le cabinet d'études Gartner, le marché des tablettes devrait exploser pour atteindre 50 millions d'unités écoulées l'année en 2011. HP vient de présenter de nouvelles solutions intégrées qui permettent de simplifier l'exploitation et accélérer la consolidation des ressources du SI. Désormais, les clients peuvent industrialiser la production de leurs services applicatifs critiques. Les DSI doivent assurer une haute disponibilité de leurs applications critiques, tout en simplifiant l'administration de leur infrastructure technologique et en réduisant leurs coûts, précise un communiqué de HP. En fait, la baie de disques HP StorageWorks P9500 et les nouveautés de la gamme HP-UX pour systèmes Integrity améliorent la production de services applicatifs en fournissant une architecture intégrée ouverte, parfaitement adaptée aux traitements les plus lourds. Avec une nouvelle conception orientée utilisateur et une architecture basée sur des standards, la baie P9500 augmente la quantité de données administrable par une personne et double l'efficacité énergétique tout en réduisant de moitié l'empreinte au sol du système dans le data-center. Ladite solution permet également aux clients d'utiliser et de partager efficacement les ressources de stockage tout en respectant les engagements de niveau de service pour la fourniture des services applicatifs, note la même source. Une interface utilisateur améliorée avec les évolutions de la console Web d'administration distante, HP Remote Web Console, peut simplifier aussi le déploiement d'une infrastructure de stockage et réduire les temps d'administration de 40 à 60 %. "De nombreuses entreprises cherchent à améliorer leurs niveaux de disponibilité, à automatiser la reprise d'activité en cas de sinistre, ou encore à réduire les indisponibilités programmées", constate Donna Scott, Vice-Président, Distinguished Analyst, Gartner. "Et puisque les incidents se produisent, le but est de limiter leur portée afin de fournir des niveaux de services élevés pour les applications liées aux processus métiers critiques", a-t-elle ajouté. Elle cible les professionnels HP lance sa tablette Slate 500 Hewlett-Packard a présenté son premier modèle de tablette, un appareil destiné à une clientèle professionnelle vendu 799 dollars (574 euros). La tablette Slate 500 de HP, qui fonctionne avec le système d'exploitation Windows 7 de Microsoft et est équipée d'un processeur Atom d'Intel, s'apparente plus à un ordinateur que celles déjà lancées par ses concurrents, qui se rapprochent davantage des smartphones et sont comme eux dotés de puces ARM, moins gourmandes en énergie. La première tablette lancée par le groupe informatique américain est équipée d'un écran tactile multipoint et d'un stylet numérique, possède d'une capacité de stockage de 64 gigaoctets, pèse 700 grammes et dispose d'une autonomie de cinq heures. Elle est également dotée de deux caméras, permettant la visioconférence, ainsi que d'un port USB. A la différence de l'iPad d'Apple, de la Galaxy Tab de Samsung Electronics et de la Streak de Dell, appareils équipés d'une connexion 3G, la Slate 500 ne dispose que d'une connexion Wi-Fi. Pour Carol Hess-Nickels, directrice du marketing pour les ordinateurs portables de HP, cet appareil possède les fonctionnalités d'un ordinateur "mais il se trouve qu'il se présente sous la forme d'une tablette". La Slate 500, dont le prix dépasse celui des autres tablettes sur le marché, est d'ores et déjà disponible en ligne et HP compte la promouvoir auprès des entreprises grâce à ses représentants. Hewlett-Packard prévoit par ailleurs de lancer une autre tablette l'an prochain, plus orientée vers le grand public. Ce modèle sera lui équipé du système d'exploitation webOS de Palm, que le premier fabricant mondial d'ordinateurs a racheté en avril pour 1,2 milliards de dollars. Selon le cabinet d'études Gartner, le marché des tablettes devrait exploser pour atteindre 50 millions d'unités écoulées l'année en 2011.