La Station régionale de la protection des végétaux (SRPV) vient de lancer un bulletin d'alerte précoce contre la progression du mildiou, ou la moisissure de la pomme de terre, qui vient d'être signalé dans les communes de Labiodh Médjadja et Ouled-Farès mais également dans certaines régions de la wilaya de Aïn-Defla. La Station régionale de la protection des végétaux (SRPV) vient de lancer un bulletin d'alerte précoce contre la progression du mildiou, ou la moisissure de la pomme de terre, qui vient d'être signalé dans les communes de Labiodh Médjadja et Ouled-Farès mais également dans certaines régions de la wilaya de Aïn-Defla. Dans la wilaya de Chlef, une cinquantaine d'hectares de pomme de terre sont déjà infectés par le mildiou, estime-t-on. Les conditions climatiques qui ont sévis récemment au nord du pays (humidité, pluie et chaleur) seraient à l'origine du développement de cette maladie parasitaire qui touche, outre la pomme de terre, la betterave mais aussi la vigne. Selon les experts de la Station régionale de la protection des végétaux, la situation est maîtrisable de peu que les consignes de lutte et de prévention contre la maladie soient observées. A ce sujet, le directeur de la SRPV indiquera que 80% des cultures réservées à la pomme de terre ne sont pas traitées contre 15% traitées une seule fois et, enfin, seulement 5% ont été traitées conformément aux techniques recommandées. Le directeur de la SRPV prévient que les conditions climatiques actuelles «peuvent être propices au développement et à la propagation rapide des foyers de ces maladies cryptogamiques pouvant endommager les cultures». Les maraîchers sont, donc, invités à «redoubler de vigilance et de pulvériser les cultures avec des produits phytosanitaires». Il faut, donc, pulvériser vite et intensément les cultures avec des pesticides pour arrêter la progression de la maladie si l'on veut atteindre les 684 mille quintaux de récoltes de pomme de terre prévues (soit 300 quintaux à l'hectare). A titre de rappel, au cours de l'année passée, 600 hectares sur les 1.800 cultivés ont été infectés par le mildiou, entraînant dans son sillage une baisse de la production et, par conséquent, le prix du kilogramme de pomme de terre a plus que doublé. Dans la wilaya de Chlef, une cinquantaine d'hectares de pomme de terre sont déjà infectés par le mildiou, estime-t-on. Les conditions climatiques qui ont sévis récemment au nord du pays (humidité, pluie et chaleur) seraient à l'origine du développement de cette maladie parasitaire qui touche, outre la pomme de terre, la betterave mais aussi la vigne. Selon les experts de la Station régionale de la protection des végétaux, la situation est maîtrisable de peu que les consignes de lutte et de prévention contre la maladie soient observées. A ce sujet, le directeur de la SRPV indiquera que 80% des cultures réservées à la pomme de terre ne sont pas traitées contre 15% traitées une seule fois et, enfin, seulement 5% ont été traitées conformément aux techniques recommandées. Le directeur de la SRPV prévient que les conditions climatiques actuelles «peuvent être propices au développement et à la propagation rapide des foyers de ces maladies cryptogamiques pouvant endommager les cultures». Les maraîchers sont, donc, invités à «redoubler de vigilance et de pulvériser les cultures avec des produits phytosanitaires». Il faut, donc, pulvériser vite et intensément les cultures avec des pesticides pour arrêter la progression de la maladie si l'on veut atteindre les 684 mille quintaux de récoltes de pomme de terre prévues (soit 300 quintaux à l'hectare). A titre de rappel, au cours de l'année passée, 600 hectares sur les 1.800 cultivés ont été infectés par le mildiou, entraînant dans son sillage une baisse de la production et, par conséquent, le prix du kilogramme de pomme de terre a plus que doublé.