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L'Iran accepte de reprendre le dialogue avec les grandes puissances
Programme nucléaire:
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 10 - 2010

L'Iran a accepté le principe d'une reprise du dialogue sur son programme nucléaire controversé «après le 10 novembre», a annoncé vendredi la chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton, intermédiaire des grandes puissances impliquées dans ce dossier.
L'Iran a accepté le principe d'une reprise du dialogue sur son programme nucléaire controversé «après le 10 novembre», a annoncé vendredi la chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton, intermédiaire des grandes puissances impliquées dans ce dossier.
Dans une lettre qui lui a été transmise dans la matinée, le négociateur iranien sur le programme nucléaire, Saïd Jalili, indique «qu'il est d'accord pour commencer les discussions après le 10 novembre et qu'il veut convenir d'un lieu et d'une date», a déclaré à la presse Mme Ashton. «Je pense qu'il s'agit d'une évolution importante et nous sommes à présent en contact avec l'Iran pour voir si nous pouvons nous mettre d'accord sur le lieu et l'endroit», a-t-elle ajouté, en marge d'un sommet des dirigeants européens à Bruxelles.
Conditions
Une telle rencontre au plus haut niveau entre Téhéran et les grandes puissances impliquées dans les négociations sur le programme nucléaire iranien, le groupe dit «5+1» (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France et Allemagne), ne s'est plus produite depuis octobre 2009.
Les pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de la bombe atomique, ce que nie Téhéran qui parle de programme nucléaire civil.
Mme Ashton a indiqué que les grandes puissances souhaitaient que les discussions soient concentrées sur le programme nucléaire iranien, et notamment la question de l'enrichissement d'uranium, que les pays occidentaux soupçonnent de servir des objectifs militaires en dépit des démentis répétés de Téhéran.
Le dialogue ne s'annonce pas facile
L'Iran a de son côté affirmé à plusieurs reprises vouloir élargir les discussions à des problèmes plus généraux sur la sécurité régionale, y compris notamment la détention d'armes nucléaires par Israël.
Le dialogue, s'il reprend, ne s'annonce pas facile. Selon le New York times, les Etats-Unis et leurs alliés européens prépareraient un nouvel accord plus strict sur le programme nucléaire iranien, dans un premier test pour évaluer l'impact de sanctions économiques plus larges.
Selon cette offre, l'Iran devrait expédier plus de 1.995 kilos d'uranium faiblement enrichi, deux tiers de plus que la quantité rejetée par Téhéran lors de la tentative d'accord à Vienne il y a un an.
L'accroissement répond à une production accrue d'uranium de la part de l'Iran l'an passé et à la préoccupation des Etats-Unis sur le fait que l'Iran ne doit pas avoir en main l'équivalent en uranium d'une bombe nucléaire, selon le New York Times.
Pour Washington, le nouvel accord serait nécessairement plus strict
La Maison Blanche a confirmé jeudi qu'un nouvel accord sur le programme nucléaire iranien serait nécessairement plus strict que celui rejeté il y a un an par Téhéran, afin de prendre en compte les avancées de la république islamique entre-temps.
L'Iran a indiqué être prêt à discuter d'un éventuel échange de combustible nucléaire dans les prochaines conversations après l'échec des consultations menées l'an dernier avec le groupe de Vienne, qui comprend la France, la Russie, les Etats-Unis e tl'Agence internationale pour l'énergie atomique
R.I/ agences
Dans une lettre qui lui a été transmise dans la matinée, le négociateur iranien sur le programme nucléaire, Saïd Jalili, indique «qu'il est d'accord pour commencer les discussions après le 10 novembre et qu'il veut convenir d'un lieu et d'une date», a déclaré à la presse Mme Ashton. «Je pense qu'il s'agit d'une évolution importante et nous sommes à présent en contact avec l'Iran pour voir si nous pouvons nous mettre d'accord sur le lieu et l'endroit», a-t-elle ajouté, en marge d'un sommet des dirigeants européens à Bruxelles.
Conditions
Une telle rencontre au plus haut niveau entre Téhéran et les grandes puissances impliquées dans les négociations sur le programme nucléaire iranien, le groupe dit «5+1» (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France et Allemagne), ne s'est plus produite depuis octobre 2009.
Les pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de la bombe atomique, ce que nie Téhéran qui parle de programme nucléaire civil.
Mme Ashton a indiqué que les grandes puissances souhaitaient que les discussions soient concentrées sur le programme nucléaire iranien, et notamment la question de l'enrichissement d'uranium, que les pays occidentaux soupçonnent de servir des objectifs militaires en dépit des démentis répétés de Téhéran.
Le dialogue ne s'annonce pas facile
L'Iran a de son côté affirmé à plusieurs reprises vouloir élargir les discussions à des problèmes plus généraux sur la sécurité régionale, y compris notamment la détention d'armes nucléaires par Israël.
Le dialogue, s'il reprend, ne s'annonce pas facile. Selon le New York times, les Etats-Unis et leurs alliés européens prépareraient un nouvel accord plus strict sur le programme nucléaire iranien, dans un premier test pour évaluer l'impact de sanctions économiques plus larges.
Selon cette offre, l'Iran devrait expédier plus de 1.995 kilos d'uranium faiblement enrichi, deux tiers de plus que la quantité rejetée par Téhéran lors de la tentative d'accord à Vienne il y a un an.
L'accroissement répond à une production accrue d'uranium de la part de l'Iran l'an passé et à la préoccupation des Etats-Unis sur le fait que l'Iran ne doit pas avoir en main l'équivalent en uranium d'une bombe nucléaire, selon le New York Times.
Pour Washington, le nouvel accord serait nécessairement plus strict
La Maison Blanche a confirmé jeudi qu'un nouvel accord sur le programme nucléaire iranien serait nécessairement plus strict que celui rejeté il y a un an par Téhéran, afin de prendre en compte les avancées de la république islamique entre-temps.
L'Iran a indiqué être prêt à discuter d'un éventuel échange de combustible nucléaire dans les prochaines conversations après l'échec des consultations menées l'an dernier avec le groupe de Vienne, qui comprend la France, la Russie, les Etats-Unis e tl'Agence internationale pour l'énergie atomique
R.I/ agences


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