L‘ambassadrice d‘Autriche à Alger, Aloisia Wôrgetter, aborde dans cet entretien, accordé au Midi Libre, les relations bilatérales algéro-autrichiennes qui sont au beau fixe depuis la guerre de Libération nationale et se réjouit de la qualité des entretiens qu‘elle a eus avec des ministres algériens, notamment celui des Transports, Amar Tou, avec lequel elle a passé en revue la coopération technique entre les deux pays, surtout pour ce qui est des chemins de fer où les ingénieurs et techniciens autrichiens participent activement à l‘électrification des voies ferrées en Algérie... Wôrgetter et Tou ont insisté sur "l‘exigence d‘un partenariat véritable‘‘, soulignant que l‘Autriche est prête à établir un partenariat gagnant-gagnant en acceptant de nous associer à son savoir-faire. Tou a abordé avec l‘ambassadrice le projet d‘une usine de rails en Algérie. Wôrtgetter a mis l‘accent sur la disponibilité des sociétés autrichiennes à véhiculer leur savoir-faire en matière de nouvelles technologies, notamment dans le BTP et les énergies renouvelables. Avec l‘accord bilatéral du 29 septembre 1987 régissant les relations bilatérales, l‘ambassadrice n‘a pas manqué de souhaiter la réactivation et la dynamisation du comité mixte algéro-autrichien relatif aux chemins de fer tout en espérant l‘ouverture rapide d‘une liaison aérienne directe entre Vienne et Alger. L‘ambassadrice d‘Autriche à Alger, Aloisia Wôrgetter, aborde dans cet entretien, accordé au Midi Libre, les relations bilatérales algéro-autrichiennes qui sont au beau fixe depuis la guerre de Libération nationale et se réjouit de la qualité des entretiens qu‘elle a eus avec des ministres algériens, notamment celui des Transports, Amar Tou, avec lequel elle a passé en revue la coopération technique entre les deux pays, surtout pour ce qui est des chemins de fer où les ingénieurs et techniciens autrichiens participent activement à l‘électrification des voies ferrées en Algérie... Wôrgetter et Tou ont insisté sur "l‘exigence d‘un partenariat véritable‘‘, soulignant que l‘Autriche est prête à établir un partenariat gagnant-gagnant en acceptant de nous associer à son savoir-faire. Tou a abordé avec l‘ambassadrice le projet d‘une usine de rails en Algérie. Wôrtgetter a mis l‘accent sur la disponibilité des sociétés autrichiennes à véhiculer leur savoir-faire en matière de nouvelles technologies, notamment dans le BTP et les énergies renouvelables. Avec l‘accord bilatéral du 29 septembre 1987 régissant les relations bilatérales, l‘ambassadrice n‘a pas manqué de souhaiter la réactivation et la dynamisation du comité mixte algéro-autrichien relatif aux chemins de fer tout en espérant l‘ouverture rapide d‘une liaison aérienne directe entre Vienne et Alger. Midi Libre: Que pensez-vous des relations politiques algéro-autrichiennes ? Aloisia Wôrgetter: L‘Algérie est un pays très différent comme je l‘imaginais avant car, c‘est la première fois que je me trouve en Algérie. Je constate que ce pays est très chaleureux par l‘hospitalité et l‘accueil de ses habitants, et cela est encore plus perceptible sur place qu‘en dehors des frontières. C‘est un pays très calme. Je me sens très bien ici en Algérie où les Algériens sont très chaleureux et conviviaux. La réputation économique de l‘Algérie, à l‘étranger, n‘est pas en rapport avec la réalité du pays qui devient prospère. Comment voyez-vous les relations algéro-autrichiennes sur le plan économique et commercial ? Je suis très contente de trouver des relations très fortes et fécondes entre nos deux pays. Je me réjouis des entretiens que j‘ai eus avec des ministres algériens qui m‘ont réaffirmé leur disponibilté à accroître les relations économiques et commerciales entre l‘Algérie et l‘Autriche. Il s‘agit d‘élargir et de diversifer ces échanges pour développer davantage nos relations bilatérales et cimenter la présence des entreprises autrichiennes en Algérie. Je suis donc très contente du contenu de mes entrevues avec les ministres algériens. Le partenarait algéro-autrichien augure des perspectives réelles de développement. Comment évaluez-vous cela ? Le partenariat économique et la coopération politique et diplomatique entre l‘Algérie et l‘Autriche est de longue date et continue toujours de se promouvoir. La preuve évidente et matérielle concerne un livre autrichien publié récemment et qui traite de la guerre d‘Indépendance algérienne.En fait, il s‘agit d‘un livre autrichien édité par la gauche autrichienne sur la résistance algérienne durant la guerre de Libération nationale vient d‘être publié. Intiulé "Solidarité de la Gauche autrichienne avec la luute armée algérienne" sera rendu public demain à l‘occasion du forum d‘El Moudjahid et le 16 novembre dans la capitale autrichienne à Vienne. Il s‘agit d‘un chaleureux hommage qui sera rendu à l‘Algérie combattante. C‘est une histoire de partenariat de long terme et je suis très contente de trouver des relations politiques bilatérales fortes au niveau politique. Tout le monde se souvient du bon travail effectué par le chancelier Kreisky et le secrétaire général de l‘Onu Kurt Waldheim, et moi je construis nos relations sur cette base saine. Les entreprises autrichiennes sont-elles dipsosées à réaliser le transfert technologique et le savoir- faire en Algérie, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) ? Tout à fait, nous sommes prêts à entrer en partenariat avec des entreprises algériennes, notamment dans le secteur de la sanitation et l‘assainissement de l‘eau et dans des espaces environnementaux, les techniques et les technologies des énergies renouvelables, ainsi que le domaine de l‘efficacité énergétique. C‘est une priorité du gouvernement et de l‘administration autrichien de promouvoir la coopération avec les entreprises algériennes afin de partager ce savoir-faire et cette technologie où nous avons beaucoup de choses à offrir. Nous sommes prêts à nous y engager et j‘espère que cela est de même de votre côté. Les entreprises autrichiennes activant en Algérie sont nombreuses. Nous souhaitons développer beaucoup plus nos relations politiques, économiques et commerciales réciproques. Au niveau du Maghreb et de l‘Afrique du Nord, c‘est en Algérie que se concentre la plupart des investissements autrichiens. Pas moins de quatre entreprises autrichiennes prendront part au salon international du bâtiment et des travaux publics qui s‘ouvre aujourd‘hui au Palais des expositions de la Safex (Pins maritimes). Midi Libre: Que pensez-vous des relations politiques algéro-autrichiennes ? Aloisia Wôrgetter: L‘Algérie est un pays très différent comme je l‘imaginais avant car, c‘est la première fois que je me trouve en Algérie. Je constate que ce pays est très chaleureux par l‘hospitalité et l‘accueil de ses habitants, et cela est encore plus perceptible sur place qu‘en dehors des frontières. C‘est un pays très calme. Je me sens très bien ici en Algérie où les Algériens sont très chaleureux et conviviaux. La réputation économique de l‘Algérie, à l‘étranger, n‘est pas en rapport avec la réalité du pays qui devient prospère. Comment voyez-vous les relations algéro-autrichiennes sur le plan économique et commercial ? Je suis très contente de trouver des relations très fortes et fécondes entre nos deux pays. Je me réjouis des entretiens que j‘ai eus avec des ministres algériens qui m‘ont réaffirmé leur disponibilté à accroître les relations économiques et commerciales entre l‘Algérie et l‘Autriche. Il s‘agit d‘élargir et de diversifer ces échanges pour développer davantage nos relations bilatérales et cimenter la présence des entreprises autrichiennes en Algérie. Je suis donc très contente du contenu de mes entrevues avec les ministres algériens. Le partenarait algéro-autrichien augure des perspectives réelles de développement. Comment évaluez-vous cela ? Le partenariat économique et la coopération politique et diplomatique entre l‘Algérie et l‘Autriche est de longue date et continue toujours de se promouvoir. La preuve évidente et matérielle concerne un livre autrichien publié récemment et qui traite de la guerre d‘Indépendance algérienne.En fait, il s‘agit d‘un livre autrichien édité par la gauche autrichienne sur la résistance algérienne durant la guerre de Libération nationale vient d‘être publié. Intiulé "Solidarité de la Gauche autrichienne avec la luute armée algérienne" sera rendu public demain à l‘occasion du forum d‘El Moudjahid et le 16 novembre dans la capitale autrichienne à Vienne. Il s‘agit d‘un chaleureux hommage qui sera rendu à l‘Algérie combattante. C‘est une histoire de partenariat de long terme et je suis très contente de trouver des relations politiques bilatérales fortes au niveau politique. Tout le monde se souvient du bon travail effectué par le chancelier Kreisky et le secrétaire général de l‘Onu Kurt Waldheim, et moi je construis nos relations sur cette base saine. Les entreprises autrichiennes sont-elles dipsosées à réaliser le transfert technologique et le savoir- faire en Algérie, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) ? Tout à fait, nous sommes prêts à entrer en partenariat avec des entreprises algériennes, notamment dans le secteur de la sanitation et l‘assainissement de l‘eau et dans des espaces environnementaux, les techniques et les technologies des énergies renouvelables, ainsi que le domaine de l‘efficacité énergétique. C‘est une priorité du gouvernement et de l‘administration autrichien de promouvoir la coopération avec les entreprises algériennes afin de partager ce savoir-faire et cette technologie où nous avons beaucoup de choses à offrir. Nous sommes prêts à nous y engager et j‘espère que cela est de même de votre côté. Les entreprises autrichiennes activant en Algérie sont nombreuses. Nous souhaitons développer beaucoup plus nos relations politiques, économiques et commerciales réciproques. Au niveau du Maghreb et de l‘Afrique du Nord, c‘est en Algérie que se concentre la plupart des investissements autrichiens. Pas moins de quatre entreprises autrichiennes prendront part au salon international du bâtiment et des travaux publics qui s‘ouvre aujourd‘hui au Palais des expositions de la Safex (Pins maritimes).