Le chef de la délégation sahraouie, Khatri Addouh, a déclaré à la presse, à l'issue de la troisième réunion informelle qui s'est tenue à Manhasset à New York, qu'au cours des deux journées des discussions, «chaque délégation a accepté de discuter, à la demande de l'envoyé personnel du Secrétaire général de l'Onu, de la proposition présentée par l'autre partie». Les deux délégations, a-t-il affirmé, ont «discuté en profondeur de l'ensemble des mesures de confiance contenues dans le plan d'action de 2004 et ont accepté de dédier une séance spéciale à Genève dans les délais les plus rapprochés», ajoutant que «les deux parties ont accepté de continuer le processus de négociations sous l'égide des Nations unies». A ce propos, M. Addouh a affirmé que la délégation sahraouie a montré, encore une fois, «la disponibilité du Front Polisario à continuer à coopérer pour la réussite des efforts de la communauté internationale, fort de la légalité de sa cause et de l'attachement du peuple sahraoui à ses droits, à la liberté et à l'indépendance pour lesquels il a consenti tant de sacrifices». Abordant l'attaque brutale menée lundi dernier par les forces marocaines contre les camps sahraouis de Gdeim Izik et d'El Ayoune, M. Addouh a souligné que malgré ces événements tragiques, «le Front Polisario a décidé de répondre positivement à l'appel de l'Onu pour la poursuite des négociations avec la puissance occupante afin d'exprimer, une fois de plus, l'attachement des Sahraouis à la voie démocratique pour résoudre un conflit de décolonisation sur la base du respect inaliénable du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance». Tout en remerciant «les pays et organisations qui ont exprimé leur préoccupation et leur solidarité en ce moment tragique pour le peuple sahraoui», le chef de la délégation sahraouie a réitéré son appel pressant au secrétaire général de l'Onu et au Conseil de sécurité «pour assumer leurs responsabilités en protégeant le peuple sahraoui en attendant le parachèvement du processus de décolonisation en cours au Sahara occidental». Le chef de la délégation sahraouie, Khatri Addouh, a déclaré à la presse, à l'issue de la troisième réunion informelle qui s'est tenue à Manhasset à New York, qu'au cours des deux journées des discussions, «chaque délégation a accepté de discuter, à la demande de l'envoyé personnel du Secrétaire général de l'Onu, de la proposition présentée par l'autre partie». Les deux délégations, a-t-il affirmé, ont «discuté en profondeur de l'ensemble des mesures de confiance contenues dans le plan d'action de 2004 et ont accepté de dédier une séance spéciale à Genève dans les délais les plus rapprochés», ajoutant que «les deux parties ont accepté de continuer le processus de négociations sous l'égide des Nations unies». A ce propos, M. Addouh a affirmé que la délégation sahraouie a montré, encore une fois, «la disponibilité du Front Polisario à continuer à coopérer pour la réussite des efforts de la communauté internationale, fort de la légalité de sa cause et de l'attachement du peuple sahraoui à ses droits, à la liberté et à l'indépendance pour lesquels il a consenti tant de sacrifices». Abordant l'attaque brutale menée lundi dernier par les forces marocaines contre les camps sahraouis de Gdeim Izik et d'El Ayoune, M. Addouh a souligné que malgré ces événements tragiques, «le Front Polisario a décidé de répondre positivement à l'appel de l'Onu pour la poursuite des négociations avec la puissance occupante afin d'exprimer, une fois de plus, l'attachement des Sahraouis à la voie démocratique pour résoudre un conflit de décolonisation sur la base du respect inaliénable du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance». Tout en remerciant «les pays et organisations qui ont exprimé leur préoccupation et leur solidarité en ce moment tragique pour le peuple sahraoui», le chef de la délégation sahraouie a réitéré son appel pressant au secrétaire général de l'Onu et au Conseil de sécurité «pour assumer leurs responsabilités en protégeant le peuple sahraoui en attendant le parachèvement du processus de décolonisation en cours au Sahara occidental».