Les opérations de greffe du foie ont atteint un taux de réussite de près de 70% en Algérie, ont indiqué, jeudi à Alger, des spécialistes en gastro-entérologie. S'exprimant en marge de la tenue des travaux du 2e séminaire de formation continue des gastro-entérologues, ces spécialistes ont affirmé que depuis le début de ces opérations chirurgicales dans le pays, en janvier 2003, le taux de leur réussite a atteint près de 70%. Le professeur Nabil Debzi du service hépato-entérologie du CHU Mustapha-Pacha a affirmé que parmi 33 patients ayant subi des opérations de transplantation du foie, 21 d'entre eux vivent normalement. Par ailleurs, le spécialiste a ajouté qu'il existait une loi appliquée dans le monde et qui exige que le donneur soit de la "même famille" du malade pour éviter toute "motivation financière". Pr. Debzi a relevé que ces transplantations sont "très coûteuses" et a appelé à donner la priorité à la prévention et au dépistage précoce du cancer du foie. "Il faut axer donc nos efforts sur le dépistage précoce de ce genre de maladie pour la traiter à temps", a-t-il souligné. Le professeur Berkane Saâdi, spécialiste en gastro-entérologie, a indiqué, pour sa part, que la greffe du foie en Algérie est réalisée avec la collaboration d'une équipe médicale de l'hôpital de Rennes (France), avec en moyenne d'une opération par mois. Insistant sur la nécessité du dépistage précoce et le suivi des malades atteints d'hépatites B et C pour faire face au cancer du foie, Pr. Berkane a averti que ces hépatites peuvent dégénérer en cancer du foie. "Il faut que les malades atteints d'hépatites chroniques soient suivis et doivent bénéficier d'une échographie tous les six mois pour faire face au cancer à temps", a souligné le spécialiste. Il a ajouté qu'il existe un vaccin contre l'hépatite B obligatoire en Algérie depuis 2003. "Le traitement contre l'hépatite C est très coûteux mais la prévention par l'hygiène demeure le moyen le plus efficace pour faire face à cette maladie", a-t-il indiqué. Les opérations de greffe du foie ont atteint un taux de réussite de près de 70% en Algérie, ont indiqué, jeudi à Alger, des spécialistes en gastro-entérologie. S'exprimant en marge de la tenue des travaux du 2e séminaire de formation continue des gastro-entérologues, ces spécialistes ont affirmé que depuis le début de ces opérations chirurgicales dans le pays, en janvier 2003, le taux de leur réussite a atteint près de 70%. Le professeur Nabil Debzi du service hépato-entérologie du CHU Mustapha-Pacha a affirmé que parmi 33 patients ayant subi des opérations de transplantation du foie, 21 d'entre eux vivent normalement. Par ailleurs, le spécialiste a ajouté qu'il existait une loi appliquée dans le monde et qui exige que le donneur soit de la "même famille" du malade pour éviter toute "motivation financière". Pr. Debzi a relevé que ces transplantations sont "très coûteuses" et a appelé à donner la priorité à la prévention et au dépistage précoce du cancer du foie. "Il faut axer donc nos efforts sur le dépistage précoce de ce genre de maladie pour la traiter à temps", a-t-il souligné. Le professeur Berkane Saâdi, spécialiste en gastro-entérologie, a indiqué, pour sa part, que la greffe du foie en Algérie est réalisée avec la collaboration d'une équipe médicale de l'hôpital de Rennes (France), avec en moyenne d'une opération par mois. Insistant sur la nécessité du dépistage précoce et le suivi des malades atteints d'hépatites B et C pour faire face au cancer du foie, Pr. Berkane a averti que ces hépatites peuvent dégénérer en cancer du foie. "Il faut que les malades atteints d'hépatites chroniques soient suivis et doivent bénéficier d'une échographie tous les six mois pour faire face au cancer à temps", a souligné le spécialiste. Il a ajouté qu'il existe un vaccin contre l'hépatite B obligatoire en Algérie depuis 2003. "Le traitement contre l'hépatite C est très coûteux mais la prévention par l'hygiène demeure le moyen le plus efficace pour faire face à cette maladie", a-t-il indiqué.