Le cadre de vie des citoyens se dégrade de jour à en jour dans la commune des Issers, dans l'est de Boumerdès. Le cadre de vie des citoyens se dégrade de jour à en jour dans la commune des Issers, dans l'est de Boumerdès. L'insalubrité et l'anarchie qui règnent depuis des années au niveau des quartiers, notamment résidentiels, de la ville, nous renseigne sur le désintérêt total des autorités et responsables locaux quant à la prise en charge des problèmes auxquels font face quotidiennement les habitants de cette localité délaissée. Des tas d'ordures s'amoncèlent dans tous les coins de la ville. En témoignent les ordures jetées à longueur de journée au niveau de la cité 48 logts, près de la station de bus de Ghoumrassa. A quelques mètres de là, un marché informel a été érigé, au grand dam des autorités, et qui ne cesse de s'élargir au détriment de la principale station de bus de la ville. Ici, les baraques de tôle et d'objets de fortune ne cessent de pousser comme des champignons. Cet endroit est devenu, en l'espace de quelques mois, un méga marché de la ville où tout se vend. Il constitue actuellement un véritable casse-tête et les responsables n'ont pas bougé d'un iota pour venir à terme de l'informel qui empoisonne la ville. Le boulevard Amirouche, l'axe principal de la ville, ne fait plus bon d'y circuler en raison de l'état d'insalubrité qui y règne. Le stationnement anarchique de véhicules ainsi que les amas de détritus rendent la circulation difficile. Le marché de la ville est dans un état lamentable. C'est un immense dépotoir au milieu de la ville. Son transfert n'est pas pour demain et ce, malgré les appels de quelques citoyens pour son transfert vers un autre endroit. Nous avons appris d'une source locale que ce marché pourra faire l'objet de transfert prochainement vers la sortie est de la ville. Un terrain a été, semble-t-il, choisi pour son transfert. Mais depuis la circulation de la nouvelle, rien n'a été fait pour que son transfert se fasse dans les délais. Ces derniers jours, ce lieu est devenu peu enviable en raison de la vente anarchique des bestiaux, notamment les moutons de l'Aïd. Le comble, c'est que malgré l'étendue de l'endroit réservé pour la vente de bestiaux, les marchands ont envahi les ruelles et les lieux jouxtant le marché pour vendre leur bétail. Les marchands n'ont même pas épargné des espaces se trouvant à proximités des établissements scolaires. En somme, l'anarchie règne partout et personne ne tire profit de cette situation. Bien que l'incivisme de certains citoyens soit pour beaucoup dans la dégradation du cadre de vie, la responsabilité des élus n'est pas à repousser. Le nombre d'éboueurs affectés pour le ramassage des ordures ménagères est insuffisant pour répondre d'une manière régulière à la collecte des ordures dans cette ville qui ne cesse d'accroître en raison de l'extension effrénée des habitations. Les habitants de ladite ville se plaignent de l'absence des bacs à ordures au niveau des différents quartiers et réclament le renforcement des éboueurs par le recrutement de nouveaux agents de nettoyage par la commune et ce, dans l'optique de redonner l'image d'antan à la ville. L'insalubrité et l'anarchie qui règnent depuis des années au niveau des quartiers, notamment résidentiels, de la ville, nous renseigne sur le désintérêt total des autorités et responsables locaux quant à la prise en charge des problèmes auxquels font face quotidiennement les habitants de cette localité délaissée. Des tas d'ordures s'amoncèlent dans tous les coins de la ville. En témoignent les ordures jetées à longueur de journée au niveau de la cité 48 logts, près de la station de bus de Ghoumrassa. A quelques mètres de là, un marché informel a été érigé, au grand dam des autorités, et qui ne cesse de s'élargir au détriment de la principale station de bus de la ville. Ici, les baraques de tôle et d'objets de fortune ne cessent de pousser comme des champignons. Cet endroit est devenu, en l'espace de quelques mois, un méga marché de la ville où tout se vend. Il constitue actuellement un véritable casse-tête et les responsables n'ont pas bougé d'un iota pour venir à terme de l'informel qui empoisonne la ville. Le boulevard Amirouche, l'axe principal de la ville, ne fait plus bon d'y circuler en raison de l'état d'insalubrité qui y règne. Le stationnement anarchique de véhicules ainsi que les amas de détritus rendent la circulation difficile. Le marché de la ville est dans un état lamentable. C'est un immense dépotoir au milieu de la ville. Son transfert n'est pas pour demain et ce, malgré les appels de quelques citoyens pour son transfert vers un autre endroit. Nous avons appris d'une source locale que ce marché pourra faire l'objet de transfert prochainement vers la sortie est de la ville. Un terrain a été, semble-t-il, choisi pour son transfert. Mais depuis la circulation de la nouvelle, rien n'a été fait pour que son transfert se fasse dans les délais. Ces derniers jours, ce lieu est devenu peu enviable en raison de la vente anarchique des bestiaux, notamment les moutons de l'Aïd. Le comble, c'est que malgré l'étendue de l'endroit réservé pour la vente de bestiaux, les marchands ont envahi les ruelles et les lieux jouxtant le marché pour vendre leur bétail. Les marchands n'ont même pas épargné des espaces se trouvant à proximités des établissements scolaires. En somme, l'anarchie règne partout et personne ne tire profit de cette situation. Bien que l'incivisme de certains citoyens soit pour beaucoup dans la dégradation du cadre de vie, la responsabilité des élus n'est pas à repousser. Le nombre d'éboueurs affectés pour le ramassage des ordures ménagères est insuffisant pour répondre d'une manière régulière à la collecte des ordures dans cette ville qui ne cesse d'accroître en raison de l'extension effrénée des habitations. Les habitants de ladite ville se plaignent de l'absence des bacs à ordures au niveau des différents quartiers et réclament le renforcement des éboueurs par le recrutement de nouveaux agents de nettoyage par la commune et ce, dans l'optique de redonner l'image d'antan à la ville.