La joint-venture mise en place par la firme française Alstom, qui a créé une filiale avec Ferrovial dans le but de rassembler les rames de tramways en Algérie à raison de 50 à 60 rames annuellement, vient de confirmer, donc, un exemple de partenariat gagnant-gagnant, en vertu de la loi de finances complémentaire 2009 qui a consacré la nouvelle règle de 51% - 49%). La joint-venture mise en place par la firme française Alstom, qui a créé une filiale avec Ferrovial dans le but de rassembler les rames de tramways en Algérie à raison de 50 à 60 rames annuellement, vient de confirmer, donc, un exemple de partenariat gagnant-gagnant, en vertu de la loi de finances complémentaire 2009 qui a consacré la nouvelle règle de 51% - 49%). Ce principe de partenariat inclus, également, dans la loi de finances 2010 ne constitue pas une entrave pour les Investissements directs étrangers (IDE) selon des observateurs. Mais, bien au contraire, il y a de nombreux hommes d'affaires étrangers qui sont actuellement à la recherche de partenaires nationaux dans le cadre de diverses missions économiques effectuées récemment par des délégations d'investisseurs étrangers à Alger. Il y a certes, selon les experts rencontrés durant les rencontres Business to Business, une carence ou une insuffisance de communications de la part des entreprises algériennes en termes notamment de participation aux foires et salons internationaux et de l'utilisation de l'Internet. A titre d'illustration, récemment, le groupe français Alstom et les entreprises publiques algériennes Ferrovial et Métro d'Alger (EMA) ont concrétisé un accord de partenariat pour assembler les rames de tramways en attendant la création d'une usine d'assemblage à Alger. Cet accord qui repose, selon un communiqué publié à Alger, sur la création d'une filiale commune détenue à 49% par Alstom et à 51% par l'Etat algérien (41% via Ferrovial et 10% via EMA) projette d'investir dans une unité d'assemblage de rames de tramways sur un site déjà existant et exploité par Ferrovial à Annaba (600 km à l'est d'Alger, probablement à Rouiba et Reghaïa), soit deux zones industrielles ayant déjà un socle et des infrastructures adéquates pour mener à bien ce projet. Selon les termes du contrat, les kits de tramways arriveront de France pour être assemblés dans l'unité algérienne qui assurera également la maintenance du matériel. Après un investissement de 21 millions d'euros, cette unité sera opérationnelle fin 2013 et pourra produire de 50 à 60 rames par an. Tandis que 14 projets de tramways sont à l'étude en Algérie et des travaux sont déjà en cours dans les villes d'Alger, d'Oran et de Constantine, selon le communique. D'autres entreprises étrangères ont également franchi le premier pas dans la réalisation des IDE en Algérie depuis la mise œuvre du nouveau dispositif jugé aussi attractif que l'investissement unilatéral. Ce type de partenariat prôné par Ouyahia semble, donc, porter ses fruits à l'image de l'accord matérialisé par Alstom et Ferrovial, car ce qui compte dans ce genre de coopération c'est la réalisation de gains et de dividendes sans causer es pertes pour les deux parties. D'autres exemples confortent la portée de ce partenariat. En effet, l'agence nationale de développement des investissements (Andi) a souligné la création de nouvelles sociétés d'économie mixte et de droit algérien. C'est le cas en l'occurrence du partenariat Pfizer-Saïdal Manufacturing qui vient d'être scellé récemment en 2010 après la promulgation de ladite loi. Le laboratoire pharmaceutique Pfizer a décidé en effet de renforcer ses capacités d'investissement en Algérie à travers son entreprise Pfizer-Saïdal Manufacturing PSM, une société mixte qui a commencé son activité en 2003 à Alger et produit actuellement entre 6 à 8 millions d'unités ventes par an. Les secteurs de la santé et de l'industrie du médicament enregistrent également un regain de coopération et de collaboration positif et augure de bonnes perspectives de développement. Ainsi, l'usine qui est spécialisée dans la fabrication de formes sèches, comprimés et gélules, dans les différentes classes thérapeutiques : cardiologie, métabolique, antibiotique, urologie, anti-inflammatoire, système nerveux central et autres prévoit de nouveaux investissements en termes d'acquisition de nouvelles technologies de pointe. Une production qui représente plus de 60% du portefeuille du groupe en Algérie dont les spécialités sont des molécules récentes issues de la recherche du laboratoire dans le monde. Ayant opté pour la qualité des produits et la mise en conformité avec les normes et les standards internationaux, les partenaires de l'Algérie envisagent d'investir le marché international avec des volumes de production suffisants tout en donnant satisfaction aux besoins du marché domestique. La société a également un projet d'installation d'une station de traitement des déchets liquides du site comme elle s'attend à bénéficier de la certification ISO 14001 en 2011. L'investissement pour l'année 2010 est de 36,5 millions de dollars. L'objectif assigné est de fournir des produits de santé de qualité fabriqués dans les mêmes standards que ceux fabriqués dans les 78 sites implantés en Amérique, en Europe et en Asie. Par ailleurs, la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) annonce que des délégations d'hommes d'affaires et d'investisseurs d'Italie et de Syrie séjourneront à Alger en novembre et en décembre où ils auront des rencontres importantes avec des opérateurs économiques algériens, publics et privés, et ce dans le but de conclure des accords de coopération et de partenariat. Pour une coopération féconde Ainsi, la Caci affirme que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et du partenariat algéro-italien, une importante délégation d'hommes d'affaires italiens séjournera à Alger du 29 au 2 décembre prochain pour tisser des relations de collaboration avec des entrepreneurs locaux ». Elle précise que « cette délégation sera composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs suivants de fabrication d'appareils pour le traitement, le conditionnement et la distribution de l'air, la fabrication de machines pour l'industrie de l'embouteillage (laveuses-rinceuses-stérilisateur pour bouteilles en verre et en PET) et la fabrication de porcelaine de table - grandes infrastructures, ponts routiers et ferroviaires-, projets clés en main. D'autres entreprises sont versées dans la construction préfabriquées en acier et en béton pour écoles, hôpitaux, aéroports, les installations industrielles du secteur pétrochimique et la fabrication de machines pour la déformation, la coupe et le poinçonnage de la tôle et des profilés ». Aussi, des industriels transalpins viendront également exposer leurs technologies et leurs produits dans les domaines de l'ingénierie côtière (services intégrés des systèmes complexes pour les travaux maritimes), la fabrication de machines pour l'usinage de toute variété de fruits et légumes frais, la fabrication de bagagerie et la culture de plantes d'extérieur (pépinière), services (consulting). Une rencontre d'affaires B to B sera organisée le 30 novembre au Palais des Expositions de la Safex où les travaux se dérouleront en plénière la matinée suivi de contacts d'affaires direct. Aussi, la Caci ajoute que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Syrie et en application des recommandations issues de la dernière session de la commission mixte gouvernementale algéro-syrienne, il a été convenu la mise en place d'un conseil d'hommes d'affaires algéro-syrien ». Ainsi, une importante délégation syrienne composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs de l'énergie et gaz, de l'agriculture, de la pêche et de l'agro-industrie, ainsi que du textile, des télécommunications, de la construction et engineering, ainsi que de l'équipement pour boulangeries séjournera à Alger les 23 et 24 novembre courant pour examiner les opportunités de partenariat avec des opérateurs algériens tous secteurs d'activités économiques confondus. Ce principe de partenariat inclus, également, dans la loi de finances 2010 ne constitue pas une entrave pour les Investissements directs étrangers (IDE) selon des observateurs. Mais, bien au contraire, il y a de nombreux hommes d'affaires étrangers qui sont actuellement à la recherche de partenaires nationaux dans le cadre de diverses missions économiques effectuées récemment par des délégations d'investisseurs étrangers à Alger. Il y a certes, selon les experts rencontrés durant les rencontres Business to Business, une carence ou une insuffisance de communications de la part des entreprises algériennes en termes notamment de participation aux foires et salons internationaux et de l'utilisation de l'Internet. A titre d'illustration, récemment, le groupe français Alstom et les entreprises publiques algériennes Ferrovial et Métro d'Alger (EMA) ont concrétisé un accord de partenariat pour assembler les rames de tramways en attendant la création d'une usine d'assemblage à Alger. Cet accord qui repose, selon un communiqué publié à Alger, sur la création d'une filiale commune détenue à 49% par Alstom et à 51% par l'Etat algérien (41% via Ferrovial et 10% via EMA) projette d'investir dans une unité d'assemblage de rames de tramways sur un site déjà existant et exploité par Ferrovial à Annaba (600 km à l'est d'Alger, probablement à Rouiba et Reghaïa), soit deux zones industrielles ayant déjà un socle et des infrastructures adéquates pour mener à bien ce projet. Selon les termes du contrat, les kits de tramways arriveront de France pour être assemblés dans l'unité algérienne qui assurera également la maintenance du matériel. Après un investissement de 21 millions d'euros, cette unité sera opérationnelle fin 2013 et pourra produire de 50 à 60 rames par an. Tandis que 14 projets de tramways sont à l'étude en Algérie et des travaux sont déjà en cours dans les villes d'Alger, d'Oran et de Constantine, selon le communique. D'autres entreprises étrangères ont également franchi le premier pas dans la réalisation des IDE en Algérie depuis la mise œuvre du nouveau dispositif jugé aussi attractif que l'investissement unilatéral. Ce type de partenariat prôné par Ouyahia semble, donc, porter ses fruits à l'image de l'accord matérialisé par Alstom et Ferrovial, car ce qui compte dans ce genre de coopération c'est la réalisation de gains et de dividendes sans causer es pertes pour les deux parties. D'autres exemples confortent la portée de ce partenariat. En effet, l'agence nationale de développement des investissements (Andi) a souligné la création de nouvelles sociétés d'économie mixte et de droit algérien. C'est le cas en l'occurrence du partenariat Pfizer-Saïdal Manufacturing qui vient d'être scellé récemment en 2010 après la promulgation de ladite loi. Le laboratoire pharmaceutique Pfizer a décidé en effet de renforcer ses capacités d'investissement en Algérie à travers son entreprise Pfizer-Saïdal Manufacturing PSM, une société mixte qui a commencé son activité en 2003 à Alger et produit actuellement entre 6 à 8 millions d'unités ventes par an. Les secteurs de la santé et de l'industrie du médicament enregistrent également un regain de coopération et de collaboration positif et augure de bonnes perspectives de développement. Ainsi, l'usine qui est spécialisée dans la fabrication de formes sèches, comprimés et gélules, dans les différentes classes thérapeutiques : cardiologie, métabolique, antibiotique, urologie, anti-inflammatoire, système nerveux central et autres prévoit de nouveaux investissements en termes d'acquisition de nouvelles technologies de pointe. Une production qui représente plus de 60% du portefeuille du groupe en Algérie dont les spécialités sont des molécules récentes issues de la recherche du laboratoire dans le monde. Ayant opté pour la qualité des produits et la mise en conformité avec les normes et les standards internationaux, les partenaires de l'Algérie envisagent d'investir le marché international avec des volumes de production suffisants tout en donnant satisfaction aux besoins du marché domestique. La société a également un projet d'installation d'une station de traitement des déchets liquides du site comme elle s'attend à bénéficier de la certification ISO 14001 en 2011. L'investissement pour l'année 2010 est de 36,5 millions de dollars. L'objectif assigné est de fournir des produits de santé de qualité fabriqués dans les mêmes standards que ceux fabriqués dans les 78 sites implantés en Amérique, en Europe et en Asie. Par ailleurs, la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) annonce que des délégations d'hommes d'affaires et d'investisseurs d'Italie et de Syrie séjourneront à Alger en novembre et en décembre où ils auront des rencontres importantes avec des opérateurs économiques algériens, publics et privés, et ce dans le but de conclure des accords de coopération et de partenariat. Pour une coopération féconde Ainsi, la Caci affirme que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et du partenariat algéro-italien, une importante délégation d'hommes d'affaires italiens séjournera à Alger du 29 au 2 décembre prochain pour tisser des relations de collaboration avec des entrepreneurs locaux ». Elle précise que « cette délégation sera composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs suivants de fabrication d'appareils pour le traitement, le conditionnement et la distribution de l'air, la fabrication de machines pour l'industrie de l'embouteillage (laveuses-rinceuses-stérilisateur pour bouteilles en verre et en PET) et la fabrication de porcelaine de table - grandes infrastructures, ponts routiers et ferroviaires-, projets clés en main. D'autres entreprises sont versées dans la construction préfabriquées en acier et en béton pour écoles, hôpitaux, aéroports, les installations industrielles du secteur pétrochimique et la fabrication de machines pour la déformation, la coupe et le poinçonnage de la tôle et des profilés ». Aussi, des industriels transalpins viendront également exposer leurs technologies et leurs produits dans les domaines de l'ingénierie côtière (services intégrés des systèmes complexes pour les travaux maritimes), la fabrication de machines pour l'usinage de toute variété de fruits et légumes frais, la fabrication de bagagerie et la culture de plantes d'extérieur (pépinière), services (consulting). Une rencontre d'affaires B to B sera organisée le 30 novembre au Palais des Expositions de la Safex où les travaux se dérouleront en plénière la matinée suivi de contacts d'affaires direct. Aussi, la Caci ajoute que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Syrie et en application des recommandations issues de la dernière session de la commission mixte gouvernementale algéro-syrienne, il a été convenu la mise en place d'un conseil d'hommes d'affaires algéro-syrien ». Ainsi, une importante délégation syrienne composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs de l'énergie et gaz, de l'agriculture, de la pêche et de l'agro-industrie, ainsi que du textile, des télécommunications, de la construction et engineering, ainsi que de l'équipement pour boulangeries séjournera à Alger les 23 et 24 novembre courant pour examiner les opportunités de partenariat avec des opérateurs algériens tous secteurs d'activités économiques confondus.