La pénurie qui s'est accentuée à l'approche de l'Aïd el-Adha a obligé le citoyen à se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le souligner, n'a pas manqué l'occasion pour gonfler ses prix . Même à ces prix prohibitifs, le lait en poudre ou conditionné n'est pas disponible en quantités suffisantes chez l'épicier du coin. La pénurie qui s'est accentuée à l'approche de l'Aïd el-Adha a obligé le citoyen à se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le souligner, n'a pas manqué l'occasion pour gonfler ses prix . Même à ces prix prohibitifs, le lait en poudre ou conditionné n'est pas disponible en quantités suffisantes chez l'épicier du coin. Se procurer un sachet de lait est, malheureusement, devenu un véritable casse-tête pour le consommateur algérien. La pénurie qui s'est accentuée à l'approche de l'Aïd el-Adha a obligé le citoyen à se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le souligner, n'a pas manqué l'occasion pour gonfler ses prix . Même à ces prix prohibitifs, le lait en poudre ou conditionné n'est pas disponible en quantités suffisantes chez l'épicier du coin. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa avait affirmé qu'il n'y a pas de pénurie de lait en sachet, mais plutôt un dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière. Une déclaration qui, faut-il le dire, soulage et inquiète à la fois. Il faut dire que le « si cher » sachet de lait est à demi-vide, mais aussi à demi-plein. Dans ce sens, si la poudre de lait est réellement disponible, cela voudrait dire que le détournement de la poudre pour la production des fromages et yaourts serait, peut-être, à l'origine de cette pénurie. Une situation qui semble mettre, provisoirement, la tutelle à l'abri des accusations et pointe du doigt les différents acteurs à l'image des distributeurs qui doivent moraliser la profession et respecter la destination de cette denrée. Par ailleurs, il est toutefois utile de souligner que cette pénurie dure depuis près de trois mois. A cet effet, il y a lieu de se demander que si les services concernés n'ont pas pu, à ce jour, mettre un terme à ce détournement, comment pourront-ilsréussir à endiguer la crise ? En outre, Mahmoud Benchkour, président de l'Office interprofessionnel de la filière lait a fait savoir que de nouvelles mesures, prises par le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, devront parvenir à réguler la situation. Concernant l'entrée en vigueur de ces directives, le même responsable a annoncé que « le nécessaire sera fait pour qu'elles soient applicables dès janvier prochain ». Autrement dit, le consommateur peut espérer trouver son sachet de lait quotidien chez l'épicier du coin pour le reste de "cette" année. Se procurer un sachet de lait est, malheureusement, devenu un véritable casse-tête pour le consommateur algérien. La pénurie qui s'est accentuée à l'approche de l'Aïd el-Adha a obligé le citoyen à se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le souligner, n'a pas manqué l'occasion pour gonfler ses prix . Même à ces prix prohibitifs, le lait en poudre ou conditionné n'est pas disponible en quantités suffisantes chez l'épicier du coin. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa avait affirmé qu'il n'y a pas de pénurie de lait en sachet, mais plutôt un dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière. Une déclaration qui, faut-il le dire, soulage et inquiète à la fois. Il faut dire que le « si cher » sachet de lait est à demi-vide, mais aussi à demi-plein. Dans ce sens, si la poudre de lait est réellement disponible, cela voudrait dire que le détournement de la poudre pour la production des fromages et yaourts serait, peut-être, à l'origine de cette pénurie. Une situation qui semble mettre, provisoirement, la tutelle à l'abri des accusations et pointe du doigt les différents acteurs à l'image des distributeurs qui doivent moraliser la profession et respecter la destination de cette denrée. Par ailleurs, il est toutefois utile de souligner que cette pénurie dure depuis près de trois mois. A cet effet, il y a lieu de se demander que si les services concernés n'ont pas pu, à ce jour, mettre un terme à ce détournement, comment pourront-ilsréussir à endiguer la crise ? En outre, Mahmoud Benchkour, président de l'Office interprofessionnel de la filière lait a fait savoir que de nouvelles mesures, prises par le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, devront parvenir à réguler la situation. Concernant l'entrée en vigueur de ces directives, le même responsable a annoncé que « le nécessaire sera fait pour qu'elles soient applicables dès janvier prochain ». Autrement dit, le consommateur peut espérer trouver son sachet de lait quotidien chez l'épicier du coin pour le reste de "cette" année.