Pendant que certains banlieusards ne cessent de se plaindre de l'absence de stations urbaines et autres Abribus au sein de leurs diverses localités, les habitants du centre de la capitale, qui jouissent de toutes ces commodités, n'ont d'autre souci que de les vandaliser. En effet l'un des Abribus, nouvellement installé, a été gravement détérioré au niveau de la rue Hassiba-Ben-Bouali à hauteur de Belcourt, certainement au cours de la nuit. Même l'assise du banc de l'Abribus détérioré a été arrachée au grand dam des usagers, surtout les vieux, qui ne peuvent rester en station debout trop longtemps, en attendant l'arrivée du bus. Les panneaux vitrés utilisés pour abriter les messages publicitaires ont été, eux également, littéralement arrachés. La société en charge de ces panneux a, quant à elle, procédé rapidement à la réparation de ce panneau, pub oblige, mais l'Abribus reste dans le même état désolant et il y a fort à parier qu'il le restera encore très longtemps. Les citoyens ne manquent pas de condamner ces actes qui les pénalisent eux en premier, et s'interrogent sur les actions à mener pour empêcher cet incivisme, mais il est clair que tout le monde reste conscient que l'on ne peut placer derrière chaque citoyen un agent de l'ordre. L'installation de caméras atténuera, peut-être, ce phénomène dans la mesure où elles seront généralisées dans tous les endroits jugés relativement sensibles à travers la capitale . Pendant que certains banlieusards ne cessent de se plaindre de l'absence de stations urbaines et autres Abribus au sein de leurs diverses localités, les habitants du centre de la capitale, qui jouissent de toutes ces commodités, n'ont d'autre souci que de les vandaliser. En effet l'un des Abribus, nouvellement installé, a été gravement détérioré au niveau de la rue Hassiba-Ben-Bouali à hauteur de Belcourt, certainement au cours de la nuit. Même l'assise du banc de l'Abribus détérioré a été arrachée au grand dam des usagers, surtout les vieux, qui ne peuvent rester en station debout trop longtemps, en attendant l'arrivée du bus. Les panneaux vitrés utilisés pour abriter les messages publicitaires ont été, eux également, littéralement arrachés. La société en charge de ces panneux a, quant à elle, procédé rapidement à la réparation de ce panneau, pub oblige, mais l'Abribus reste dans le même état désolant et il y a fort à parier qu'il le restera encore très longtemps. Les citoyens ne manquent pas de condamner ces actes qui les pénalisent eux en premier, et s'interrogent sur les actions à mener pour empêcher cet incivisme, mais il est clair que tout le monde reste conscient que l'on ne peut placer derrière chaque citoyen un agent de l'ordre. L'installation de caméras atténuera, peut-être, ce phénomène dans la mesure où elles seront généralisées dans tous les endroits jugés relativement sensibles à travers la capitale .