En présence de plusieurs responsables algériens et africains, chargés des questions environnementales et de celles de la lutte contre la désertification, le Comité consultatif régional africain pour la lutte contre la désertification a été installé, hier à Alger, par Rachid Benaïssa, ministre de l'Agriculture et du Développement rural et président du groupe africain de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification UNCCD. L'installation du comité qui, faut-il le souligner, s'inscrit dans le cadre du programme d'actions tracé par l'Algérie, et ce, en matière de lutte contre la désertification, s'est déroulée en présence de Boubacar Cissé, secrétaire de l'UNCCD ainsi qu'un représentant de l'Union africaine. Il y a lieu de rappeler que l'Algérie assure la présidence du groupe africain de l'UNCCD depuis 2009 jusqu'en 2011. Intervenant au cours de la cérémonie d'installation du comité, le ministre a déclaré que l'Algérie « est engagée dans la lutte contre la désertification et est solidaire de tous ceux qui font de ce phénomène, ainsi que de celui de la dégradation des sols, un axe important dans leurs préoccupations ». En outre, il a précisé que « l'avenir (des pays) c'est le monde rural, qui regorge de potentialités à découvrir et à valoriser », tout en rappelant l'expérience algérienne dans le domaine. « Il faudrait agir rapidement », a déclaré le ministre à ce propos, en appelant la communauté internationale à donner toute l'importance et les moyens nécessaires afin de lutter contre ce phénomène qui, faut-il le dire, menace près du tiers de la planète. Pour cela, « il faut que la lutte contre la désertification prenne plus de place dans les agendas et dans les financements de la communauté internationale », a-t-il préconisé. Sur ce dernier point, « l'Algérie fera tout pour partager son expérience avec ces pays », a fait savoir Benaïssa. Selon le même responsable, « le comité va aider à faciliter la coopération entre les pays (membres de cette convention) touchés par la désertification au sein de chaque région et de renforcer les synergies entre les institutions, les programmes et mécanismes pertinents du système des Nations unies, les banques de développement, les donateurs », et ce, a-t-il expliqué, « afin de contribuer au succès des programmes d'action régionaux et sous régionaux et, le cas échéant, fournir une aide technique aux programmes nationaux en la matière », informe-t-on. En présence de plusieurs responsables algériens et africains, chargés des questions environnementales et de celles de la lutte contre la désertification, le Comité consultatif régional africain pour la lutte contre la désertification a été installé, hier à Alger, par Rachid Benaïssa, ministre de l'Agriculture et du Développement rural et président du groupe africain de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification UNCCD. L'installation du comité qui, faut-il le souligner, s'inscrit dans le cadre du programme d'actions tracé par l'Algérie, et ce, en matière de lutte contre la désertification, s'est déroulée en présence de Boubacar Cissé, secrétaire de l'UNCCD ainsi qu'un représentant de l'Union africaine. Il y a lieu de rappeler que l'Algérie assure la présidence du groupe africain de l'UNCCD depuis 2009 jusqu'en 2011. Intervenant au cours de la cérémonie d'installation du comité, le ministre a déclaré que l'Algérie « est engagée dans la lutte contre la désertification et est solidaire de tous ceux qui font de ce phénomène, ainsi que de celui de la dégradation des sols, un axe important dans leurs préoccupations ». En outre, il a précisé que « l'avenir (des pays) c'est le monde rural, qui regorge de potentialités à découvrir et à valoriser », tout en rappelant l'expérience algérienne dans le domaine. « Il faudrait agir rapidement », a déclaré le ministre à ce propos, en appelant la communauté internationale à donner toute l'importance et les moyens nécessaires afin de lutter contre ce phénomène qui, faut-il le dire, menace près du tiers de la planète. Pour cela, « il faut que la lutte contre la désertification prenne plus de place dans les agendas et dans les financements de la communauté internationale », a-t-il préconisé. Sur ce dernier point, « l'Algérie fera tout pour partager son expérience avec ces pays », a fait savoir Benaïssa. Selon le même responsable, « le comité va aider à faciliter la coopération entre les pays (membres de cette convention) touchés par la désertification au sein de chaque région et de renforcer les synergies entre les institutions, les programmes et mécanismes pertinents du système des Nations unies, les banques de développement, les donateurs », et ce, a-t-il expliqué, « afin de contribuer au succès des programmes d'action régionaux et sous régionaux et, le cas échéant, fournir une aide technique aux programmes nationaux en la matière », informe-t-on.