Le constructeur automobile français « Renault » pourrait bien relancer son projet d'implanter une usine de montage de véhicules en Algérie, à la faveur de la visite de l'envoyé spécial du président français, Jean-Pierre Raffarin. Cependant, « nous sommes loin de parvenir à un accord, nous allons poursuivre aujourd'hui (hier NDLR) les négociations sur ce dossier », a affirmé hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement, laissant encore une fois planer le doute sur la réalisation de cet ancien projet reporté aux calendes grecques. « Si les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI (…) Renault s'est proposé de livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012 », a expliqué Mohamed Benmeradi, ajoutant que les discussions portent sur la création d'une usine de montage dans une première étape, qui sera suivie par une seconde étape qui consiste à fabriquer des véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur 4 ans. Si « les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés », il n'en demeure pas moins que « le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles », a attesté Mohamed Benmeradi. Chose confirmée par Jean-Pierre Raffarin qui a affirmé à son arrivée à Alger que « le dossier avance bien. Il y a eu des contacts importants, et Renault a redimensionné son projet et redéfini un certain nombre de caractéristique ». L'envoyé de Nicolas Sarkozy a plaidé, par ailleurs, en faveur d'un partenariat industriel gagnant-gagnant entre la France et l'Algérie. « Nous voulons préparer l'avenir avec des projets industriels à long terme et avec une volonté de gagnant-gagnant où chacun trouvera son propre intérêt », a-t-il indiqué, tout en qu'il vient « écouter les autorités algériennes pour respecter les orientations qui sont les leurs, pour renforcer la coopération économique en tenant compte de leurs orientations législatives ». J.- P. Raffarin a émis de souhait de « faire un travail en profondeur, un travail bien cadré par la lettre de mission que m'a proposée le président Nicolas Sarkozy, c'est à dire des dossiers économiques qu'il faut faire avancer », sans toutefois divulguer la nature de ces projets. « J'attend de parler avec les autorités algériennes avant de m'avancer sur les perspectives. Il y a de la bonne volonté de part et d'autre et une volonté pragmatique pour préparer l'avenir dans des secteurs comme les assurances, la pharmacie, le transport, les mines et l'énergie », s'est-il contenté de d'annoncer. Le constructeur automobile français « Renault » pourrait bien relancer son projet d'implanter une usine de montage de véhicules en Algérie, à la faveur de la visite de l'envoyé spécial du président français, Jean-Pierre Raffarin. Cependant, « nous sommes loin de parvenir à un accord, nous allons poursuivre aujourd'hui (hier NDLR) les négociations sur ce dossier », a affirmé hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement, laissant encore une fois planer le doute sur la réalisation de cet ancien projet reporté aux calendes grecques. « Si les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI (…) Renault s'est proposé de livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012 », a expliqué Mohamed Benmeradi, ajoutant que les discussions portent sur la création d'une usine de montage dans une première étape, qui sera suivie par une seconde étape qui consiste à fabriquer des véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur 4 ans. Si « les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés », il n'en demeure pas moins que « le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles », a attesté Mohamed Benmeradi. Chose confirmée par Jean-Pierre Raffarin qui a affirmé à son arrivée à Alger que « le dossier avance bien. Il y a eu des contacts importants, et Renault a redimensionné son projet et redéfini un certain nombre de caractéristique ». L'envoyé de Nicolas Sarkozy a plaidé, par ailleurs, en faveur d'un partenariat industriel gagnant-gagnant entre la France et l'Algérie. « Nous voulons préparer l'avenir avec des projets industriels à long terme et avec une volonté de gagnant-gagnant où chacun trouvera son propre intérêt », a-t-il indiqué, tout en qu'il vient « écouter les autorités algériennes pour respecter les orientations qui sont les leurs, pour renforcer la coopération économique en tenant compte de leurs orientations législatives ». J.- P. Raffarin a émis de souhait de « faire un travail en profondeur, un travail bien cadré par la lettre de mission que m'a proposée le président Nicolas Sarkozy, c'est à dire des dossiers économiques qu'il faut faire avancer », sans toutefois divulguer la nature de ces projets. « J'attend de parler avec les autorités algériennes avant de m'avancer sur les perspectives. Il y a de la bonne volonté de part et d'autre et une volonté pragmatique pour préparer l'avenir dans des secteurs comme les assurances, la pharmacie, le transport, les mines et l'énergie », s'est-il contenté de d'annoncer.