Les usagers du transport urbain, au niveau de la localité de Chevalley, ne savent plus à quel saint se vouer devant le calvaire quotidien vécu. En fin d'après-midi il est en effet impossible de trouver le moindre bus desservant les lignes de Beni Messous, Cheraga ou encore Dely Brahim, apprend-on auprès des usagers agglutinés au niveau de cette station urbaine. « Je trouve toutes les peines du monde pour me rendre vers ma destination », nous déclare un voyageur. Cette anarchie en l'absence de tout contrôle est encore aggravée par l'inexistence d'Abribus susceptibles de protéger les citoyens des rigueurs du temps et des imtempéries. Cet état de faits, faut-il le souligner, a poussé des chauffeurs de taxi clandestins à exploiter sans vergogne cette situation. A titre d'exemple, les usagers vers Beni Messous sont contraints de payer 50 dinars, les tarifs vont en augmentant au fur et à mesure que l'obscurité s'installe sur les lieux. A ce sujet, l'un des usagers nous dira : « On n'a pas d'autre choix que de céder aux exigences de ces clandestins, qui exploitent sans scrupules cette situation ». À cela s'ajoute l'insécurité générée par la présence de petits malfrats. « Chaque soir, le même problème se répête, des voyous agressent les usagers de cette station de bus pour les dépouiller », déplore un voyageur, lequel nous explique qu'il n'est pas aisé de se défendre contre eux attendu qu'ils opèrent en groupe et sont toujours armés d'armes blanches. Les usagers de cette station urbaine lancent ainsi un SOS aux autorités concernées les suppliant de mettre en place les contrôles qui s'imposent afin de mettre fin à cette situation désagréable et surtout dangereuse. Les usagers du transport urbain, au niveau de la localité de Chevalley, ne savent plus à quel saint se vouer devant le calvaire quotidien vécu. En fin d'après-midi il est en effet impossible de trouver le moindre bus desservant les lignes de Beni Messous, Cheraga ou encore Dely Brahim, apprend-on auprès des usagers agglutinés au niveau de cette station urbaine. « Je trouve toutes les peines du monde pour me rendre vers ma destination », nous déclare un voyageur. Cette anarchie en l'absence de tout contrôle est encore aggravée par l'inexistence d'Abribus susceptibles de protéger les citoyens des rigueurs du temps et des imtempéries. Cet état de faits, faut-il le souligner, a poussé des chauffeurs de taxi clandestins à exploiter sans vergogne cette situation. A titre d'exemple, les usagers vers Beni Messous sont contraints de payer 50 dinars, les tarifs vont en augmentant au fur et à mesure que l'obscurité s'installe sur les lieux. A ce sujet, l'un des usagers nous dira : « On n'a pas d'autre choix que de céder aux exigences de ces clandestins, qui exploitent sans scrupules cette situation ». À cela s'ajoute l'insécurité générée par la présence de petits malfrats. « Chaque soir, le même problème se répête, des voyous agressent les usagers de cette station de bus pour les dépouiller », déplore un voyageur, lequel nous explique qu'il n'est pas aisé de se défendre contre eux attendu qu'ils opèrent en groupe et sont toujours armés d'armes blanches. Les usagers de cette station urbaine lancent ainsi un SOS aux autorités concernées les suppliant de mettre en place les contrôles qui s'imposent afin de mettre fin à cette situation désagréable et surtout dangereuse.