Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a déclaré, jeudi dernier, qu'une étude est en train de se réaliser en collaboration avec l'entreprise de gestion hôtelière (Gestour), dans la perspective de réviser la tarification des prestations hôtelières, notamment dans le secteur public. Smail Mimoune, qui répondait à une question posée par un député à l'Assemblée populaire nationale, a remis en cause l'application par ces hôtels des mêmes prix à longueur d'année, plutôt que les prix de saison, et ce, en dépit des facilitations consenties par l'Etat, en l'occurrence la réduction de la TVA sur les services liés aux activités de tourisme et d'hôtellerie de 17 à 7 % et l'exonération de la taxe sur l'activité professionnelle (TAP) pour le chiffre d'affaires en devises, ce qui était censé baisser les tarifications des prestations en la matière. Quant à l'opération de reclassement des établissements hôteliers entamée en 2009, le ministre du Tourisme a fait savoir qu'elle se poursuit toujours et touchera les hôtels déclassés en raison de défaillances enregistrées en matière d'accueil et de prestations. Il a souligné dans ce sens que seulement 10 % des 1.200 établissements hôteliers recensés sur le territoire national répondent aux standards universels. Néanmoins, l'opération de reclassement a permis d'octroyer des étoiles entre deux et cinq à 50 hôtels classés, a-t-il indiqué. Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a déclaré, jeudi dernier, qu'une étude est en train de se réaliser en collaboration avec l'entreprise de gestion hôtelière (Gestour), dans la perspective de réviser la tarification des prestations hôtelières, notamment dans le secteur public. Smail Mimoune, qui répondait à une question posée par un député à l'Assemblée populaire nationale, a remis en cause l'application par ces hôtels des mêmes prix à longueur d'année, plutôt que les prix de saison, et ce, en dépit des facilitations consenties par l'Etat, en l'occurrence la réduction de la TVA sur les services liés aux activités de tourisme et d'hôtellerie de 17 à 7 % et l'exonération de la taxe sur l'activité professionnelle (TAP) pour le chiffre d'affaires en devises, ce qui était censé baisser les tarifications des prestations en la matière. Quant à l'opération de reclassement des établissements hôteliers entamée en 2009, le ministre du Tourisme a fait savoir qu'elle se poursuit toujours et touchera les hôtels déclassés en raison de défaillances enregistrées en matière d'accueil et de prestations. Il a souligné dans ce sens que seulement 10 % des 1.200 établissements hôteliers recensés sur le territoire national répondent aux standards universels. Néanmoins, l'opération de reclassement a permis d'octroyer des étoiles entre deux et cinq à 50 hôtels classés, a-t-il indiqué.