Les protocoles d'accords en matière de sécurité sociale, signés entre l'Algérie et les pays étrangers visent l'accompagnement de notre développement économique, outre la protection de nos ressortissants résidant dans ces pays, a indiqué hier à Alger, M.Tayeb Louh, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. "A la faveur de la signature de ces accords, notre sécurité sociale contribue de manière concrète au développement socio-économique du pays", a ajouté M.Louh, en marge de la cérémonie de signature du protocole d'accord algéro-chilien relatif au remboursement des cotisations de retraite de 150 anciens travailleurs chiliens ayant exercé en Algérie de 1973 à 1990. un protocole d'accord qui vise à «concrétiser la volonté des deux pays de resserer les liens d'amitié et de coopération exprimé à l'occasion de la visite du Président Bouteflika au Chili". Affirmant que les conventions bilatérales constituent la base de la politique algérienne en matière de sécurité sociale, M.Louh a indiqué que cette dernière favorisait l'investissement créateur d'emplois. Le ministre a fait savoir qu'en vertu de ces conventions, le temps passé par un travailleur algérien dans un pays donné est pris en ligne de compte lors de sa mise à la retraite et du calcul de la pension qu'il percevera. Le ministre a rappelé que des protocoles d'accord ont déjà été signés avec d'autres pays à l'instar de la Tunisie, de la Libye, de la France, de la Belgique et de la Roumanie, précisant que la question est en cours de "préparation et de discussion" avec l'Allemagne et la Chine. S'attardant sur le cas de l'Allemagne, le ministre a tenu à préciser que cette dernière a, lors des négociations entreprises avec la partie algérienne, émis le souhait de voir ses experts travaillant en Algérie (il s'agit de détachés dans la majeure partie des cas), dispensés de l'affiliation à la sécurité sociale dès lors qu'ils sont couverts dans leur pays d'origine. Les protocoles d'accords en matière de sécurité sociale, signés entre l'Algérie et les pays étrangers visent l'accompagnement de notre développement économique, outre la protection de nos ressortissants résidant dans ces pays, a indiqué hier à Alger, M.Tayeb Louh, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. "A la faveur de la signature de ces accords, notre sécurité sociale contribue de manière concrète au développement socio-économique du pays", a ajouté M.Louh, en marge de la cérémonie de signature du protocole d'accord algéro-chilien relatif au remboursement des cotisations de retraite de 150 anciens travailleurs chiliens ayant exercé en Algérie de 1973 à 1990. un protocole d'accord qui vise à «concrétiser la volonté des deux pays de resserer les liens d'amitié et de coopération exprimé à l'occasion de la visite du Président Bouteflika au Chili". Affirmant que les conventions bilatérales constituent la base de la politique algérienne en matière de sécurité sociale, M.Louh a indiqué que cette dernière favorisait l'investissement créateur d'emplois. Le ministre a fait savoir qu'en vertu de ces conventions, le temps passé par un travailleur algérien dans un pays donné est pris en ligne de compte lors de sa mise à la retraite et du calcul de la pension qu'il percevera. Le ministre a rappelé que des protocoles d'accord ont déjà été signés avec d'autres pays à l'instar de la Tunisie, de la Libye, de la France, de la Belgique et de la Roumanie, précisant que la question est en cours de "préparation et de discussion" avec l'Allemagne et la Chine. S'attardant sur le cas de l'Allemagne, le ministre a tenu à préciser que cette dernière a, lors des négociations entreprises avec la partie algérienne, émis le souhait de voir ses experts travaillant en Algérie (il s'agit de détachés dans la majeure partie des cas), dispensés de l'affiliation à la sécurité sociale dès lors qu'ils sont couverts dans leur pays d'origine.