Les mesures de réconciliation nationale sont toujours en vigueur, a affirmé jeudi à Alger, le président de la cellule d'assistance judiciaire à l'application de la Charte de la paix et de la réconciliation nationale, Merouane Azzi. Ce dernier a également indiqué qu'il existe encore quelque 120 dossiers en suspens au niveau de sept cours de justice à travers le pays. Intervenant lors de la conférence-débat organisée au siège du quotidien El Moudjahid, M. Azzi a indiqué que ces 120 dossiers sont ceux relatifs au droit des repentis de bénéficier des mesures d'amnistie. Les cours de justice concernées, a-t-il dit, ont entamé l'examen « au cas par cas » de ces dossiers, ajoutant que 30 d'entre eux ont été examinés et les concernés ont bénéficié des mesures contenues dans la Charte de réconciliation nationale. S'agissant du problème des mandats d'arrêt contre certains repentis, il fera savoir qu'il a été réglé. Cette question était, selon lui, objet de problématique, les concernés ayant reçu « le document de la mainlevée ». M. Azzi a évoqué, à cette occasion, la question des droits de l'Homme en Algérie, affirmant l'existence d'une volonté politique « indéniable » pour améliorer la situation arguant des dispositions juridiques revues dans ce sens dont la dernière en date était le projet de révision du travail du tribunal criminel qui se trouve actuellement au niveau du gouvernement. Les mesures de réconciliation nationale sont toujours en vigueur, a affirmé jeudi à Alger, le président de la cellule d'assistance judiciaire à l'application de la Charte de la paix et de la réconciliation nationale, Merouane Azzi. Ce dernier a également indiqué qu'il existe encore quelque 120 dossiers en suspens au niveau de sept cours de justice à travers le pays. Intervenant lors de la conférence-débat organisée au siège du quotidien El Moudjahid, M. Azzi a indiqué que ces 120 dossiers sont ceux relatifs au droit des repentis de bénéficier des mesures d'amnistie. Les cours de justice concernées, a-t-il dit, ont entamé l'examen « au cas par cas » de ces dossiers, ajoutant que 30 d'entre eux ont été examinés et les concernés ont bénéficié des mesures contenues dans la Charte de réconciliation nationale. S'agissant du problème des mandats d'arrêt contre certains repentis, il fera savoir qu'il a été réglé. Cette question était, selon lui, objet de problématique, les concernés ayant reçu « le document de la mainlevée ». M. Azzi a évoqué, à cette occasion, la question des droits de l'Homme en Algérie, affirmant l'existence d'une volonté politique « indéniable » pour améliorer la situation arguant des dispositions juridiques revues dans ce sens dont la dernière en date était le projet de révision du travail du tribunal criminel qui se trouve actuellement au niveau du gouvernement.