Les responsables britanniques présents jeudi à Zurich pour défendre le dossier de la candidature anglaise pour l'organisation de la Coupe du Monde 2018 de football, n'ont pas caché leur "déception et amertume" à l'issue de l'annonce finale de l'attribution du mondial-2018 à la Russie. Les responsables britanniques présents jeudi à Zurich pour défendre le dossier de la candidature anglaise pour l'organisation de la Coupe du Monde 2018 de football, n'ont pas caché leur "déception et amertume" à l'issue de l'annonce finale de l'attribution du mondial-2018 à la Russie. L'Angleterre, berceau du jeu et qui attend une Coupe du monde depuis 1966, apparaissait comme le favori du groupe d'experts techniques de la Fifa, juste devant le ticket ibérique. Mais les accusations de corruption lancées par la presse anglaise contre des membres du Comité exécutif de la Fifa ont ruiné ses chances. Le Premier ministre David Cameron s'est déclaré "amèrement déçu" de la défaite de l'Angleterre, sorti au premier tour du suffrage de la Fifa après n'avoir récolté que deux voix pour 22 votants (le candidat ayant le moins de voix est éliminé). "C'est désespérément triste. Nous n'avons pas eu de Coupe du monde en Angleterre depuis ma naissance (octobre 1966, trois mois après la Coupe du monde organisée en Angleterre, ndlr). J'espérais que cela change, mais ce n'est pas pour cette fois", a indiqué M. Cameron. De son côté, le ministre britannique des Sports, M. Hugh Robertson a estimé que la seule explication de la défaite de l'Angleterre est celle donnée par la président de la Fifa, Sepp Blatter, en annonçant la décision finale. "Nous avons encouragé la Fifa à voter pour des raisons liées au football. Pour le moment, je ne comprends pas et la seule explication possible est celle de Sepp Blatter qui a affiché la volonté de l'instance mondiale d'amener le football vers de nouveaux territoires." Le président du comité de candidature anglais, M. Geoff Thomson n'a pas caché, lui aussi, sa déception. "Je n'arrive pas à croire ce qui s'est passé et je suis naturellement très, très déçu. Les voix qui nous étaient promises ne se sont pas matérialisées. Je n'aurais jamais imaginé que nous puissions sortir au premier tour". Pour l'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre et ambassadeur de la candidature de son pays, David Bekham "la candidature de l'Angleterre ne pouvait pas être meilleure. Nous avons fait tout ce qui était possible. C'est décevant, mes félicitations à la Russie et au Qatar. Ce sont des pays importants et je suis sûr que la Fifa en sera fière." David Dein (membre du Comité de candidature anglais, ancien vice-président d'Arsenal) s'est joint aux représentants anglais, déclarant: "Je ne sais pas trop comment ça marche, tout ce que je peux dire c'est que parfois dans la vie -on l'a vu très souvent dans des matches de football- ce n'est pas forcément la meilleure équipe qui gagne". L'Angleterre, berceau du jeu et qui attend une Coupe du monde depuis 1966, apparaissait comme le favori du groupe d'experts techniques de la Fifa, juste devant le ticket ibérique. Mais les accusations de corruption lancées par la presse anglaise contre des membres du Comité exécutif de la Fifa ont ruiné ses chances. Le Premier ministre David Cameron s'est déclaré "amèrement déçu" de la défaite de l'Angleterre, sorti au premier tour du suffrage de la Fifa après n'avoir récolté que deux voix pour 22 votants (le candidat ayant le moins de voix est éliminé). "C'est désespérément triste. Nous n'avons pas eu de Coupe du monde en Angleterre depuis ma naissance (octobre 1966, trois mois après la Coupe du monde organisée en Angleterre, ndlr). J'espérais que cela change, mais ce n'est pas pour cette fois", a indiqué M. Cameron. De son côté, le ministre britannique des Sports, M. Hugh Robertson a estimé que la seule explication de la défaite de l'Angleterre est celle donnée par la président de la Fifa, Sepp Blatter, en annonçant la décision finale. "Nous avons encouragé la Fifa à voter pour des raisons liées au football. Pour le moment, je ne comprends pas et la seule explication possible est celle de Sepp Blatter qui a affiché la volonté de l'instance mondiale d'amener le football vers de nouveaux territoires." Le président du comité de candidature anglais, M. Geoff Thomson n'a pas caché, lui aussi, sa déception. "Je n'arrive pas à croire ce qui s'est passé et je suis naturellement très, très déçu. Les voix qui nous étaient promises ne se sont pas matérialisées. Je n'aurais jamais imaginé que nous puissions sortir au premier tour". Pour l'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre et ambassadeur de la candidature de son pays, David Bekham "la candidature de l'Angleterre ne pouvait pas être meilleure. Nous avons fait tout ce qui était possible. C'est décevant, mes félicitations à la Russie et au Qatar. Ce sont des pays importants et je suis sûr que la Fifa en sera fière." David Dein (membre du Comité de candidature anglais, ancien vice-président d'Arsenal) s'est joint aux représentants anglais, déclarant: "Je ne sais pas trop comment ça marche, tout ce que je peux dire c'est que parfois dans la vie -on l'a vu très souvent dans des matches de football- ce n'est pas forcément la meilleure équipe qui gagne".