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La maintenance industrielle en quête de développement
Le secteur de l'énergie nécessite des technologies avancées
Publié dans Le Midi Libre le 06 - 12 - 2010

Le secteur de l'énergie qui requiert des moyens technologiques perfectionnés et récents a beaucoup plus besoin de maintenance industrielle et de pièces de rechange pour l'entretien des installations pétrolières et gazières et les différentes infrastructures techniques.
Le secteur de l'énergie qui requiert des moyens technologiques perfectionnés et récents a beaucoup plus besoin de maintenance industrielle et de pièces de rechange pour l'entretien des installations pétrolières et gazières et les différentes infrastructures techniques.
Le 5e Salon international de l'électrotechnique, de l'automation industrielle et de l'énergie, prévu du 28 février au 3 mars 2011 au Palais des expositions d'Alger (Pins maritimes) de la Safex, permettra notamment au entreprises spécialisées dans l'énergie et la maintenance industrielle de trouver des partenaires étrangers en vue de conclure des contrats de partenariat et de coopération. Ainsi, selon les promoteurs de cette importante manifestation économique et commerciale, des investissements massifs dans les secteurs algériens de l'énergie, du bâtiment et de l'industrie sont indispensables pour le développement du secteur. Placé sous le haut patronage du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, cet évènement est situé, selon les organisateurs et Fairtade, « sur toile de fond d'investissements massifs dans les secteurs algériens du bâtiment, de la construction et de l'industrie ainsi que d'une forte augmentation de la demande en technologies électriques et en équipements et solutions ‘'d'immotique'' et d'automation industrielle ».
Le premier Forum international sur la promotion de la fabrication de la pièce de rechange industrielle organisé, récemment, par Sonatrach s'est notamment articulé autour de l'intégration nationale et le partenariat, soit deux priorités de Sonatrach.
Les responsables de cette compagnie nationale des hydrocarbures estiment que «Sonatrach importe en moyenne pour un milliard de dollars de pièces de rechange pour ses différentes unités de production et d'exploitation de l'ensemble de ses activités. Il existe 60 modèles de référence pour les 500.000 pièces de rechange qui sont concernés par la maintenance à Sonatrach ». Ils ajoutent que « ce chiffre important a fait entrevoir la nécessité de développer un réseau national de sous-traitants en vue de réduire la facture de l'importation. C'est pour l'atteinte de cet objectif que Sonatrach a organisé ce premier Forum international sur la promotion de la fabrication de la pièce de rechange industrielle. Cette rencontre, étalée sur deux jours, a regroupé environ 200 participants entre fournisseurs traditionnels de Sonatrach et entreprises nationales ». Etant très importante et incontournable pour la maintenance des équipements et des installations de haute technologie dans le secteur de l'énergie, la pièce de rechange est considérée comme indispensable pour le bon fonctionnement des complexes et des usines pétrochimiques. Ainsi, la maîtrise et la disponibilité de la pièce de rechange d'origine permet des gains financiers importants et une autonomie et indépendance des différents intervenants, tels que les chercheurs, ingénieurs et techniciens. Sonatrach estime que cet évènement revêt une importance capitale car, « il s'inscrit dans la politique d'intégration nationale prônée par les pouvoirs publics et se veut être un espace d'échanges et de communication, permettant de favoriser des relations d'affaires entre les fabricants étrangers et les fabricants algériens existants en vue de la réalisation d'investissements en partenariat en Algérie pour la fabrication de pièces de rechange nécessaires au fonctionnement des installations pétrolières et gazières en Algérie ». En plus des représentants des entreprises du secteur de l'énergie, la rencontre a regroupé 50 fabricants algériens de la pièce de rechange et près de 50 fabricants étrangers.
Vers la fabrication de la pièce de rechange locale
L'Algérie veut s'engager dans la fabrication de certaines pièces de rechange nécessaires et très sollicitées par les complexes et les unités de production au niveau des sites des hydrocarbures. Car la fonction production de pièces de rechange vise notamment à réduire les importations de biens, mais également cela permettra de diminuer la facture inhérente à l'importation. Dans cet ordre d'idées, les responsables de Sonatrach soulignent que « la volonté du secteur des hydrocarbures de contribuer à la politique de substitution à l'importation dans le domaine sensible de la pièce de rechange ainsi que la réunion des conditions de la mise en relation d'affaires autour de projets de fabrication de pièces de rechange se traduit par la future mise en place d' une banque de données sur les équipements et matériels et qui sera bientôt mise à la disposition des opérateurs nationaux pour promouvoir l'intégration nationale dans ce domaine ». La première entreprise à l'échelle africaine, à savoir Sonatrach, estime que « le moment est venu de réaliser chez nous la production d'un certain nombre d'entre elles (pièces de rechange). Sonatrach restera naturellement très attentive à la qualité des pièces de rechange qui seront ainsi produites. Elle sera très vigilante quant au respect absolu des normes et standards les plus élevés en matière de conformité, de fiabilité et de sécurité».
Le 5e Salon international de l'électrotechnique, de l'automation industrielle et de l'énergie, prévu du 28 février au 3 mars 2011 au Palais des expositions d'Alger (Pins maritimes) de la Safex, permettra notamment au entreprises spécialisées dans l'énergie et la maintenance industrielle de trouver des partenaires étrangers en vue de conclure des contrats de partenariat et de coopération. Ainsi, selon les promoteurs de cette importante manifestation économique et commerciale, des investissements massifs dans les secteurs algériens de l'énergie, du bâtiment et de l'industrie sont indispensables pour le développement du secteur. Placé sous le haut patronage du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, cet évènement est situé, selon les organisateurs et Fairtade, « sur toile de fond d'investissements massifs dans les secteurs algériens du bâtiment, de la construction et de l'industrie ainsi que d'une forte augmentation de la demande en technologies électriques et en équipements et solutions ‘'d'immotique'' et d'automation industrielle ».
Le premier Forum international sur la promotion de la fabrication de la pièce de rechange industrielle organisé, récemment, par Sonatrach s'est notamment articulé autour de l'intégration nationale et le partenariat, soit deux priorités de Sonatrach.
Les responsables de cette compagnie nationale des hydrocarbures estiment que «Sonatrach importe en moyenne pour un milliard de dollars de pièces de rechange pour ses différentes unités de production et d'exploitation de l'ensemble de ses activités. Il existe 60 modèles de référence pour les 500.000 pièces de rechange qui sont concernés par la maintenance à Sonatrach ». Ils ajoutent que « ce chiffre important a fait entrevoir la nécessité de développer un réseau national de sous-traitants en vue de réduire la facture de l'importation. C'est pour l'atteinte de cet objectif que Sonatrach a organisé ce premier Forum international sur la promotion de la fabrication de la pièce de rechange industrielle. Cette rencontre, étalée sur deux jours, a regroupé environ 200 participants entre fournisseurs traditionnels de Sonatrach et entreprises nationales ». Etant très importante et incontournable pour la maintenance des équipements et des installations de haute technologie dans le secteur de l'énergie, la pièce de rechange est considérée comme indispensable pour le bon fonctionnement des complexes et des usines pétrochimiques. Ainsi, la maîtrise et la disponibilité de la pièce de rechange d'origine permet des gains financiers importants et une autonomie et indépendance des différents intervenants, tels que les chercheurs, ingénieurs et techniciens. Sonatrach estime que cet évènement revêt une importance capitale car, « il s'inscrit dans la politique d'intégration nationale prônée par les pouvoirs publics et se veut être un espace d'échanges et de communication, permettant de favoriser des relations d'affaires entre les fabricants étrangers et les fabricants algériens existants en vue de la réalisation d'investissements en partenariat en Algérie pour la fabrication de pièces de rechange nécessaires au fonctionnement des installations pétrolières et gazières en Algérie ». En plus des représentants des entreprises du secteur de l'énergie, la rencontre a regroupé 50 fabricants algériens de la pièce de rechange et près de 50 fabricants étrangers.
Vers la fabrication de la pièce de rechange locale
L'Algérie veut s'engager dans la fabrication de certaines pièces de rechange nécessaires et très sollicitées par les complexes et les unités de production au niveau des sites des hydrocarbures. Car la fonction production de pièces de rechange vise notamment à réduire les importations de biens, mais également cela permettra de diminuer la facture inhérente à l'importation. Dans cet ordre d'idées, les responsables de Sonatrach soulignent que « la volonté du secteur des hydrocarbures de contribuer à la politique de substitution à l'importation dans le domaine sensible de la pièce de rechange ainsi que la réunion des conditions de la mise en relation d'affaires autour de projets de fabrication de pièces de rechange se traduit par la future mise en place d' une banque de données sur les équipements et matériels et qui sera bientôt mise à la disposition des opérateurs nationaux pour promouvoir l'intégration nationale dans ce domaine ». La première entreprise à l'échelle africaine, à savoir Sonatrach, estime que « le moment est venu de réaliser chez nous la production d'un certain nombre d'entre elles (pièces de rechange). Sonatrach restera naturellement très attentive à la qualité des pièces de rechange qui seront ainsi produites. Elle sera très vigilante quant au respect absolu des normes et standards les plus élevés en matière de conformité, de fiabilité et de sécurité».


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