Des rencontres business to business (B to B) entre des opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires et investisseurs iraniens ont eu lieu, hier à 'hôtel Mercure, en présence des responsables de la Chambre algérienne de Commerce et d'industrie (CACI). Des rencontres business to business (B to B) entre des opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires et investisseurs iraniens ont eu lieu, hier à 'hôtel Mercure, en présence des responsables de la Chambre algérienne de Commerce et d'industrie (CACI). Le directeur de la Chambre de Commerce et d'industrie de Téhéran et le président de la CACI ont conclu un accord devant aboutir à la mise en place d'un conseil d'affaires algéro-iranien qui sera opérationnel dès le mois de mars 2001. La représentante de l'Agence nationale de promotion des investissements (ANDI), a présenté le cadre règlementaire et législatif caractérisant le climat des affaires et l'environnement des investissements en Algérie devant une assistance composée essentiellement d'entrepreneurs iraniens. Des industriels iraniens spécialisés notamment dans la fabrication de joints en caoutchouc destinés à l'industrie, ainsi que d'autres opérateurs de l'industrie de la maroquinerie et de la chaussure et bien d'autres secteurs industriels, telle que la pièce de rechange, ont exposé leurs produits et leurs technologies aux industriels algériens venus s'imprégner des innovations iraniennes et des process de production. Pour Ali Bouzid, représentant de la société de gestion de participation SGDA (services agricoles) estime que cette entité qui comporte plusieurs sociétés a un portefeuille et cherche notamment à établir des formes de joint-ventures avec des industriels iraniens pour travailler avec des opérateurs économiques algériens. Des entrepreneurs algériens versés dans les secteurs du génie rural, le reboisement et le liège (ENGA), et dans les semences et plants (GSPG), ainsi que d'autres opérateurs spécialisés dans les produits du terroir algérien (dattes et huile) ont eu des entretiens et des relations d'affaires avec la délégation d'hommes d'affaires iraniens, venus en masse à Alger dans le but essentiel de conclure des contrats dans les secteurs de la construction automobile, la construction et l'habitat et les cimenteries. Des industriels iraniens sont intéressés par la formule de partenariat basée sur le principe de partage de capital, 51 % pour la partie algérienne et 49 % pour les investisseurs, en vertu des dispositions de la loi de finances complémentaire 2010. Etant trés intéressés par la construction de logements dont l'Algérie a lancé un vaste programme de construction de 2 millions de logements durant le plan quinquennal 2010-2014, les industriels iraniens sont notamment venus proposer leur expérience et leur savoir-faire dans ce domaine. Le directeur de la Chambre de Commerce et d'industrie de Téhéran et le président de la CACI ont conclu un accord devant aboutir à la mise en place d'un conseil d'affaires algéro-iranien qui sera opérationnel dès le mois de mars 2001. La représentante de l'Agence nationale de promotion des investissements (ANDI), a présenté le cadre règlementaire et législatif caractérisant le climat des affaires et l'environnement des investissements en Algérie devant une assistance composée essentiellement d'entrepreneurs iraniens. Des industriels iraniens spécialisés notamment dans la fabrication de joints en caoutchouc destinés à l'industrie, ainsi que d'autres opérateurs de l'industrie de la maroquinerie et de la chaussure et bien d'autres secteurs industriels, telle que la pièce de rechange, ont exposé leurs produits et leurs technologies aux industriels algériens venus s'imprégner des innovations iraniennes et des process de production. Pour Ali Bouzid, représentant de la société de gestion de participation SGDA (services agricoles) estime que cette entité qui comporte plusieurs sociétés a un portefeuille et cherche notamment à établir des formes de joint-ventures avec des industriels iraniens pour travailler avec des opérateurs économiques algériens. Des entrepreneurs algériens versés dans les secteurs du génie rural, le reboisement et le liège (ENGA), et dans les semences et plants (GSPG), ainsi que d'autres opérateurs spécialisés dans les produits du terroir algérien (dattes et huile) ont eu des entretiens et des relations d'affaires avec la délégation d'hommes d'affaires iraniens, venus en masse à Alger dans le but essentiel de conclure des contrats dans les secteurs de la construction automobile, la construction et l'habitat et les cimenteries. Des industriels iraniens sont intéressés par la formule de partenariat basée sur le principe de partage de capital, 51 % pour la partie algérienne et 49 % pour les investisseurs, en vertu des dispositions de la loi de finances complémentaire 2010. Etant trés intéressés par la construction de logements dont l'Algérie a lancé un vaste programme de construction de 2 millions de logements durant le plan quinquennal 2010-2014, les industriels iraniens sont notamment venus proposer leur expérience et leur savoir-faire dans ce domaine.