Une étude américaine publiée mardi révèle qu'une version plus précise d'un test sanguin communément pratiqué dans les services d'urgence pourrait permettre de détecter des problèmes cardiaques chez des patients ne présentant aucun symptôme. "Ce test est un des meilleurs que nous ayons vus jusqu'ici pour prédire les risques mortels dans la population générale", souligne James de Lemos, professeur associé de médecine interne à l'université Southwestern du Texas, principal auteur de cette étude. L'étude montre que "plus votre troponine T est élevée, plus vous risquez d'avoir des problèmes cardiaques, et moins bien vous vous en tirerez, quels que soient vos autres facteurs de risque", explique-t-il. Plus de 3.500 personnes, essentiellement des citadins représentatifs de la population américaine, c'est-à-dire avec une forte prévalence d'obésité, d'hypertension et de diabète, ont été suivies pour cette recherche entre 2002 et 2007. Les sujets ont fourni des échantillons sanguins et subi de nombreux tests (scanners, IRM et tomographies). Un test de détection de la troponine T, appelé cTnT, est déjà utilisé par les médecins urgentistes lorsqu'ils cherchent à déterminer si un patient qui se plaint de douleurs dans la poitrine est en train de subir un infarctus ou non. La nouvelle version de ce test, plus sensible, a permis de détecter la présence de la protéine dans environ 25% des échantillons sanguins de 3.500 personnes. Une étude américaine publiée mardi révèle qu'une version plus précise d'un test sanguin communément pratiqué dans les services d'urgence pourrait permettre de détecter des problèmes cardiaques chez des patients ne présentant aucun symptôme. "Ce test est un des meilleurs que nous ayons vus jusqu'ici pour prédire les risques mortels dans la population générale", souligne James de Lemos, professeur associé de médecine interne à l'université Southwestern du Texas, principal auteur de cette étude. L'étude montre que "plus votre troponine T est élevée, plus vous risquez d'avoir des problèmes cardiaques, et moins bien vous vous en tirerez, quels que soient vos autres facteurs de risque", explique-t-il. Plus de 3.500 personnes, essentiellement des citadins représentatifs de la population américaine, c'est-à-dire avec une forte prévalence d'obésité, d'hypertension et de diabète, ont été suivies pour cette recherche entre 2002 et 2007. Les sujets ont fourni des échantillons sanguins et subi de nombreux tests (scanners, IRM et tomographies). Un test de détection de la troponine T, appelé cTnT, est déjà utilisé par les médecins urgentistes lorsqu'ils cherchent à déterminer si un patient qui se plaint de douleurs dans la poitrine est en train de subir un infarctus ou non. La nouvelle version de ce test, plus sensible, a permis de détecter la présence de la protéine dans environ 25% des échantillons sanguins de 3.500 personnes.