Bonne nouvelle pour le personnel de la santé publique. Des augmentations conséquentes dans leurs traitements mensuels seront effectives dans quelques mois. Bonne nouvelle pour le personnel de la santé publique. Des augmentations conséquentes dans leurs traitements mensuels seront effectives dans quelques mois. Le premier responsable du secteur vient de répondre favorablement à l'une des revendications les plus importantes des syndicats de la Santé. Ces derniers, rappelons-le, ont observé une multitude de débrayages durant cette année, revendiquant, outre l'augmentation de leurs salaires, la révision du régime indemnitaire et l'achèvement du statut particulier. Néanmoins, force est de constater l'accalmie qui a marqué le secteur depuis plusieurs mois, synonyme d'une amélioration de leur situation. Alors que les enseignants-chercheurs (hospitalo-universitaires) ont bénéficié d'une augmentation de leurs salaires, les autres personnels de la santé, à savoir les spécialistes, les généralistes, les sages-femmes et les gestionnaires bénéficieront à leur tour d'une augmentation « décente» de leurs salaires à partir du premier trimestre de l'année prochaine. L'annonce a été faite hier, par le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, en marge du 18e Congrès national de néphrologie qui s'est ouvert à Alger. Tout en admettant que «le salaire du médecin actuellement ne correspond pas à la responsabilité dont il est en charge et de la mission noble qu'il accomplie», le ministre de la Santé a précisé que «ce salaire sera cependant modulé selon les régions ou exerce le praticien, c'est à dire que la prime sera plus conséquente pour le médecin qui accepte de travailler par exemple dans le Grand Sud ou dans des zones prioritaires». Revenant sur les hospitalo-universitaires, Djamel Ould Abbès a qualifié l'augmentation de leurs salaires de « plus que décente», et cela suite aux instructions du président de la République lors de l'ouverture de l'année universitaire à Ouargla. «Les enseignants- chercheurs (les hospitalo-universitaires) ont bénéficié d'une augmentation de leurs salaires atteignant presque le double de ce qu'ils percevaient», a-t-il rappelé. Le 18e congrès national de néphrologie qui s'est ouvert hier à Alger a vu la participation de plus de 300 spécialistes algériens et étrangers. Organisé par La Société algérienne de néphrologie dialyse et transplantation (SANDT), ce congrès scientifique qui s'étalera sur deux jours, « a pour ambition de faire le bilan sur la maladie d'insuffisance rénale et de relancer le programme national de transplantations d'organes », selon les organisateurs. Pas moins de 50 conférences seront animées sur les différents aspects liés à la néphrologie et la transplantation rénale, à l'instar de l'hémodialyse, et surtout à l'accès à la transplantation rénale, indiquent les organisateurs. Le premier responsable du secteur vient de répondre favorablement à l'une des revendications les plus importantes des syndicats de la Santé. Ces derniers, rappelons-le, ont observé une multitude de débrayages durant cette année, revendiquant, outre l'augmentation de leurs salaires, la révision du régime indemnitaire et l'achèvement du statut particulier. Néanmoins, force est de constater l'accalmie qui a marqué le secteur depuis plusieurs mois, synonyme d'une amélioration de leur situation. Alors que les enseignants-chercheurs (hospitalo-universitaires) ont bénéficié d'une augmentation de leurs salaires, les autres personnels de la santé, à savoir les spécialistes, les généralistes, les sages-femmes et les gestionnaires bénéficieront à leur tour d'une augmentation « décente» de leurs salaires à partir du premier trimestre de l'année prochaine. L'annonce a été faite hier, par le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, en marge du 18e Congrès national de néphrologie qui s'est ouvert à Alger. Tout en admettant que «le salaire du médecin actuellement ne correspond pas à la responsabilité dont il est en charge et de la mission noble qu'il accomplie», le ministre de la Santé a précisé que «ce salaire sera cependant modulé selon les régions ou exerce le praticien, c'est à dire que la prime sera plus conséquente pour le médecin qui accepte de travailler par exemple dans le Grand Sud ou dans des zones prioritaires». Revenant sur les hospitalo-universitaires, Djamel Ould Abbès a qualifié l'augmentation de leurs salaires de « plus que décente», et cela suite aux instructions du président de la République lors de l'ouverture de l'année universitaire à Ouargla. «Les enseignants- chercheurs (les hospitalo-universitaires) ont bénéficié d'une augmentation de leurs salaires atteignant presque le double de ce qu'ils percevaient», a-t-il rappelé. Le 18e congrès national de néphrologie qui s'est ouvert hier à Alger a vu la participation de plus de 300 spécialistes algériens et étrangers. Organisé par La Société algérienne de néphrologie dialyse et transplantation (SANDT), ce congrès scientifique qui s'étalera sur deux jours, « a pour ambition de faire le bilan sur la maladie d'insuffisance rénale et de relancer le programme national de transplantations d'organes », selon les organisateurs. Pas moins de 50 conférences seront animées sur les différents aspects liés à la néphrologie et la transplantation rénale, à l'instar de l'hémodialyse, et surtout à l'accès à la transplantation rénale, indiquent les organisateurs.