Des dizaines d'opérateurs économiques algériens, publics et privés ont rencontré, hier à Alger, des investisseurs, des hommes d'affaires et des industriels de Malaisie dans l'optique d'un partenariat gagnant-gagnant dans plusieurs secteurs d'activité, notamment dans les domaines de l'électronique et des technologies de l'information et de la communication. Des dizaines d'opérateurs économiques algériens, publics et privés ont rencontré, hier à Alger, des investisseurs, des hommes d'affaires et des industriels de Malaisie dans l'optique d'un partenariat gagnant-gagnant dans plusieurs secteurs d'activité, notamment dans les domaines de l'électronique et des technologies de l'information et de la communication. Dans le domaine des TIC où la Malaisie, l'un des pays émergents de l'Asie du Sud-Est les plus développés et les plus performants sur le plan des technologies de pointe de la région, la collaboration entre les opérateurs algériens et les experts et entrepreneurs malaisiens est très avancée, en ce sens que des délégations d'ingénieurs et de chercheurs algériens se rendent souvent en Malaisie pour des stages de perfectionnement en informatique, en électronique et en microélectronique. Ainsi, l'ambassadeur de Malaisie à Alger, Hasrul Sani Mujtabar, nous a indiqué, en marge de ce forum d'affaires que "les trois rencontres qu'il a eues avec le ministre algérien de la Poste et des TIC ont pour objet essentiel d'approfondir le partenariat entre les deux pays et instaurer des traditions de une coopération durable". Ayant la vive détermination de booster et stimuler davantage les échanges entre les deux pays, le gouvernement malaisien envisage d'accroître sensiblement le volume des échanges commerciaux évalués en 2009 à 132 millions de dollars. "Nous travaillons pour augmenter le niveau des échanges entre la Malaisie et l'Algérie, notamment après la visite du président Bouteflika à Kuala Lumpur, en 2003 et celle du Premier ministre de Malaisie, à Alger sachant que des rencontres de haut niveau entre des délégations des deux pays continuent toujours d'avoir lieu. Il y a beaucoup de choses à faire entre l'Algérie et la Malaisie dans le futur, car le gouvernement malaisien voit l'Algérie comme un pays émergent. L'Algérie est le 7e pays qui reçoit les exportations de produits malaisiens dans la région africaine tandis que les échanges commerciaux algéro-malaisiens ont quadruplé entre 2000 et 2009 où les résultats sont encourageants". L'ambassadeur a affirmé par ailleurs que les opérateurs économiques algériens désireux investir en Malaisie pourront bénéficier à 100 % de leurs opérations d'investissement sans être astreints de s'associer avec des entrepreneurs malaisiens, et pourront également transférer librement leurs dividendes et leurs bénéfices à l'extérieur sans aucune restriction administrative de la règlementation financière. "L'Algérie possède un énorme potentiel et nous pouvons apporter notre technologie et notre savoir-faire dans le secteur des énergies renouvelables, notamment le solaire en ce sens que nos entreprises s'intéressent au partenariat avec l'Algérie dans ce domaine où des sociétés malaisiennes ont participé au Salon international des énergies renouvelables et du développement durable qui s'est déroulé récemment à Tamanrasset (Hoggar)" a t-il ajouté, sachant que le soleil brille 3.200 heures par an dans cette région du Sahara algérien où des populations nomades (Touareg) utilisent déjà les panneaux solaires et la technologie pour se pourvoir en éléctricité. Dans le domaine des TIC où la Malaisie, l'un des pays émergents de l'Asie du Sud-Est les plus développés et les plus performants sur le plan des technologies de pointe de la région, la collaboration entre les opérateurs algériens et les experts et entrepreneurs malaisiens est très avancée, en ce sens que des délégations d'ingénieurs et de chercheurs algériens se rendent souvent en Malaisie pour des stages de perfectionnement en informatique, en électronique et en microélectronique. Ainsi, l'ambassadeur de Malaisie à Alger, Hasrul Sani Mujtabar, nous a indiqué, en marge de ce forum d'affaires que "les trois rencontres qu'il a eues avec le ministre algérien de la Poste et des TIC ont pour objet essentiel d'approfondir le partenariat entre les deux pays et instaurer des traditions de une coopération durable". Ayant la vive détermination de booster et stimuler davantage les échanges entre les deux pays, le gouvernement malaisien envisage d'accroître sensiblement le volume des échanges commerciaux évalués en 2009 à 132 millions de dollars. "Nous travaillons pour augmenter le niveau des échanges entre la Malaisie et l'Algérie, notamment après la visite du président Bouteflika à Kuala Lumpur, en 2003 et celle du Premier ministre de Malaisie, à Alger sachant que des rencontres de haut niveau entre des délégations des deux pays continuent toujours d'avoir lieu. Il y a beaucoup de choses à faire entre l'Algérie et la Malaisie dans le futur, car le gouvernement malaisien voit l'Algérie comme un pays émergent. L'Algérie est le 7e pays qui reçoit les exportations de produits malaisiens dans la région africaine tandis que les échanges commerciaux algéro-malaisiens ont quadruplé entre 2000 et 2009 où les résultats sont encourageants". L'ambassadeur a affirmé par ailleurs que les opérateurs économiques algériens désireux investir en Malaisie pourront bénéficier à 100 % de leurs opérations d'investissement sans être astreints de s'associer avec des entrepreneurs malaisiens, et pourront également transférer librement leurs dividendes et leurs bénéfices à l'extérieur sans aucune restriction administrative de la règlementation financière. "L'Algérie possède un énorme potentiel et nous pouvons apporter notre technologie et notre savoir-faire dans le secteur des énergies renouvelables, notamment le solaire en ce sens que nos entreprises s'intéressent au partenariat avec l'Algérie dans ce domaine où des sociétés malaisiennes ont participé au Salon international des énergies renouvelables et du développement durable qui s'est déroulé récemment à Tamanrasset (Hoggar)" a t-il ajouté, sachant que le soleil brille 3.200 heures par an dans cette région du Sahara algérien où des populations nomades (Touareg) utilisent déjà les panneaux solaires et la technologie pour se pourvoir en éléctricité.