Le bâtiment et les travaux publics, l'informatique et la construction maritime, ainsi que l'industrie chimique et les techniques agricoles, notamment l'utilisation des engrais, sont les créneaux dans lesquels les investisseurs portugais peuvent apporter un plus à l'économie algérienne. « Le principal objectif de notre mission économique en Algérie est de connaître le marché algérien, ses spécificités et les principaux secteurs économiques dans diverses activités comme l'informatique, les travaux publics, les matériaux de construction, les engrais, l'agriculture et l'industrie. Et ce, dans le cadre de la construction d' un partenariat industriel algéro-portugais », a déclaré en substance, hier, Patricia Formigo, manager et représentante de l'Association nationale des industriels et entrepreneurs portugais, en marge des rencontres B to B qui se sont déroulées au siège de l'ambassade de la République portugaise, entre les hommes d'affaires des deux pays. Il s'agit, pour les sept investisseurs et hommes d'affaires portugais de chercher, a t-elle ajouté, des opportunités de développement des relations de partenariat avec des opérateurs algériens. « Nous avons appris au Portugal le grand boom économique que l'Algérie a connu ces dernières années. Et c'est pourquoi nous sommes ici aujourd'hui, pour investir dans les secteurs clés comme l'informatique et l'hydraulique, ainsi que les travaux publics et le bâtiment», a t-elle ajouté, mettant en évidence «les nouvelles mesures règlementaires et le climat d'affaires en Algérie, assez propices, pour les investissements portugais en Algérie ». Elle a pris connaissance à Lisbonne, poursuit-elle, des potentialités économiques algériennes dans le cadre de répartition des capitaux à concurrence de 51 % et 49 %. « Nous avons rencontré, d'ailleurs, aujourd'hui, les responsables de l'Agence algérienne de développement des investissements (ANDI) qui nous ont informés avec précision sur les nouvelles dispositions législatives, lesquelles ne sont pas contraignantes pour les investisseurs portugais», a t-elle affirmé. C'est ainsi qu'elle a insisté sur la recherche de partenaires algériens en vue de dénicher des créneaux de partenariat et d'investissement susceptibles de répondre aux attentes des uns et des autres. Faut-il souligner que deux entreprises portugaises sont présentes en Algérie en termes d'investissement, notamment dans le cadre de la construction et travaux maritimes. « Elles cherchent maintenant à élargir leurs activités et prospecter de nouveaux partenaires pour monter de nouveaux projets d'investissement ». Concernant le transfert technologique et de savoir-faire, elle a dit qu'ils sont deux priorités de la mission portugaise en mettant l'accent sur une nouvelle technique d'irrigation dédiée spécifiquement pour les pays semi arides comme l'Algérie et qui manquent d'eau. Elle a indiqué que les négociations entre les opérateurs algériens et les investisseurs portugais continueront durant la visite de la délégation lusitanienne. De nouvelles rencontres d'affaires sont prévues pour aujourd'hui. De plus en plus intéressés par le marché algérien, les industriels et investisseurs portugais continuent de visiter l'Algérie dans l'optique de trouver des créneaux de coopération gagnant-gagnant avec des opérateurs algériens qui doivent, cependant, répondre présents aux appels au partenariat des Lusitaniens, très déterminés à lancer des projets industriels en Algérie, pays qu'ils considèrent comme étant porteur et géographiquement avantageux pour les déplacements des hommes d'affaires des deux pays, notamment avec l'ouverture de lignes aériennes directes Alger-Lisbonne. Le bâtiment et les travaux publics, l'informatique et la construction maritime, ainsi que l'industrie chimique et les techniques agricoles, notamment l'utilisation des engrais, sont les créneaux dans lesquels les investisseurs portugais peuvent apporter un plus à l'économie algérienne. « Le principal objectif de notre mission économique en Algérie est de connaître le marché algérien, ses spécificités et les principaux secteurs économiques dans diverses activités comme l'informatique, les travaux publics, les matériaux de construction, les engrais, l'agriculture et l'industrie. Et ce, dans le cadre de la construction d' un partenariat industriel algéro-portugais », a déclaré en substance, hier, Patricia Formigo, manager et représentante de l'Association nationale des industriels et entrepreneurs portugais, en marge des rencontres B to B qui se sont déroulées au siège de l'ambassade de la République portugaise, entre les hommes d'affaires des deux pays. Il s'agit, pour les sept investisseurs et hommes d'affaires portugais de chercher, a t-elle ajouté, des opportunités de développement des relations de partenariat avec des opérateurs algériens. « Nous avons appris au Portugal le grand boom économique que l'Algérie a connu ces dernières années. Et c'est pourquoi nous sommes ici aujourd'hui, pour investir dans les secteurs clés comme l'informatique et l'hydraulique, ainsi que les travaux publics et le bâtiment», a t-elle ajouté, mettant en évidence «les nouvelles mesures règlementaires et le climat d'affaires en Algérie, assez propices, pour les investissements portugais en Algérie ». Elle a pris connaissance à Lisbonne, poursuit-elle, des potentialités économiques algériennes dans le cadre de répartition des capitaux à concurrence de 51 % et 49 %. « Nous avons rencontré, d'ailleurs, aujourd'hui, les responsables de l'Agence algérienne de développement des investissements (ANDI) qui nous ont informés avec précision sur les nouvelles dispositions législatives, lesquelles ne sont pas contraignantes pour les investisseurs portugais», a t-elle affirmé. C'est ainsi qu'elle a insisté sur la recherche de partenaires algériens en vue de dénicher des créneaux de partenariat et d'investissement susceptibles de répondre aux attentes des uns et des autres. Faut-il souligner que deux entreprises portugaises sont présentes en Algérie en termes d'investissement, notamment dans le cadre de la construction et travaux maritimes. « Elles cherchent maintenant à élargir leurs activités et prospecter de nouveaux partenaires pour monter de nouveaux projets d'investissement ». Concernant le transfert technologique et de savoir-faire, elle a dit qu'ils sont deux priorités de la mission portugaise en mettant l'accent sur une nouvelle technique d'irrigation dédiée spécifiquement pour les pays semi arides comme l'Algérie et qui manquent d'eau. Elle a indiqué que les négociations entre les opérateurs algériens et les investisseurs portugais continueront durant la visite de la délégation lusitanienne. De nouvelles rencontres d'affaires sont prévues pour aujourd'hui. De plus en plus intéressés par le marché algérien, les industriels et investisseurs portugais continuent de visiter l'Algérie dans l'optique de trouver des créneaux de coopération gagnant-gagnant avec des opérateurs algériens qui doivent, cependant, répondre présents aux appels au partenariat des Lusitaniens, très déterminés à lancer des projets industriels en Algérie, pays qu'ils considèrent comme étant porteur et géographiquement avantageux pour les déplacements des hommes d'affaires des deux pays, notamment avec l'ouverture de lignes aériennes directes Alger-Lisbonne.