La récente participation de l'Algérie au salon du Midest 2010 qui s'est ouvert le 2 novembre dernier à Paris, s'est articulée essentiellement autour d'activités orientées vers des rencontres d'information et de rencontres d'affaires Business to Business. La récente participation de l'Algérie au salon du Midest 2010 qui s'est ouvert le 2 novembre dernier à Paris, s'est articulée essentiellement autour d'activités orientées vers des rencontres d'information et de rencontres d'affaires Business to Business. -Tandis que les autorités en charge de la promotion des investissements et de la sensibilisation autour de la règlementation des affaires et du climat des investissements en Algérie s'efforcent de fournir le maximum d'informations pratiques, l'accent a été mis, lors des rencontres internationales, sur la nécessité de promouvoir les innovations technologiques sachant que l'Institut algérien de la propriété industrielle (Inapi) a récemment instauré un fonds destiné à soutenir les jeunes innovateurs et inventeurs en Algérie. Ainsi, la récente participation de l'Algérie au salon du Midest 2010 qui s'est ouverte le 2 novembre dernier à Paris, s'est articulée essentiellement autour d'activités orientées vers des rencontres d'information et de rencontres d'affaires Business to Business. En fait, dans le volet information, le programme des conférences du salon Midest 2010 laisse désormais place, chaque année, aux communications présentées par l'Algérie sur les opportunités d'affaires et d'investissements. Avec des chiffres extrêmement précis, Ammouri Brahiti, directeur général des PME au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, a brossé un tableau très favorable du climat des affaires dans ce domaine, en expliquant les récentes dispositions réglementaires de la loi de finance complémentaire 2009. Il a encouragé dans ce sens les acteurs industriels internationaux à rechercher des partenariats avec des PME algériennes. Il s'est ainsi proposé, lors de son intervention, d'étudier personnellement et avec ses collaborateurs, toutes propositions émanant des entreprises étrangères intéressées par des investissements ou des relations de partenariats gagnant-gagnant. Et ce dans le cadre des perspectives envisagées par le coordinateur du pavillon algérien, la bourse de sous-traitance et de partenariat de l'Ouest algérien en partenariat (BSTPO) avec le programme Optimexport d'aide et de soutien financier et logistique aux PME algériennes sélectionnées à l'international. Ainsi, l'implication directe et effective des officiels dans l'encouragement des investisseurs internationaux à s'intéresser aux affaires en Algérie pourrait porter ses fruits d'autant plus que les hommes d'affaires étrangers ont réaffirmé, récemment et à maintes reprises, leur disponibilité à développer des projets économiques en Algérie à la lumière des dispositions de la loi de finances complémentaire 2010. Si en 2009, le pavillon Algérie a présenté des exemples de sous-traitance internationale en particulier dans le domaine de la construction automobile avec l'intervention d'un donneur d'ordres national réputé, la SNVI, en l'occurrence, en exposant un état des lieux chiffré des avancées dans le domaine, le programme des conférences de Midest 2010 aura vu la participation du ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement. Un organisme pour la cohésion Brahiti a en outre annoncé la création d'un organisme national de cohésion dans le domaine de la sous-traitance. Il s'agit, annonce-t-il, d'un conseil national chargé de la promotion de la sous-traitance algérienne. Cet organisme travaillera en étroite collaboration avec les quatre bourses algériennes de sous-traitance : BASTP (Centre), BSTPO (Ouest), BSTPE (Est), BSTPS (Sud). A noter une question du représentant de « Maroc Export » sur le développement international de la sous-traitance algérienne à laquelle Brahiti a répondu avec des propos rassurants du fait de la complémentarité entre toutes les institutions algériennes capables de protéger en Algérie et à l'étranger les innovations et les technologies, mettant en avant l'Inapi, l'Ianor et l'Algerac. Brahiti a aussi rappelé dans des entretiens qui ont suivis avec les opérateurs économiques, la complémentarité des travaux de sa direction avec les actions du programme Optimexport, soutenu par l'Agence française de développement (AFD). Une seconde communication présentée par le directeur de la BSTPO, coordinateur du pavillon Algérie, est relative aux secteurs d'activité porteurs de la sous-traitance algérienne, comme l'industrie de l'automobile et les composants électroniques. Notons que lors de la 6e édition des Rencontres économiques de la Méditerranée qui auront lieu le 4 décembre prochain au Palais Pharo de Marseille, l'Algérie sera présente et sera représentée par le secrétaire d'Etat aux Statistiques, Sid-Ali Boukrami qui exposera la vision et les orientations en matière d'investissement et de partenariat. Les opportunités d'investissement et le climat des affaires en Algérie ont également été examinés hier à Londres par des opérateurs économiques algériens et des investisseurs potentiels et des industriels britanniques prêts à monter des projets de développement en Algérie. Avantages comparatifs importants Les responsables algériens ont notamment expliqué les avantages comparatifs dont les investisseurs étrangers sont susceptibles de tirer profit dans leurs activités en Algérie. Dans cet ordre d'idées, Ammouri Brahiti, a insisté sur les opportunités d'investissements qu'offre l'Algérie en termes de profits et de régimes préférentiels. Les participants, qui sont en majorité des hommes d'affaires, ont exprimé, quant à eux, leur intérêt pour venir investir en Algérie. Comme la plupart des délégations d'industriels et d'hommes d'affaires de pays européens venus récemment à Alger s'enquérir des opportunités d'investissement, certains des participants au Midest Paris 2010 ont même tenu à formuler des propositions concrètes de collaboration avec des entreprises algériennes dans le domaine de la sous-traitance industrielle, selon la nouvelle règle de partenariat fixée par la loi de finance complémentaire 2009, à savoir le principe de partenariat gagnant-gagnant fondée sur 51% et 49%. -Tandis que les autorités en charge de la promotion des investissements et de la sensibilisation autour de la règlementation des affaires et du climat des investissements en Algérie s'efforcent de fournir le maximum d'informations pratiques, l'accent a été mis, lors des rencontres internationales, sur la nécessité de promouvoir les innovations technologiques sachant que l'Institut algérien de la propriété industrielle (Inapi) a récemment instauré un fonds destiné à soutenir les jeunes innovateurs et inventeurs en Algérie. Ainsi, la récente participation de l'Algérie au salon du Midest 2010 qui s'est ouverte le 2 novembre dernier à Paris, s'est articulée essentiellement autour d'activités orientées vers des rencontres d'information et de rencontres d'affaires Business to Business. En fait, dans le volet information, le programme des conférences du salon Midest 2010 laisse désormais place, chaque année, aux communications présentées par l'Algérie sur les opportunités d'affaires et d'investissements. Avec des chiffres extrêmement précis, Ammouri Brahiti, directeur général des PME au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, a brossé un tableau très favorable du climat des affaires dans ce domaine, en expliquant les récentes dispositions réglementaires de la loi de finance complémentaire 2009. Il a encouragé dans ce sens les acteurs industriels internationaux à rechercher des partenariats avec des PME algériennes. Il s'est ainsi proposé, lors de son intervention, d'étudier personnellement et avec ses collaborateurs, toutes propositions émanant des entreprises étrangères intéressées par des investissements ou des relations de partenariats gagnant-gagnant. Et ce dans le cadre des perspectives envisagées par le coordinateur du pavillon algérien, la bourse de sous-traitance et de partenariat de l'Ouest algérien en partenariat (BSTPO) avec le programme Optimexport d'aide et de soutien financier et logistique aux PME algériennes sélectionnées à l'international. Ainsi, l'implication directe et effective des officiels dans l'encouragement des investisseurs internationaux à s'intéresser aux affaires en Algérie pourrait porter ses fruits d'autant plus que les hommes d'affaires étrangers ont réaffirmé, récemment et à maintes reprises, leur disponibilité à développer des projets économiques en Algérie à la lumière des dispositions de la loi de finances complémentaire 2010. Si en 2009, le pavillon Algérie a présenté des exemples de sous-traitance internationale en particulier dans le domaine de la construction automobile avec l'intervention d'un donneur d'ordres national réputé, la SNVI, en l'occurrence, en exposant un état des lieux chiffré des avancées dans le domaine, le programme des conférences de Midest 2010 aura vu la participation du ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement. Un organisme pour la cohésion Brahiti a en outre annoncé la création d'un organisme national de cohésion dans le domaine de la sous-traitance. Il s'agit, annonce-t-il, d'un conseil national chargé de la promotion de la sous-traitance algérienne. Cet organisme travaillera en étroite collaboration avec les quatre bourses algériennes de sous-traitance : BASTP (Centre), BSTPO (Ouest), BSTPE (Est), BSTPS (Sud). A noter une question du représentant de « Maroc Export » sur le développement international de la sous-traitance algérienne à laquelle Brahiti a répondu avec des propos rassurants du fait de la complémentarité entre toutes les institutions algériennes capables de protéger en Algérie et à l'étranger les innovations et les technologies, mettant en avant l'Inapi, l'Ianor et l'Algerac. Brahiti a aussi rappelé dans des entretiens qui ont suivis avec les opérateurs économiques, la complémentarité des travaux de sa direction avec les actions du programme Optimexport, soutenu par l'Agence française de développement (AFD). Une seconde communication présentée par le directeur de la BSTPO, coordinateur du pavillon Algérie, est relative aux secteurs d'activité porteurs de la sous-traitance algérienne, comme l'industrie de l'automobile et les composants électroniques. Notons que lors de la 6e édition des Rencontres économiques de la Méditerranée qui auront lieu le 4 décembre prochain au Palais Pharo de Marseille, l'Algérie sera présente et sera représentée par le secrétaire d'Etat aux Statistiques, Sid-Ali Boukrami qui exposera la vision et les orientations en matière d'investissement et de partenariat. Les opportunités d'investissement et le climat des affaires en Algérie ont également été examinés hier à Londres par des opérateurs économiques algériens et des investisseurs potentiels et des industriels britanniques prêts à monter des projets de développement en Algérie. Avantages comparatifs importants Les responsables algériens ont notamment expliqué les avantages comparatifs dont les investisseurs étrangers sont susceptibles de tirer profit dans leurs activités en Algérie. Dans cet ordre d'idées, Ammouri Brahiti, a insisté sur les opportunités d'investissements qu'offre l'Algérie en termes de profits et de régimes préférentiels. Les participants, qui sont en majorité des hommes d'affaires, ont exprimé, quant à eux, leur intérêt pour venir investir en Algérie. Comme la plupart des délégations d'industriels et d'hommes d'affaires de pays européens venus récemment à Alger s'enquérir des opportunités d'investissement, certains des participants au Midest Paris 2010 ont même tenu à formuler des propositions concrètes de collaboration avec des entreprises algériennes dans le domaine de la sous-traitance industrielle, selon la nouvelle règle de partenariat fixée par la loi de finance complémentaire 2009, à savoir le principe de partenariat gagnant-gagnant fondée sur 51% et 49%.